Huguette Bello se comporte comme un canard sans tête, à accuser la collectivité régionale de tous les maux, faute d'avoir défendu les intérêts des Réunionnais à l’Assemblée nationale .
136 000 chômeurs réunionnais, n'est-ce pas d’abord la concrétisation dramatique de l'échec du Gouvernement ?
Le recul de la fréquentation touristique depuis 2011 n’est-il pas la conséquence de l’inaction du Gouvernement dans la gestion de la crise requin ? La baisse des aides de l’Etat en faveur du logement social, n’est-elle pas en grande partie à l’origine du déficit d’activité du BTP réunionnais ?
Son attaque, pathétique, à l’égard de la seule Région discrédite une nouvelle fois le Parti socialiste, incapable d’apporter des réponses construites et efficaces sur les enjeux du développement économique, de l’emploi et du logement.
Les victimes de cette politique socialiste sont pourtant les milliers de demandeurs d’emploi de catégories A, B et C actuellement inscrits à pôle emploi.
Les victimes de cette politique sont les milliers de Réunionnais en attente d’un logement social.
Les victimes de cette politique sont les Réunionnais dans leur ensemble, car le travail et l’emploi sont leur première priorité, contrairement au Gouvernement.
La priorité d’Huguette Bello est l’élection de décembre 2015, et pour cela elle est prête à toutes les manœuvres politiciennes.
La première fut d’ériger, à l'Assemblée nationale, l’abstention au rang de principe : 44 abstentions et absence de vote depuis le début de la mandature.
Abstention sur le projet de loi relatif au dialogue social et à l'emploi, abstention sur le projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte, abstention sur projet de loi de finances pour 2015, abstention sur projet de loi de programmation des finances publiques 2014-2019 et la liste est longue.
Si, dans notre île, Huguette Bello s’insurge, avec une certaine véhémence, même une certaine indignation, contre les difficultés rencontrées par les Réunionnais, elle se garde bien, à Paris, de brusquer le Gouvernement socialiste, ou de contester ses choix préférant faire passer sa carrière politique avant son engagement réunionnais.
Confrontée au dilemme de perdre son âme ou perdre le pouvoir, Huguette Bello, tête de liste du Parti socialiste aux prochaines élections régionales, a fait manifestement son choix.
136 000 chômeurs réunionnais, n'est-ce pas d’abord la concrétisation dramatique de l'échec du Gouvernement ?
Le recul de la fréquentation touristique depuis 2011 n’est-il pas la conséquence de l’inaction du Gouvernement dans la gestion de la crise requin ? La baisse des aides de l’Etat en faveur du logement social, n’est-elle pas en grande partie à l’origine du déficit d’activité du BTP réunionnais ?
Son attaque, pathétique, à l’égard de la seule Région discrédite une nouvelle fois le Parti socialiste, incapable d’apporter des réponses construites et efficaces sur les enjeux du développement économique, de l’emploi et du logement.
Les victimes de cette politique socialiste sont pourtant les milliers de demandeurs d’emploi de catégories A, B et C actuellement inscrits à pôle emploi.
Les victimes de cette politique sont les milliers de Réunionnais en attente d’un logement social.
Les victimes de cette politique sont les Réunionnais dans leur ensemble, car le travail et l’emploi sont leur première priorité, contrairement au Gouvernement.
La priorité d’Huguette Bello est l’élection de décembre 2015, et pour cela elle est prête à toutes les manœuvres politiciennes.
La première fut d’ériger, à l'Assemblée nationale, l’abstention au rang de principe : 44 abstentions et absence de vote depuis le début de la mandature.
Abstention sur le projet de loi relatif au dialogue social et à l'emploi, abstention sur le projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte, abstention sur projet de loi de finances pour 2015, abstention sur projet de loi de programmation des finances publiques 2014-2019 et la liste est longue.
Si, dans notre île, Huguette Bello s’insurge, avec une certaine véhémence, même une certaine indignation, contre les difficultés rencontrées par les Réunionnais, elle se garde bien, à Paris, de brusquer le Gouvernement socialiste, ou de contester ses choix préférant faire passer sa carrière politique avant son engagement réunionnais.
Confrontée au dilemme de perdre son âme ou perdre le pouvoir, Huguette Bello, tête de liste du Parti socialiste aux prochaines élections régionales, a fait manifestement son choix.