Aline MURIN-HOARAU, élue du conseil régional, a rappelé le soutien de la région lors de la création du concours par la préfecture. Elle a insisté sur les valeurs républicaines essentielles que sont la tolérance, le respect et le savoir être ensemble.
Béatrice SIGISMEAU, vice-présidente du conseil départemental, a souligné l'attachement de la collectivité à l'étude, la conservation et la valorisation du patrimoine en lien avec ses structures, Archives départementales de La Réunion Sudel Fuma notamment.
Fernand MARCHITTO, représentant de l'académie, a détaillé les enjeux pédagogiques et a souligné la dynamique des projets menés. Il a insisté sur la qualité de l'ensemble des travaux présentés. Les valeurs humanistes sont au coeur de ce concours à mettre en lien avec les évènements qui ont ébranlé les valeurs de la République. Il a remercié les différents acteurs du concours : collectivités, service des archives et du rectorat, membres du jury.
Il a annoncé que la prochaine édition devrait s'inscrire à l'échelle nationale dans le concours scolaire La flamme de la liberté organisé par le ministère chargé de l'éducation nationale (Circulaire 2015 - Éduscol), le ministère des outre-mer et le le Comité national pour la mémoire et l'histoire de l'esclavage. Ce concours doit permettre aux élèves des écoles élémentaires, des collèges et des lycées de mener une réflexion citoyenne s'appuyant sur l'histoire de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions, de leurs survivances comme de leurs effets et de leurs héritages contemporains.
Béatrice SIGISMEAU, vice-présidente du conseil départemental, a souligné l'attachement de la collectivité à l'étude, la conservation et la valorisation du patrimoine en lien avec ses structures, Archives départementales de La Réunion Sudel Fuma notamment.
Fernand MARCHITTO, représentant de l'académie, a détaillé les enjeux pédagogiques et a souligné la dynamique des projets menés. Il a insisté sur la qualité de l'ensemble des travaux présentés. Les valeurs humanistes sont au coeur de ce concours à mettre en lien avec les évènements qui ont ébranlé les valeurs de la République. Il a remercié les différents acteurs du concours : collectivités, service des archives et du rectorat, membres du jury.
Il a annoncé que la prochaine édition devrait s'inscrire à l'échelle nationale dans le concours scolaire La flamme de la liberté organisé par le ministère chargé de l'éducation nationale (Circulaire 2015 - Éduscol), le ministère des outre-mer et le le Comité national pour la mémoire et l'histoire de l'esclavage. Ce concours doit permettre aux élèves des écoles élémentaires, des collèges et des lycées de mener une réflexion citoyenne s'appuyant sur l'histoire de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions, de leurs survivances comme de leurs effets et de leurs héritages contemporains.