Aussi, de faire connaitre les besoins de la personne autiste et des difficultés des parents face à une nécessité de soutien, d’accompagnement ou à faire part du manque de réponses face à cette exigence. Á cela, des initiatives originales sont mises en place depuis 10 ans.
Si la plus grande organisation américaine « Austism Speaks » voire d’autres, incitent à allumer en bleu, couleur dit-on « calmante, apaisante et réconfortante » pour les Autistes, les monuments, les ponts, les musées, les maisons, les complexes sportifs…en ce 2 avril. Á la Réunion un parent a eu la belle idée de gravir le sommet de la Roche écrite à pieds avec quelques soutiens d’amis, portant son fils à son dos pendant ce long trajet. Tout un symbole !
Une manière à cette famille, me semble t-il de mettre le projecteur pour que les personnes atteintes d’autisme soient reconnues comme des membres à part entière de la société et non entièrement à part comme actuellement.
Pourtant, un engagement financier du gouvernement de 205 millions d’euros dont 195 millions d’euros pour l’évolution de l’offre médico-sociale a été lancé en mai 2013 dans le cadre du 3ème plan Autisme (2013-2017) qui a été marqué par une volonté politique pour faire progresser l’inclusion des personnes autistes dans notre société. Ce plan a été articulé autour de cinq axes : le diagnostic et les interventions précoces, l’accompagnement tout au long de la vie depuis l’enfance, le soutien aux familles, la recherche ainsi que la formation des professionnels (source ministère). Aujourd’hui peut-on parler d’un bilan ?
Effectivement c’est une réalité que l’Autisme reste un handicap, mais je pense (sans polémique aucune) que l’approche multidisciplinaire doit être privilégiée avec des « variétés d’outils » à offrir à la personne atteinte de l’autisme. Surtout à ne pas faire l’impasse sur les prises en charges thérapeutiques proposées dans les hôpitaux de jour de la pédopsychiatrie.
En cette journée mondiale de la sensibilisation à l’autisme, vous collègues et professionnels de santé de la pédopsychiatrie et moi éducateur avec une expérience de 40 ans, nous devons continuer à croire et à suivre notre chemin de complémentarité nécessaires dans ce domaine de l’autisme.
Surtout appuyons-nous toujours à cette pensée de Jean François Malherbe « Agis en toutes circonstances de façon à cultiver l’autonomie d’autrui et la tienne se développera par surcroît ». Ce que les enfants nous apprennent chaque jour à la Pédopsychiatrie !
Si la plus grande organisation américaine « Austism Speaks » voire d’autres, incitent à allumer en bleu, couleur dit-on « calmante, apaisante et réconfortante » pour les Autistes, les monuments, les ponts, les musées, les maisons, les complexes sportifs…en ce 2 avril. Á la Réunion un parent a eu la belle idée de gravir le sommet de la Roche écrite à pieds avec quelques soutiens d’amis, portant son fils à son dos pendant ce long trajet. Tout un symbole !
Une manière à cette famille, me semble t-il de mettre le projecteur pour que les personnes atteintes d’autisme soient reconnues comme des membres à part entière de la société et non entièrement à part comme actuellement.
Pourtant, un engagement financier du gouvernement de 205 millions d’euros dont 195 millions d’euros pour l’évolution de l’offre médico-sociale a été lancé en mai 2013 dans le cadre du 3ème plan Autisme (2013-2017) qui a été marqué par une volonté politique pour faire progresser l’inclusion des personnes autistes dans notre société. Ce plan a été articulé autour de cinq axes : le diagnostic et les interventions précoces, l’accompagnement tout au long de la vie depuis l’enfance, le soutien aux familles, la recherche ainsi que la formation des professionnels (source ministère). Aujourd’hui peut-on parler d’un bilan ?
Effectivement c’est une réalité que l’Autisme reste un handicap, mais je pense (sans polémique aucune) que l’approche multidisciplinaire doit être privilégiée avec des « variétés d’outils » à offrir à la personne atteinte de l’autisme. Surtout à ne pas faire l’impasse sur les prises en charges thérapeutiques proposées dans les hôpitaux de jour de la pédopsychiatrie.
En cette journée mondiale de la sensibilisation à l’autisme, vous collègues et professionnels de santé de la pédopsychiatrie et moi éducateur avec une expérience de 40 ans, nous devons continuer à croire et à suivre notre chemin de complémentarité nécessaires dans ce domaine de l’autisme.
Surtout appuyons-nous toujours à cette pensée de Jean François Malherbe « Agis en toutes circonstances de façon à cultiver l’autonomie d’autrui et la tienne se développera par surcroît ». Ce que les enfants nous apprennent chaque jour à la Pédopsychiatrie !