Paradoxes. Bachil Valy a les yeux rivés sur l'avenir. "L'émergence d'une nouvelle génération de politiques, tarde. L'élan né de 2010 a vécu. Le retour au premier plan de certains de nos aînés, et ce à quelques mois des Municipales 2014, montrent d'une part, qu'il n'y a pas eu de préparation efficace de la part de ces mêmes aînés. Et d'autre part, que notre génération pourtant formée, a encore de nombreuses lacunes dans la construction de sa dimension et sa crédibilité politiques".
"La preuve : la classe politique dans son ensemble parle des Municipales 2014 et des Régionales 2015, mais à part Paul Vergès qui est bloqué sur sa future nouvelle assemblée, combien de politiques, moi y compris, proposent un projet économique et social à moyen terme, et une vision politique au delà de 2030. C'est un triste et décevant constat. Et le contexte pré-électoral auquel s'ajoute la nécessité d'une refondation et d'une union à Droite, complique toute mise à plat puis toute remise en cause. Les divisions successives et les luttes intestines ont conduit à l'immobilisme".
"Le seul souci des partis et de tous les politiques, c'est renouvellement des mandats. Chacun n'a qu'un objectif : sauver son ou ses mandats et le confort matériel et social que cela apporte. Nous sommes tous prisonniers de ce "système" et de nous-mêmes. A dix mois de l'échéance municipale, la question est : peut-on s'en sortir ? Il y a une certitude : on peut au moins proposer un socle de réflexion et de discussion. La consolidation de l'UMP avec la désignation de sa secrétaire départementale, et la structuration de l'UDI et d'Objectif Réunion, constituent un bon point de départ".
"Toutefois, la refondation de la Droite ne doit pas limiter à une machine de guerre et à une union pour gagner des élections. Ce qui doit porter l'union de la Droite, c'est un projet économique et social performant, efficace, solide et solidaire. La Droite n'en propose pas pour l'heure. Avec une groupe d'élus allant du Centre au Centre droit, nous voulons défendre cet aspect de l'union. Nous voulons influencer l'union dans ce sens. Aussi, nous réfléchissons à la meilleure stratégie pour peser sur la construction de cette union".
"La preuve : la classe politique dans son ensemble parle des Municipales 2014 et des Régionales 2015, mais à part Paul Vergès qui est bloqué sur sa future nouvelle assemblée, combien de politiques, moi y compris, proposent un projet économique et social à moyen terme, et une vision politique au delà de 2030. C'est un triste et décevant constat. Et le contexte pré-électoral auquel s'ajoute la nécessité d'une refondation et d'une union à Droite, complique toute mise à plat puis toute remise en cause. Les divisions successives et les luttes intestines ont conduit à l'immobilisme".
"Le seul souci des partis et de tous les politiques, c'est renouvellement des mandats. Chacun n'a qu'un objectif : sauver son ou ses mandats et le confort matériel et social que cela apporte. Nous sommes tous prisonniers de ce "système" et de nous-mêmes. A dix mois de l'échéance municipale, la question est : peut-on s'en sortir ? Il y a une certitude : on peut au moins proposer un socle de réflexion et de discussion. La consolidation de l'UMP avec la désignation de sa secrétaire départementale, et la structuration de l'UDI et d'Objectif Réunion, constituent un bon point de départ".
"Toutefois, la refondation de la Droite ne doit pas limiter à une machine de guerre et à une union pour gagner des élections. Ce qui doit porter l'union de la Droite, c'est un projet économique et social performant, efficace, solide et solidaire. La Droite n'en propose pas pour l'heure. Avec une groupe d'élus allant du Centre au Centre droit, nous voulons défendre cet aspect de l'union. Nous voulons influencer l'union dans ce sens. Aussi, nous réfléchissons à la meilleure stratégie pour peser sur la construction de cette union".