Bachil Valy veut sortir la politique et La Réunion d'une "stupide" tradition politicienne "qui consiste à détruire et à effacer, les empreintes de la mandature précédente et ce à l''issue de changement de majorité municipale, départementale ou régionale". Cette "bêtise" qui n'a cessé de se répéter depuis des décennies, a des conséquences dramatiques sur la situation de La Réunion depuis 2008, année du début de la crise mondiale.
"A l'issue des Municipales de 2008, plusieurs villes ont changé de majorité. Ces nouvelles majorités ont d'abord stoppé les projets structurants en cours. A Saint-Denis, le Zénith a été abandonné. Le Pole océan a été reporté. A Saint-Paul, l'Hippodrome a été supprimé. A Saint-André, les projets incinérateur et port sec, ont été "incinérés". Au Tampon, la réalisation de la Rocade Sud, a été différée".
"Si l'on ajoute, l'arrêt de la Maison des civilisations et de l'identité réunionnaise et la fin du tram-train à l'issue des Régionales 2010, et un nouveau report du projet route du Littoral, les politiques de tous bords ont privé La Réunion de plus de 3,5 milliards d'€ en trois ans. En ce temps de crise, cet argent aurait été une grosse bouffée d'oxygène pour notre développement économique".
"La Réunion paye très cher aujourd'hui, ce besoin qu'ont certains hommes politiques d'effacer les projets structurants et toute trace de la mandature de leur prédécesseur. L'intérêt personnel prime ici, et de manière générale, sur l'intérêt de la population. Ce comportement est stupide. Et les conséquences sont dramatiques pour une grande partie de la population. Nous devons changer ce fonctionnement".
"Cette évolution doit être l'une des priorités du Grand Centre que nous voulons construire à La Réunion. Le Grand Centre doit se fixer comme démarche : la pérennité des projets structurants et ce quelle que soit la majorité en place dans les collectivités locales ou celle qui lui succède. C'est un engagement que le Grand Centre devra prendre lors de sa prochaine création : veiller à la pérennisation des projets structurants", a expliqué Bachil Valy, vice-président du Conseil général.
"A l'issue des Municipales de 2008, plusieurs villes ont changé de majorité. Ces nouvelles majorités ont d'abord stoppé les projets structurants en cours. A Saint-Denis, le Zénith a été abandonné. Le Pole océan a été reporté. A Saint-Paul, l'Hippodrome a été supprimé. A Saint-André, les projets incinérateur et port sec, ont été "incinérés". Au Tampon, la réalisation de la Rocade Sud, a été différée".
"Si l'on ajoute, l'arrêt de la Maison des civilisations et de l'identité réunionnaise et la fin du tram-train à l'issue des Régionales 2010, et un nouveau report du projet route du Littoral, les politiques de tous bords ont privé La Réunion de plus de 3,5 milliards d'€ en trois ans. En ce temps de crise, cet argent aurait été une grosse bouffée d'oxygène pour notre développement économique".
"La Réunion paye très cher aujourd'hui, ce besoin qu'ont certains hommes politiques d'effacer les projets structurants et toute trace de la mandature de leur prédécesseur. L'intérêt personnel prime ici, et de manière générale, sur l'intérêt de la population. Ce comportement est stupide. Et les conséquences sont dramatiques pour une grande partie de la population. Nous devons changer ce fonctionnement".
"Cette évolution doit être l'une des priorités du Grand Centre que nous voulons construire à La Réunion. Le Grand Centre doit se fixer comme démarche : la pérennité des projets structurants et ce quelle que soit la majorité en place dans les collectivités locales ou celle qui lui succède. C'est un engagement que le Grand Centre devra prendre lors de sa prochaine création : veiller à la pérennisation des projets structurants", a expliqué Bachil Valy, vice-président du Conseil général.