La FSU n'a eu de cesse ces dernières années, avec d'autres organisations syndicales, d'informer, de mobiliser pour essayer d'être entendue sur la question salariale dans la Fonction publique.
La décision du gouvernement de dégeler la valeur du point d’indice et de le revaloriser est un premier résultat de ces multiples mobilisations.
Après bientôt six années de gel de la valeur du point d’indice, ce rendez-vous salarial d'aujourd'hui était donc capital.
La FSU qui a défendu dans les négociations « PPCR » une approche combinant la revalorisation de la grille et celle de la valeur du point d’indice, a obtenu que ce rendez-vous ait bien lieu au début de l'année de 2016 pour traiter de la « revalorisation du point ».
La réponse du gouvernement est tardive pour bien des agents qui ont vu les difficultés s’accumuler.
Les agents de la Fonction publique ont perdu de 7 à 8 % de leur pouvoir d'achat depuis 2010. Ce qui conduit à une baisse du salaire net moyen en euros constants dans la Fonction publique de près de 1,5 % depuis 2011 (source INSEE).
Pour la FSU, la décision d’en finir avec le gel de la valeur du point d’indice est un signal positif pour les plus de 5 millions d’agents.
L'annonce gouvernementale de 1,2% en deux fois (0,6 % au 1er juillet 2016 et 0,6 % au 1er février 2017) marque une volonté de sortir de cette situation injuste de régression salariale. Mais elle ne peut être qu’un premier pas.
En effet, cette revalorisation n'est pas suffisante pour répondre aux attentes des agents.
C'est pour exiger maintenant l'élaboration d'un plan de rattrapage que la FSU appelle les agents à exprimer cette revendication le 22 mars dans tous les territoires selon des modalités diversifiées.
La décision du gouvernement de dégeler la valeur du point d’indice et de le revaloriser est un premier résultat de ces multiples mobilisations.
Après bientôt six années de gel de la valeur du point d’indice, ce rendez-vous salarial d'aujourd'hui était donc capital.
La FSU qui a défendu dans les négociations « PPCR » une approche combinant la revalorisation de la grille et celle de la valeur du point d’indice, a obtenu que ce rendez-vous ait bien lieu au début de l'année de 2016 pour traiter de la « revalorisation du point ».
La réponse du gouvernement est tardive pour bien des agents qui ont vu les difficultés s’accumuler.
Les agents de la Fonction publique ont perdu de 7 à 8 % de leur pouvoir d'achat depuis 2010. Ce qui conduit à une baisse du salaire net moyen en euros constants dans la Fonction publique de près de 1,5 % depuis 2011 (source INSEE).
Pour la FSU, la décision d’en finir avec le gel de la valeur du point d’indice est un signal positif pour les plus de 5 millions d’agents.
L'annonce gouvernementale de 1,2% en deux fois (0,6 % au 1er juillet 2016 et 0,6 % au 1er février 2017) marque une volonté de sortir de cette situation injuste de régression salariale. Mais elle ne peut être qu’un premier pas.
En effet, cette revalorisation n'est pas suffisante pour répondre aux attentes des agents.
C'est pour exiger maintenant l'élaboration d'un plan de rattrapage que la FSU appelle les agents à exprimer cette revendication le 22 mars dans tous les territoires selon des modalités diversifiées.