( 2007 à 2009)
A cette occasion, nous pouvons pratiquer l’exercice de comparaison tant attendu et en tirer des conclusions. Exemple léger, il est reproché à Jacqueline Farreyrol d’avoir dépensé la somme de 743 euros pour un restaurant quand Pierre Vergès sortait des notes de restaurant de l’ordre de 3113 euros dénoncées par son premier Vice-Président qui avait fait une lettre de démission de plus de 10 pages relatant les dysfonctionnements graves dans la gestion de l’IRT entre 2008 et 2010, suivi également du 4ème Vice-Président pointant également une mauvaise gestion.
Tout le monde se souvient des dépenses de Pierre Verges en boite de nuit en Australie pour le compte de l’IRT , ou encore du défaut de transparence et de concertation avec le bureau sur les primes, congés maladie, augmentations de salaires pouvant atteindre 8000 euros de complément sur une année.
Bref, détailler ces dérapages serait trop long, et puis si nous cherchons, l’ancien 1er Vice-Président, sous l’égide de Verges avait déballé tous les dérapages concernant la gestion de l’IRT entre 2008 et 2010 par voie de presse. La question est qu’a-t-on fait pour le tourisme durant cette période, au moyen de quelles stratégies et quels en sont les résultats probants ?
Aujourd’hui nous sommes témoins des actions menées par l’IRT, parce qu’elles sont affichées en toute clarté et dans la transparence. Certes comme annoncé par la presse, 175 000 euros pour que le Réunion s’affiche sur un stade peut au premier abord paraitre utopique, sauf lorsque cette image de notre destination est vu par 1 million de personnes. Par ailleurs les tournages d’une série et d’un film au cœur des paysages de La Réunion sont le fruit de la présence de l’IRT sur le festival de cannes, et non en boite de nuit.
L’audit diligenté à la demande de Jacqueline Farreyrol dès 2010, met en exergue un trou de 617 000 euros creusé en deux ans , justifié notamment par des dépenses engagées au-delà de la limite des lignes allouées par la Région, des frais de découverts… alignés à des insuffisances dans les actions engagées; est un signe de manque de transparence de la part de l’ancienne gouvernance que la Chambre Régionale des Comptes doit prendre en compte avant de tacler l’équipe actuelle. Notons aussi que celle-ci pointe la gestion de 2007 à 2013, et qu’il est donc plus qu’opportun de distinguer les deux périodes de gouvernance de façon impartiale. Que pense la CRC des casseroles comme celle de la société Arc international d’une valeur de 250 000 euros, qualifiant les cadres de M. Verges d’amateurs dans les procédures de marché publics ! La gestion de 2008 à 2010 est plus que douteuse, ne l’oublions pas.
A ce jour, la mauvaise image de l’IRT pointée du doigt durant l’ancienne mandature de la Région par les acteurs du tourisme demeure encore trop ancrée, tout comme celle de la SR21 à la même époque et sous le contrôle des mêmes responsables. Force est de constater que l’actuelle gouvernance essaie tant bien que mal de redorer un blason que l’équipe de Pierre Verges a bafoué à l’insu des Réunionnais.
La fréquentation quant à elle, grâce aux efforts déployés depuis 2010, n’a pas connu la chute libre qui aurait pu anéantir des centaines de professionnels, demeurant stable, elle est en passe de devenir prometteuse et efficiente si l’on en croit les projets émergeants.
En tout état de cause, force est de reconnaitre que la gouvernance et donc gestion de l’IRT, de la SR21 ou encore de la collectivité régionale était à cette époque entre les mains d’une familiocratie , le népotisme des Vergés nous aura causé bien du tort. Osons croire à la fin de cette ère sous l’oligarchie Vergès.
In fine, gardons bien en mémoire, comme le disait si bien Jacques Verges dans son célèbre ouvrage, qui est le salaud lumineux !
Tout le monde se souvient des dépenses de Pierre Verges en boite de nuit en Australie pour le compte de l’IRT , ou encore du défaut de transparence et de concertation avec le bureau sur les primes, congés maladie, augmentations de salaires pouvant atteindre 8000 euros de complément sur une année.
Bref, détailler ces dérapages serait trop long, et puis si nous cherchons, l’ancien 1er Vice-Président, sous l’égide de Verges avait déballé tous les dérapages concernant la gestion de l’IRT entre 2008 et 2010 par voie de presse. La question est qu’a-t-on fait pour le tourisme durant cette période, au moyen de quelles stratégies et quels en sont les résultats probants ?
Aujourd’hui nous sommes témoins des actions menées par l’IRT, parce qu’elles sont affichées en toute clarté et dans la transparence. Certes comme annoncé par la presse, 175 000 euros pour que le Réunion s’affiche sur un stade peut au premier abord paraitre utopique, sauf lorsque cette image de notre destination est vu par 1 million de personnes. Par ailleurs les tournages d’une série et d’un film au cœur des paysages de La Réunion sont le fruit de la présence de l’IRT sur le festival de cannes, et non en boite de nuit.
L’audit diligenté à la demande de Jacqueline Farreyrol dès 2010, met en exergue un trou de 617 000 euros creusé en deux ans , justifié notamment par des dépenses engagées au-delà de la limite des lignes allouées par la Région, des frais de découverts… alignés à des insuffisances dans les actions engagées; est un signe de manque de transparence de la part de l’ancienne gouvernance que la Chambre Régionale des Comptes doit prendre en compte avant de tacler l’équipe actuelle. Notons aussi que celle-ci pointe la gestion de 2007 à 2013, et qu’il est donc plus qu’opportun de distinguer les deux périodes de gouvernance de façon impartiale. Que pense la CRC des casseroles comme celle de la société Arc international d’une valeur de 250 000 euros, qualifiant les cadres de M. Verges d’amateurs dans les procédures de marché publics ! La gestion de 2008 à 2010 est plus que douteuse, ne l’oublions pas.
A ce jour, la mauvaise image de l’IRT pointée du doigt durant l’ancienne mandature de la Région par les acteurs du tourisme demeure encore trop ancrée, tout comme celle de la SR21 à la même époque et sous le contrôle des mêmes responsables. Force est de constater que l’actuelle gouvernance essaie tant bien que mal de redorer un blason que l’équipe de Pierre Verges a bafoué à l’insu des Réunionnais.
La fréquentation quant à elle, grâce aux efforts déployés depuis 2010, n’a pas connu la chute libre qui aurait pu anéantir des centaines de professionnels, demeurant stable, elle est en passe de devenir prometteuse et efficiente si l’on en croit les projets émergeants.
En tout état de cause, force est de reconnaitre que la gouvernance et donc gestion de l’IRT, de la SR21 ou encore de la collectivité régionale était à cette époque entre les mains d’une familiocratie , le népotisme des Vergés nous aura causé bien du tort. Osons croire à la fin de cette ère sous l’oligarchie Vergès.
In fine, gardons bien en mémoire, comme le disait si bien Jacques Verges dans son célèbre ouvrage, qui est le salaud lumineux !