Mais au-delà, il a dû aussi considérer essentiel, qu’à travers l’exposition photographies de M. Yann-Artus Bertrand qui représente un intérêt culturel riche, de l’importance à mettre en lumière ces ouvriers d’Usine pour les donner une identité visuelle particulière de ce lieu rempli d’histoire. Ceci afin de rendre fidèlement hommage à tous ces femmes et ces hommes, qu’on surnomme les « travayèrs tabisman ».
Je ne vois pas autre chose derrière cette invitation, que d’un bel hommage, plein de sens et d’honneur qu’il cherche à bâtir. Associant à la manifestation, ces « travayèrs tabisman » dont certains malheureusement, nous ont quittés bien trop tôt, mais que leur « portré » culminant fièrement dans l’Usine (peut-être trop rarement) ainsi que les machines et objets y sont exposés, dans une atmosphère qui nous fait ressentir l’âme de ce magnifique Musée.
Eux qui ont été toujours assidus au travail souvent très dur quand les années étaient difficiles, eux qui ont été acteurs et témoins de l’histoire du sucre et de la canne, eux qui ont été tous, à mon sens, de grands bâtisseurs, dont le legs se trouve aujourd’hui encore dans ce Musée de Stella.
A ces nombreux hommes mais aussi des femmes qui ont été des acteurs incontournables de la vie sucrière de Stella, que je tiens ici à travers cet écrit et à cette occasion, de rendre un hommage appuyé à l’œuvre accomplie. Sans oublier, une pensée émue à mon père Gabriel, modèle que je me suis d’ailleurs beaucoup nourri, qui est parti lui aussi bien trop tôt, dont l’empreinte restera pendant encore longtemps et toujours gravée dans ma mémoire.
Aujourd’hui, tout ce que nos souhaitons et que nous demandons à M. le Président de la Région, c’est que ce patrimoine reste toujours aussi vivant que visible dans la mémoire collective. Surtout que les « portré des travayèrs tabisman » ne s’empoussièrent pas au fond de l’indifférence et que cet héritage ne sombre à jamais dans l’oubli. C’est le meilleur hommage et un devoir de mémoire qu’on doit à « Nout ban’ zarboutan tabisman » de l’ancienne Usine sucrière Stella St-Leu. Maintenant, soyez tous les gardiens de cette mémoire !
Je ne vois pas autre chose derrière cette invitation, que d’un bel hommage, plein de sens et d’honneur qu’il cherche à bâtir. Associant à la manifestation, ces « travayèrs tabisman » dont certains malheureusement, nous ont quittés bien trop tôt, mais que leur « portré » culminant fièrement dans l’Usine (peut-être trop rarement) ainsi que les machines et objets y sont exposés, dans une atmosphère qui nous fait ressentir l’âme de ce magnifique Musée.
Eux qui ont été toujours assidus au travail souvent très dur quand les années étaient difficiles, eux qui ont été acteurs et témoins de l’histoire du sucre et de la canne, eux qui ont été tous, à mon sens, de grands bâtisseurs, dont le legs se trouve aujourd’hui encore dans ce Musée de Stella.
A ces nombreux hommes mais aussi des femmes qui ont été des acteurs incontournables de la vie sucrière de Stella, que je tiens ici à travers cet écrit et à cette occasion, de rendre un hommage appuyé à l’œuvre accomplie. Sans oublier, une pensée émue à mon père Gabriel, modèle que je me suis d’ailleurs beaucoup nourri, qui est parti lui aussi bien trop tôt, dont l’empreinte restera pendant encore longtemps et toujours gravée dans ma mémoire.
Aujourd’hui, tout ce que nos souhaitons et que nous demandons à M. le Président de la Région, c’est que ce patrimoine reste toujours aussi vivant que visible dans la mémoire collective. Surtout que les « portré des travayèrs tabisman » ne s’empoussièrent pas au fond de l’indifférence et que cet héritage ne sombre à jamais dans l’oubli. C’est le meilleur hommage et un devoir de mémoire qu’on doit à « Nout ban’ zarboutan tabisman » de l’ancienne Usine sucrière Stella St-Leu. Maintenant, soyez tous les gardiens de cette mémoire !