Le XXème siècle n’a pas été marqué par Le Grand Soir libérateur. Les horizons se sont restreints et nos attentes dissoutes dans la faillite des grandes idéologies. Notre énergie a été mise sous la tutelle de la pensée unique, elle a été confisquée, congelée. On veut nous faire croire que l’ivresse de la consommation constitue un refuge, mais l’Homme ne vit pas que de pain.
Pourtant la réforme de la société reste imaginable, possible parce que ce sont toujours les Hommes qui font l’Histoire. Il est vrai que nous ne maîtrisons pas encore les outils nécessaires à sa transformation d’autant que la tâ che est rude parce que nous sommes noyés dans cette société de communication qui nous impose ses schémas ses modes de pensée. Ceux que nous utilisons encore ont été créés et mis au point par les générations précédentes, dans d’autres contextes, pour d’autres époques et ils ne fonctionnent plus.
Par où commencer ? Que reste t’il comme grande cause qui justifierait le dévouement d’une vie, qui permettrait de mobiliser les âmes et les énergies ? Qu’est ce qui vaut encore la peine d’être vécu ? Y a t’il quelque part un enjeu plus grand que nous qui justifierai qu’on lui sacrifie du temps et des efforts ?
Pourtant la réforme de la société reste imaginable, possible parce que ce sont toujours les Hommes qui font l’Histoire. Il est vrai que nous ne maîtrisons pas encore les outils nécessaires à sa transformation d’autant que la tâ che est rude parce que nous sommes noyés dans cette société de communication qui nous impose ses schémas ses modes de pensée. Ceux que nous utilisons encore ont été créés et mis au point par les générations précédentes, dans d’autres contextes, pour d’autres époques et ils ne fonctionnent plus.
Par où commencer ? Que reste t’il comme grande cause qui justifierait le dévouement d’une vie, qui permettrait de mobiliser les âmes et les énergies ? Qu’est ce qui vaut encore la peine d’être vécu ? Y a t’il quelque part un enjeu plus grand que nous qui justifierai qu’on lui sacrifie du temps et des efforts ?