Ainsi, je suis en total accord. Ce n’est pas celui qui crie le plus fort qui défend le mieux les salariés. C’est plutôt celui qui fait des propositions et obtient des résultats dans la négociation dans l’intérêt général. Le petit avant-goût du livre de Laurent Berger, sorti en novembre 2015 au titre : Permis de construire « nous vivrons ce que nous changerons », donne à mon sens, cette « introspection » qui redimensionne le dialogue aussi bien dans les entreprises que dans les hôpitaux. D’ailleurs, le Camarade Laurent incarne admirablement ce messager d'espoir au dialogue social, avec ce syndicalisme tourné vers l’avenir. Ainsi, gravant fièrement de son empreinte indélébile : « je sais sur quoi je ne transigerai jamais : mes Valeurs et des Résultats ».
L’auteur s’appuie sur son parcours et à ses multiples expériences pour étayer ses analyses sur la méthode du dialogue à la CFDT. Qui a porté ses fruits pour avancer sur les grands sujets de notre temps. D’ailleurs, il en a assez d’être accusé de « trahison » et il juge même le statu quo « mortifère ». « Discuter ce n’est pas trahir » martèle-il. Un syndicaliste atypique face aux dogmes syndicaux classiques, puisqu’il consolide les fondations de ce syndicalisme nécessaire pour faire face aux défis de ce 21ème siècle où ce dialogue social s’édifie dans « une logique de construction ».
Ainsi, ce travail lui a permis me semble t-il, de faire «l’inventaire », d’éclairer sur ses engagements, son implication dans la vie sociale française, car les Français attendent de l'efficacité et du résultat. Ce point de vue syndical qui arrive donc à temps sur « sécurisation des parcours professionnels, travail le dimanche, numérique, gouvernance des entreprises, protection de la vie privée, le code du travail et pourquoi pas l’égalité réelle ! ». Laurent Berger veut montrer que la « CFDT pèse dans le débat, qu'elle porte une autre vision du syndicalisme, faite de dialogue, de compromis et de progrès pour tous.. » exprime t-il dans son écrit. « On peut faire bouger les lignes, on a le choix de décider de la société dans laquelle on veut vivre » !
Dans cet espoir, le secrétaire général Laurent Berger, nous invite à changer notre regard sur l’action syndicale dont il remet en « perspective, les actions de la CFDT dans une lecture pour qu’on en comprenne, la logique et la cohérence ». Il se veut cette CFDT constructive et moderne que l’on voit émerger petit à petit depuis cinquante ans.
Il est bien vrai, que cette bataille se gagne sur le terrain avec une politique de grande proximité dont l’assise reste le personnel, dans un dialogue social alimenté par des informations, des propositions et dans des négociations (gagnant/gagnant) pas toujours facile.
Sentier que la CFDT de l’EPSMR (Établissement Public en Santé Mentale de la Réunion) a su emprunter, puisqu’elle est redevenue la première force syndicale avec 47% des voix lors des élections professionnelles du 4 décembre 2014 et de surplus des adhérent(e)s et des sympathisant(e)s en augmentation permanente. Avec cette nouvelle approche, la CFDT continue à bâtir des progrès pour l’ensemble du personnel.
Finalement, ce concept du syndicalisme « réformiste » semé depuis cinquante ans, mis à jour dans le livre du camarade Laurent Berger, n’est ce pas ces fruits mûris au service de l’intérêt général que la CFDT commence à les récolter aujourd’hui ?
Á l’heure de ton arrivée et de tes entrevues à la Réunion Cher Laurent, de ces quelques mots simples mais sincères, j’en profite pour te souhaiter chaleureusement la bienvenue et je te remercie, grâce à ton livre de m’avoir ouvert des horizons nouveaux du syndicalisme.
Néanmoins, t’invitant en tant que secrétaire général de ce grand syndicat qu’est la CFDT, à porter quand même, la réflexion sur notre taux de chômage qui devient « dangereux » et demeure un « désastre » pour notre jeunesse. Ainsi, peut-être que cette jeunesse vivra de ce que nous lui proposerons aujourd’hui ou demain Cher Laurent !
L’auteur s’appuie sur son parcours et à ses multiples expériences pour étayer ses analyses sur la méthode du dialogue à la CFDT. Qui a porté ses fruits pour avancer sur les grands sujets de notre temps. D’ailleurs, il en a assez d’être accusé de « trahison » et il juge même le statu quo « mortifère ». « Discuter ce n’est pas trahir » martèle-il. Un syndicaliste atypique face aux dogmes syndicaux classiques, puisqu’il consolide les fondations de ce syndicalisme nécessaire pour faire face aux défis de ce 21ème siècle où ce dialogue social s’édifie dans « une logique de construction ».
Ainsi, ce travail lui a permis me semble t-il, de faire «l’inventaire », d’éclairer sur ses engagements, son implication dans la vie sociale française, car les Français attendent de l'efficacité et du résultat. Ce point de vue syndical qui arrive donc à temps sur « sécurisation des parcours professionnels, travail le dimanche, numérique, gouvernance des entreprises, protection de la vie privée, le code du travail et pourquoi pas l’égalité réelle ! ». Laurent Berger veut montrer que la « CFDT pèse dans le débat, qu'elle porte une autre vision du syndicalisme, faite de dialogue, de compromis et de progrès pour tous.. » exprime t-il dans son écrit. « On peut faire bouger les lignes, on a le choix de décider de la société dans laquelle on veut vivre » !
Dans cet espoir, le secrétaire général Laurent Berger, nous invite à changer notre regard sur l’action syndicale dont il remet en « perspective, les actions de la CFDT dans une lecture pour qu’on en comprenne, la logique et la cohérence ». Il se veut cette CFDT constructive et moderne que l’on voit émerger petit à petit depuis cinquante ans.
Il est bien vrai, que cette bataille se gagne sur le terrain avec une politique de grande proximité dont l’assise reste le personnel, dans un dialogue social alimenté par des informations, des propositions et dans des négociations (gagnant/gagnant) pas toujours facile.
Sentier que la CFDT de l’EPSMR (Établissement Public en Santé Mentale de la Réunion) a su emprunter, puisqu’elle est redevenue la première force syndicale avec 47% des voix lors des élections professionnelles du 4 décembre 2014 et de surplus des adhérent(e)s et des sympathisant(e)s en augmentation permanente. Avec cette nouvelle approche, la CFDT continue à bâtir des progrès pour l’ensemble du personnel.
Finalement, ce concept du syndicalisme « réformiste » semé depuis cinquante ans, mis à jour dans le livre du camarade Laurent Berger, n’est ce pas ces fruits mûris au service de l’intérêt général que la CFDT commence à les récolter aujourd’hui ?
Á l’heure de ton arrivée et de tes entrevues à la Réunion Cher Laurent, de ces quelques mots simples mais sincères, j’en profite pour te souhaiter chaleureusement la bienvenue et je te remercie, grâce à ton livre de m’avoir ouvert des horizons nouveaux du syndicalisme.
Néanmoins, t’invitant en tant que secrétaire général de ce grand syndicat qu’est la CFDT, à porter quand même, la réflexion sur notre taux de chômage qui devient « dangereux » et demeure un « désastre » pour notre jeunesse. Ainsi, peut-être que cette jeunesse vivra de ce que nous lui proposerons aujourd’hui ou demain Cher Laurent !