C’est sur le site du chantier d’interconnexion des périmètres irrigués des Bras de la Plaine et de Cilaos, qu’en tant que Vice-président du Conseil général accompagné de Daniel Alamélou, Vice-président délégué à l’Eau, de Jean-Jacques Vlody, député de La Réunion et Président de la SAPHIR, de Jean-Bernard Gonthier, président de la Chambre d’agriculture et de Béatrice Sigismeau, élue de la commune de Saint-Pierre, j’ai présenté les travaux de cet aménagement hydraulique majeur engagé par le Conseil général.
"C’est une grande satisfaction car, comme chacun le sait, les usagers de la microrégion Sud subissent depuis plusieurs années des coupures d’eau pénalisant tant les citoyens que les agriculteurs. Cette interconnexion permettra d'optimiser la distribution de plus de 50 millions de mètres cubes d’eau brute par an soit 30 à 40 % des besoins de la microrégion, et réduire les coupures. De plus, l’intérêt environnemental est conséquent puisque grâce à cette interconnexion, les prélèvements dans les nappes souterraines seront limités ».
Une première phase de ce chantier d’envergure sera livrée en février 2014 et sera suivie d’une seconde, finalisée en 2015.
"Il n’y a pas de problème d’eau à La Réunion mais un problème d’aménagements hydrauliques pour capter et distribuer de façon sécurisée à l’ensemble des usagers cette précieuse ressource", a indiqué Daniel Alamélou. "C’est pourquoi la Collectivité départementale a depuis longtemps identifié cet enjeu d’aménagement comme cible d’action prioritaire pour le développement de notre île. Son engagement dans le domaine de l’Eau et de l’Agriculture constitue depuis près de quarante ans, l’expression d’une politique volontariste et ambitieuse pour offrir aux Réunionnais les infrastructures à la hauteur des enjeux de développement de notre territoire, en particulier les réseaux hydrauliques structurants et des grands périmètres irrigués (Bras de la Plaine, de Cilaos, Irrigation du Littoral Ouest)", a-t-il tenu à souligner.
Ce chantier, de 28 millions d’euros, bénéficie du concours financier de l’Europe à hauteur de 60% et est non négligeable pour l’économie locale. Actuellement près de 50 personnes y travaillent et comme je l’ai signalé : « Le Conseil Général a accordé une attention particulière à l’emploi et à l’insertion des publics en difficulté dans le cadre de la mise en œuvre des travaux, puisque près de 10 000 heures d’insertion ont été demandées aux entreprises intervenantes».
Les Sudistes et toute l'économie de la micro-région peuvent ainsi voir, dans l’achèvement de ce chantier, une réponse concrète pour limiter les problèmes d'alimentation en eau.
"C’est une grande satisfaction car, comme chacun le sait, les usagers de la microrégion Sud subissent depuis plusieurs années des coupures d’eau pénalisant tant les citoyens que les agriculteurs. Cette interconnexion permettra d'optimiser la distribution de plus de 50 millions de mètres cubes d’eau brute par an soit 30 à 40 % des besoins de la microrégion, et réduire les coupures. De plus, l’intérêt environnemental est conséquent puisque grâce à cette interconnexion, les prélèvements dans les nappes souterraines seront limités ».
Une première phase de ce chantier d’envergure sera livrée en février 2014 et sera suivie d’une seconde, finalisée en 2015.
"Il n’y a pas de problème d’eau à La Réunion mais un problème d’aménagements hydrauliques pour capter et distribuer de façon sécurisée à l’ensemble des usagers cette précieuse ressource", a indiqué Daniel Alamélou. "C’est pourquoi la Collectivité départementale a depuis longtemps identifié cet enjeu d’aménagement comme cible d’action prioritaire pour le développement de notre île. Son engagement dans le domaine de l’Eau et de l’Agriculture constitue depuis près de quarante ans, l’expression d’une politique volontariste et ambitieuse pour offrir aux Réunionnais les infrastructures à la hauteur des enjeux de développement de notre territoire, en particulier les réseaux hydrauliques structurants et des grands périmètres irrigués (Bras de la Plaine, de Cilaos, Irrigation du Littoral Ouest)", a-t-il tenu à souligner.
Ce chantier, de 28 millions d’euros, bénéficie du concours financier de l’Europe à hauteur de 60% et est non négligeable pour l’économie locale. Actuellement près de 50 personnes y travaillent et comme je l’ai signalé : « Le Conseil Général a accordé une attention particulière à l’emploi et à l’insertion des publics en difficulté dans le cadre de la mise en œuvre des travaux, puisque près de 10 000 heures d’insertion ont été demandées aux entreprises intervenantes».
Les Sudistes et toute l'économie de la micro-région peuvent ainsi voir, dans l’achèvement de ce chantier, une réponse concrète pour limiter les problèmes d'alimentation en eau.
