Commençons par sa capacité électoraliste.
Que n’a-t-on pas entendu il y a quelques mois, durant la campagne des municipales. Le téléphérique de la Montagne ? Toutes les études sont finies, les travaux vont commencer dès la fin des élections. La cantine gratuite ? Oui, c’est promis. Le Pôle Océan ? C’est vrai, on a pris du retard, mais les travaux vont débuter immédiatement. Le nouveau multiplexe du centre-ville ? A coups de publicités dans les cinémas, et de grands panneaux, on aurait pu croire que son inauguration était immédiate.
Près d’un an après, où en sommes nous ? Au même point qu’en mars dernier : rien n’a débuté, rien n’a changé, aucune promesse n’a été concrétisée !
Pire, et c’est là où il fait preuve d’indécence, le maire de Saint-Denis nous prévient : pour tenir ses engagements, il va falloir se serrer la ceinture. Sous-entendu : les Dionysiens et les employés communaux vont devoir se serrer la ceinture, car, rappelons-le, une fois réélu, la première décision de Gilbert Annette et de ses adjoints a été de voter une forte augmentation de leurs indemnités ! Donc, en résumé, eux s’engraissent et mettent au régime sec tous ceux qui ont cru en leurs promesses ! Si ça, ce n’est pas de l’indécence !
Et Gilbert Annette d’accuser le gouvernement qui lui impose des restrictions budgétaires. La bonne blague ! Ce n’est pas ses députées qui ont voté ces restrictions, sans jamais faire la moindre remarque ? A-t-on entendu la mairie de Saint-Denis protester avec les autres maires sur ces restrictions ? La fermeture des écoles n’était pas indispensable, mais saluons par exemple le courage de Vanessa Miranville qui a osé dire que ces coupes budgétaires étaient injustes et inadmissibles, même si elle n’approuvait pas la décision des maires de droite. A Saint-Denis, non, c’est motus et bouche cousue, et doigt sur la couture du pantalon ou de la jupe, à exécuter les ordres venus de Paris !
Mais que les Dionysiens se rassurent. Nous entrons à nouveau en période électorale. Et là, Gilbert, il excelle. Alors ne vous étonnez pas si, tout d’un coup, il fait voter la cantine gratuite pour certains. Ne vous étonnez pas si, en plein été austral, les panneaux font comme les flamboyants et fleurissent de partout. Ne vous étonnez pas si on repart sur un nouveau lot de promesses, notamment à destination de la Montagne avec un téléphérique qui sera à nouveau prêt à décoller. Ne vous étonnez pas, mais ne soyez pas dupes non plus. Tout ceci, c’est du vent et de la poudre aux yeux ! Et tout le monde sait que la poudre dans les yeux, à force, ça fait pleurer !
Que n’a-t-on pas entendu il y a quelques mois, durant la campagne des municipales. Le téléphérique de la Montagne ? Toutes les études sont finies, les travaux vont commencer dès la fin des élections. La cantine gratuite ? Oui, c’est promis. Le Pôle Océan ? C’est vrai, on a pris du retard, mais les travaux vont débuter immédiatement. Le nouveau multiplexe du centre-ville ? A coups de publicités dans les cinémas, et de grands panneaux, on aurait pu croire que son inauguration était immédiate.
Près d’un an après, où en sommes nous ? Au même point qu’en mars dernier : rien n’a débuté, rien n’a changé, aucune promesse n’a été concrétisée !
Pire, et c’est là où il fait preuve d’indécence, le maire de Saint-Denis nous prévient : pour tenir ses engagements, il va falloir se serrer la ceinture. Sous-entendu : les Dionysiens et les employés communaux vont devoir se serrer la ceinture, car, rappelons-le, une fois réélu, la première décision de Gilbert Annette et de ses adjoints a été de voter une forte augmentation de leurs indemnités ! Donc, en résumé, eux s’engraissent et mettent au régime sec tous ceux qui ont cru en leurs promesses ! Si ça, ce n’est pas de l’indécence !
Et Gilbert Annette d’accuser le gouvernement qui lui impose des restrictions budgétaires. La bonne blague ! Ce n’est pas ses députées qui ont voté ces restrictions, sans jamais faire la moindre remarque ? A-t-on entendu la mairie de Saint-Denis protester avec les autres maires sur ces restrictions ? La fermeture des écoles n’était pas indispensable, mais saluons par exemple le courage de Vanessa Miranville qui a osé dire que ces coupes budgétaires étaient injustes et inadmissibles, même si elle n’approuvait pas la décision des maires de droite. A Saint-Denis, non, c’est motus et bouche cousue, et doigt sur la couture du pantalon ou de la jupe, à exécuter les ordres venus de Paris !
Mais que les Dionysiens se rassurent. Nous entrons à nouveau en période électorale. Et là, Gilbert, il excelle. Alors ne vous étonnez pas si, tout d’un coup, il fait voter la cantine gratuite pour certains. Ne vous étonnez pas si, en plein été austral, les panneaux font comme les flamboyants et fleurissent de partout. Ne vous étonnez pas si on repart sur un nouveau lot de promesses, notamment à destination de la Montagne avec un téléphérique qui sera à nouveau prêt à décoller. Ne vous étonnez pas, mais ne soyez pas dupes non plus. Tout ceci, c’est du vent et de la poudre aux yeux ! Et tout le monde sait que la poudre dans les yeux, à force, ça fait pleurer !