Quelques heures après ce « choc », l’ancien premier ministre socialiste Lionel Jospin annonçait son retrait de la vie politique en déclarant au soir du 21 avril 2002 « J’assume pleinement la responsabilité de cet échec et j’en tire les conclusions en me retirant de la vie politique ». Un grand front républicain s’est fondé pour faire barrage aux idées de M. Le Pen et le dimanche 5 mai, M. Chirac l’emporta facilement avec 82,1 % des votes.
Et, il y a 15ans, des mobilisations se sont mis « En marche » instantanément avec des étudiants, des intellectuels, des politiques de tous les bords, des syndicats unitaires, des religieux, des associations, des artistes, des journalistes voire des citoyens lambda ... etc, afin de barrer la route à l’extrême droite surtout les idées prônées.
15 ans après, l’histoire se répète pour la deuxième fois et le duel que les électeurs ont choisi, demeure cette fois ci, M. Emmanuel Macron face à Mme Marine Le Pen. Et c’est M. Fillon candidat de droite qui déclare ce dimanche soir « se retirer de la vie politique en assumant seul la responsabilité de l’échec de la droite à cette présidentielle ».
Depuis, la tendance vers une banalisation de l’extrême droite se voit de plus en plus jour. Même à la Réunion avec « notre vivre ensemble » exceptionnel, on s’est laissé séduire, non pas peut-être par les idées du FN, non pas d’un vote d’adhésion, mais plus par un vote sanction ou un vote de colère à nos hommes politiques, en plaçant Mme Le Pen second à la Réunion avec 23,46%.
Mais, fallait-il absolument surfer sur la vague des extrêmes, venue d'ailleurs pour comprendre tous les maux que souffre notre société ? Les solutions miracles de nos problèmes que proposent Mme Le Pen (de la crise financière, du chômage, de la mondialisation, de la pauvreté…) avec l’insécurité physique, les terrorismes, les violences au grand jour… ne sont-elles pas une grosse « escroquerie intellectuelle » ?
Aujourd’hui je fais le rêve de ce front républicain d’« En marche » à l’Elysée, pour nourrir un peu plus cette terre de liberté, de métissage et de vivre ensemble, qu’est l’Île de La Réunion voire cette France qu’on aime.
Alors, méditons-nous à cette phrase avant le vote du 7 mai prochain " méfions-nous toujours du loup déguisé en agneau car après se sera trop tard " !
Et, il y a 15ans, des mobilisations se sont mis « En marche » instantanément avec des étudiants, des intellectuels, des politiques de tous les bords, des syndicats unitaires, des religieux, des associations, des artistes, des journalistes voire des citoyens lambda ... etc, afin de barrer la route à l’extrême droite surtout les idées prônées.
15 ans après, l’histoire se répète pour la deuxième fois et le duel que les électeurs ont choisi, demeure cette fois ci, M. Emmanuel Macron face à Mme Marine Le Pen. Et c’est M. Fillon candidat de droite qui déclare ce dimanche soir « se retirer de la vie politique en assumant seul la responsabilité de l’échec de la droite à cette présidentielle ».
Depuis, la tendance vers une banalisation de l’extrême droite se voit de plus en plus jour. Même à la Réunion avec « notre vivre ensemble » exceptionnel, on s’est laissé séduire, non pas peut-être par les idées du FN, non pas d’un vote d’adhésion, mais plus par un vote sanction ou un vote de colère à nos hommes politiques, en plaçant Mme Le Pen second à la Réunion avec 23,46%.
Mais, fallait-il absolument surfer sur la vague des extrêmes, venue d'ailleurs pour comprendre tous les maux que souffre notre société ? Les solutions miracles de nos problèmes que proposent Mme Le Pen (de la crise financière, du chômage, de la mondialisation, de la pauvreté…) avec l’insécurité physique, les terrorismes, les violences au grand jour… ne sont-elles pas une grosse « escroquerie intellectuelle » ?
Aujourd’hui je fais le rêve de ce front républicain d’« En marche » à l’Elysée, pour nourrir un peu plus cette terre de liberté, de métissage et de vivre ensemble, qu’est l’Île de La Réunion voire cette France qu’on aime.
Alors, méditons-nous à cette phrase avant le vote du 7 mai prochain " méfions-nous toujours du loup déguisé en agneau car après se sera trop tard " !