D'abord, il faut savoir ce qu'est un Moleskine pour vraiment apprécier mes petits carnets. "Un simple rectangle noir aux angles arrondis, un élastique qui retient les pages, une pochette interne : un objet anonyme et parfait au caractère essentiel, produit pendant plus d'un siècle par un petit relieur français qui fournissait les papeteries de Paris, fréquentées par les avant-gardes artistiques et littéraires internationales" écrit le fabriquant du fameux carnet. Mais n'allez pas dire que le Moleskine est seulement un carnet pour voyageur. Ce n'est pas vrai. C'est un carnet pour celles et ceux qui aiment croquer l'histoire et le bon mot. C'est un carnet qui sacralise même la plus futile note griffonnée salement dans un coin de page. Et puis, on archive facilement les Moleskine dans une bibliothèque, même poussiéreuse. Le Moleskine fut d'ailleurs le compagnon de route d'illustres artistes, comme Picasso, van Gogh ou Hemingway. Et c'est Bruce Chatwin qui lui donna ce nom de Moleskine. Voilà, c'est fait. Vous avez en tête ce qu'est un Moleskine.
Puisque le Moleskine est synonyme de voyage, de culture, de mémoire, je partage avec vous, là une rencontre culturelle édifiante, là un coup de coeur artistique, là pourquoi pas un coup de gueule tellement ça m'ulcère les tripes. On voit tellement de choses aujourd'hui. Et puis, il faut savoir qu'il existe une importante diaspora réunionnaise en France. Elle parait invisible, mais elle est là. Et je veux aller à sa rencontre, et vous faire découvrir de belles initiatives, sérieuses et intelligentes, loin des robes faussement folkloriques et des samoussas au fromage de Brie. Je veux vous faire découvrir des Réunionnais, peintre ou rippeur, secrétaire ou professeur, poète ou restaurateur. Qu'ils parlent ! Qu'ils existent ! Et vous pourrez, non vous devrez commenter. En somme, à vos petits carnets !
Puisque le Moleskine est synonyme de voyage, de culture, de mémoire, je partage avec vous, là une rencontre culturelle édifiante, là un coup de coeur artistique, là pourquoi pas un coup de gueule tellement ça m'ulcère les tripes. On voit tellement de choses aujourd'hui. Et puis, il faut savoir qu'il existe une importante diaspora réunionnaise en France. Elle parait invisible, mais elle est là. Et je veux aller à sa rencontre, et vous faire découvrir de belles initiatives, sérieuses et intelligentes, loin des robes faussement folkloriques et des samoussas au fromage de Brie. Je veux vous faire découvrir des Réunionnais, peintre ou rippeur, secrétaire ou professeur, poète ou restaurateur. Qu'ils parlent ! Qu'ils existent ! Et vous pourrez, non vous devrez commenter. En somme, à vos petits carnets !