Cette expérimentation décidée par le gouvernement socialiste suscite bien des inquiétudes chez bon nombre de français. Voici ce qu'en pensent Yannick MOREAU et Valérie DEBORD, respectivement député-maire d'Olonne-sur-Mer et Adjointe au maire de Nancy:
"Le gouvernement, avec cette expérimentation, balaye d'un revers de la main les mesures de prévention, c'est une véritable légalisation de la consommation de drogue. Cette légalisation des salles de shoot est un message extrêmement néfaste envoyé à notre jeunesse, aux forces de l'ordre et aux familles désemparées. Le gouvernement continue sa destruction systématique des repères de notre civilisation. Les socialistes préfèrent abdiquer face à la toxicomanie en banalisant la consommation de drogue.
Par ailleurs, , d'un strict point de vue de santé publique, les expériences de salles d'auto-injection dans d'autres pays ne donnent aucun résultat médical positif, les toxicomanes ne s'inscrivant pas dans un programme de soin dans ces expérimentations".
Il convient de parler du coût des ces structures : selon l'Académie de médecine, une salle de shoot nécessite un budget annuel compris entre 800 000 et un million d'euros. Sachant qu'il faudrait 200 centres pour couvrir l'ensemble du territoire national, l'enveloppe globale annuelle serait de 250 millions d'euros.
Par ailleurs, le projet de loi ne précise pas les modalités de financement des structures.
A noter que l'interdit sur toutes les drogues est la règle dans la quasi-totalité des pays de l'ONU et nous sommes liés par des conventions internationales qui imposent aux Etats la prohibition des drogues.
"Le gouvernement, avec cette expérimentation, balaye d'un revers de la main les mesures de prévention, c'est une véritable légalisation de la consommation de drogue. Cette légalisation des salles de shoot est un message extrêmement néfaste envoyé à notre jeunesse, aux forces de l'ordre et aux familles désemparées. Le gouvernement continue sa destruction systématique des repères de notre civilisation. Les socialistes préfèrent abdiquer face à la toxicomanie en banalisant la consommation de drogue.
Par ailleurs, , d'un strict point de vue de santé publique, les expériences de salles d'auto-injection dans d'autres pays ne donnent aucun résultat médical positif, les toxicomanes ne s'inscrivant pas dans un programme de soin dans ces expérimentations".
Il convient de parler du coût des ces structures : selon l'Académie de médecine, une salle de shoot nécessite un budget annuel compris entre 800 000 et un million d'euros. Sachant qu'il faudrait 200 centres pour couvrir l'ensemble du territoire national, l'enveloppe globale annuelle serait de 250 millions d'euros.
Par ailleurs, le projet de loi ne précise pas les modalités de financement des structures.
A noter que l'interdit sur toutes les drogues est la règle dans la quasi-totalité des pays de l'ONU et nous sommes liés par des conventions internationales qui imposent aux Etats la prohibition des drogues.