Les 20 000 doses de vaccins seront utilisées dans la campagne de vaccination à laquelle l’Unité de Veille sanitaire de la COI (UVS-COI) participe déjà activement. Quant aux vétérinaires de Madagascar, ils arriveront dans les prochains jours.
Cet appui conséquent de la COI au gouvernement mauricien est rendu possible grâce au soutien de l’Agence française de développement (AFD), bailleur du projet Veille sanitaire de la COI qui collabore étroitement avec le ministère de l’Agro-industrie et de la Sécurité alimentaire.
« C’est ici un exemple concret de l’utilité de notre coopération régionale. Notre réseau SEGA (Surveillance épidémiologique et Gestion des alertes), coordonné par l’UVS-COI, assure en effet une veille constante tant en santé humaine qu’en santé animale et soutient efficacement les pays membres face aux risques et crises épidémiques», souligne Madi Hamada, Secrétaire général de la COI.
En effet, en plus de ce soutien, la COI a également :
- envoyé une équipe d’investigation à Rodrigues du 30 juillet au 4 août, comprenant l’expert vétérinaire de l’UVS-COI et deux vétérinaires mauriciens ;
- pris en charge l’envoi de prélèvements au laboratoire de référence de l’ANSES en France qui a identifié le type de virus de la fièvre aphteuse responsable de l’épidémie ;
- fourni l’expertise technique permanente de deux vétérinaires épidémiologistes auprès de la direction des services vétérinaires ;
- assuré la liaison avec les producteurs de vaccins, Mérial en France et sa filiale dans la région, le Botswana Vaccine Institute ;
- acheté 500 tenues de protection individuelle en provenance de La Réunion ;
- mobilisé le réseau SEGA pour l’échange d’information au niveau régional et ainsi prévenir les
risques éventuels de propagation.
L’alerte à l’épidémie de fièvre aphteuse a été lancée le 19 juillet après la confirmation de plusieurs cas sur l’île mauricienne de Rodrigues. Cette épizootie qui a rapidement touché toute l’île Rodrigues s’est étendue à l’île Maurice. L’UVS de la COI a, dès le début de l’épidémie, apporté son appui aux autorités mauriciennes.
Cet appui conséquent de la COI au gouvernement mauricien est rendu possible grâce au soutien de l’Agence française de développement (AFD), bailleur du projet Veille sanitaire de la COI qui collabore étroitement avec le ministère de l’Agro-industrie et de la Sécurité alimentaire.
« C’est ici un exemple concret de l’utilité de notre coopération régionale. Notre réseau SEGA (Surveillance épidémiologique et Gestion des alertes), coordonné par l’UVS-COI, assure en effet une veille constante tant en santé humaine qu’en santé animale et soutient efficacement les pays membres face aux risques et crises épidémiques», souligne Madi Hamada, Secrétaire général de la COI.
En effet, en plus de ce soutien, la COI a également :
- envoyé une équipe d’investigation à Rodrigues du 30 juillet au 4 août, comprenant l’expert vétérinaire de l’UVS-COI et deux vétérinaires mauriciens ;
- pris en charge l’envoi de prélèvements au laboratoire de référence de l’ANSES en France qui a identifié le type de virus de la fièvre aphteuse responsable de l’épidémie ;
- fourni l’expertise technique permanente de deux vétérinaires épidémiologistes auprès de la direction des services vétérinaires ;
- assuré la liaison avec les producteurs de vaccins, Mérial en France et sa filiale dans la région, le Botswana Vaccine Institute ;
- acheté 500 tenues de protection individuelle en provenance de La Réunion ;
- mobilisé le réseau SEGA pour l’échange d’information au niveau régional et ainsi prévenir les
risques éventuels de propagation.
L’alerte à l’épidémie de fièvre aphteuse a été lancée le 19 juillet après la confirmation de plusieurs cas sur l’île mauricienne de Rodrigues. Cette épizootie qui a rapidement touché toute l’île Rodrigues s’est étendue à l’île Maurice. L’UVS de la COI a, dès le début de l’épidémie, apporté son appui aux autorités mauriciennes.
Selon Wikipédia
La fièvre aphteuse est une maladie virale animale généralement non mortelle, voire bénigne qui affecte notamment les bovins et les porcs, les chèvres, les moutons et d'autres animaux. Très contagieuse, bien que durant un temps de contagion plus bref qu'on ne le pensait autrefois, elle a un fort impact économique qui justifie des politiques nationales et internationales.
Les chevaux n’y sont pas sensibles et les hommes très rarement.
Les chevaux n’y sont pas sensibles et les hommes très rarement.