Dans ces lieux doivent s’exercer des actions sociales, des services de proximité et socioculturelles.
La politique sociale de Sainte- Suzanne est en panne et la matrice des acteurs fissurée, carence coupable car absence d’une politique de proximité et socialement adaptée et cohérente.
La population la dénonce et ce sentiment d’être socialement abandonné domine.
Réalité dérangeante. Mais ce CONSTAT nous parle sur l’état de beaucoup de nos premiers points d’ancrage que sont nos maisons de quartier dans chaque territoire qui contribuent au premier acte de la cohésion sociale.
Il s’agit en l’espèce d’un contributif indispensable pour des populations en recherchent de repère et de reconnaissance dans leurs diversités et difficultés de vivre dignement tous les jours.
Le mieux vivre ensemble commence dans ces lieux au cœur de ces quartiers et territoires.
D’ailleurs il faut redonner du sens à ces structures, les réorganiser et les ouvrir davantage pour répondre aux besoins et aux attentes de proximité.