Pour cela, il faut observer que nos jeunes (tout comme nous-mêmes) sont prisonniers du mythe puissant de la technicité avec une omniprésence des écrans dans leur vie quotidienne, même si bien souvent, la plupart d’entre eux, ne maîtrisent que les usages et pas la face cachée des applications et autres réseaux sociaux : à savoir les langages et les codes de programmation (valeur ajoutée). Ceci étant, rien ne nous empêche de les encourager à approfondir leurs talents dans l’informatique du futur, même si pas tout(e)s n’y arriveront.
Nonobstant, face à cette situation délétère à long terme, prouvée par le choix d’une scolarité sans écrans pour les enfants des géants américains de la Silicon Valley, deux choix possibles s’offrent à nous. Soit, nous leur interdisons ces outils de « paix sociale relative » dans les ménages, soit, nous en trouvons le bon côté pour eux et pour nous-mêmes.
Vous me direz, mais comment faire ? En fait, il ne s’agit pas de façon hypocrite de mesurer le temps des écrans, pour, au final, s’entendre dire qu’on a toujours fait trop d’écrans et plus que la veille, et, donc culpabiliser pour rien.
En réalité, on a développé avec les écrans, le même rapport compulsif qu’on a développé avec la nourriture. Il faut donc bien en prendre conscience sur cette « infodémie » qui menace notre « vivre ensemble » à la maison.
Ceci étant dit, il va falloir devenir plus intelligent que les réseaux sociaux, ce que certains précurseurs ont commencé à faire en créant des groupes d’entraide fort utiles sur Facebook par exemple sur beaucoup de thèmes différents (cuisine, voyage, circulation sur la route, météos, santé entre autres centres d’intérêt). Pareillement, sur Instagram, il ne s’agit plus de faire simplement des selfies pour se mettre en avant, mais plutôt de communiquer les coordonnées téléphoniques ou de partager un lien via la messagerie WhatSapp permettant de poursuivre la conversation qui peut déboucher sur des vraies opportunités de micro-commerce.
En effet, l’ère des grands centres commerciaux est sur le déclin dans le format actuel tel que nous le connaissons encore, car, dans le futur, on risque de voir émerger les enseignes des influenceurs, au féminin pour la plupart d’entre eux, lesquelles vont supplanter les franchises actuelles. En plus, on viendra y chercher plus de verdures, avec pourquoi pas un potager gourmand et pédagogique, on viendra s’offrir des massages de bien-être et de détente et on cherchera dans ses temples du futur toutes les choses qui nous feront oublier que nous sommes que des consommateurs.
Enfin, forts de l’esprit de la « Fête des voisins » toute l’année et de l’essor du concept du « quart d’heure en savates » dans la ville, il est grand temps de se (re)mettre à une activité de loisirs (cuisine traditionnelle, couture sur mesure de pièces uniques, pâtisserie personnalisable, vendeur de lait, mini producteurs de beurre, jardins partagés ou jardinières en terrasses, petits travaux ménagers, confection de petits gâteaux pour le goûter de nos marmailles, menus dépannages, artisanat de l’upcycling, décoration d’intérieur, personal shopper, prêt de petits équipements, chef cuisiner à domicile, réparateur de petit électroménager, fabricant de jouets en bois, préparateur de petits-déjeuners ou brunchs (comme activité forte sur Instagram), créateur de luminaires entre autres formes de désirs qui répondent à une attente de créativité) qu’elle soit génératrice de petits compléments de revenus confortables ou qu’elle soit fondée sur l’esprit du troc. Ce n’est qu’ainsi qu’on supplantera la domination écrasante exercée par les multinationales sur le cours de nos vies, ce n’est qu’ainsi qu’on inscrira, nos destinées, hors du joug de quiconque et qu’on fera fructifier l’entraide et l’esprit de bon voisinage, qu’on développera une véritable ruche humaine à vocation sociale et solidaire, dans la joie et la bonne humeur, avec le retour de l’authentique, du goût et de la proximité. C’est en cela que réside la passion des relations humaines véridiques et sincères. Il faut retourner au « fait maison », à l’authenticité des repas d’antan fondés sur les légumes racines (pauvre en calories, nourrissant et nourricier en amour). Nous avons besoin de faire preuve de créativité et d’audace pour nous lancer, comme on lance une mode qui soit cependant durable dans le temps, afin de transmettre des valeurs, qui font recette, à nos générations futures, pour qu’ils aient toujours la passion de l’humain aux côtés de l’exercice d’un métier « alimentaire » qui manque de plus en plus de faire sens. C’est aussi comme cela qu’on parviendra à recréer l’écosystème humain avec les bonnes adresses pour en faire des réseaux vertueux fondés sur des liens humains tissés avec les fils de la vraie fraternité vivante et touchante. C’est pourquoi, en dehors du troc, l’Etat aurait tout intérêt à inciter, à soutenir et à encourager ce genre d’initiatives avec une fiscalité zéro en-dessous de 1 000 € de compléments de revenus mensuels, au lieu de faire cadeau de milliards à de très grosses entreprises dont le ruissellement ne se voit pas.
Nonobstant, face à cette situation délétère à long terme, prouvée par le choix d’une scolarité sans écrans pour les enfants des géants américains de la Silicon Valley, deux choix possibles s’offrent à nous. Soit, nous leur interdisons ces outils de « paix sociale relative » dans les ménages, soit, nous en trouvons le bon côté pour eux et pour nous-mêmes.
Vous me direz, mais comment faire ? En fait, il ne s’agit pas de façon hypocrite de mesurer le temps des écrans, pour, au final, s’entendre dire qu’on a toujours fait trop d’écrans et plus que la veille, et, donc culpabiliser pour rien.
En réalité, on a développé avec les écrans, le même rapport compulsif qu’on a développé avec la nourriture. Il faut donc bien en prendre conscience sur cette « infodémie » qui menace notre « vivre ensemble » à la maison.
Ceci étant dit, il va falloir devenir plus intelligent que les réseaux sociaux, ce que certains précurseurs ont commencé à faire en créant des groupes d’entraide fort utiles sur Facebook par exemple sur beaucoup de thèmes différents (cuisine, voyage, circulation sur la route, météos, santé entre autres centres d’intérêt). Pareillement, sur Instagram, il ne s’agit plus de faire simplement des selfies pour se mettre en avant, mais plutôt de communiquer les coordonnées téléphoniques ou de partager un lien via la messagerie WhatSapp permettant de poursuivre la conversation qui peut déboucher sur des vraies opportunités de micro-commerce.
En effet, l’ère des grands centres commerciaux est sur le déclin dans le format actuel tel que nous le connaissons encore, car, dans le futur, on risque de voir émerger les enseignes des influenceurs, au féminin pour la plupart d’entre eux, lesquelles vont supplanter les franchises actuelles. En plus, on viendra y chercher plus de verdures, avec pourquoi pas un potager gourmand et pédagogique, on viendra s’offrir des massages de bien-être et de détente et on cherchera dans ses temples du futur toutes les choses qui nous feront oublier que nous sommes que des consommateurs.
Enfin, forts de l’esprit de la « Fête des voisins » toute l’année et de l’essor du concept du « quart d’heure en savates » dans la ville, il est grand temps de se (re)mettre à une activité de loisirs (cuisine traditionnelle, couture sur mesure de pièces uniques, pâtisserie personnalisable, vendeur de lait, mini producteurs de beurre, jardins partagés ou jardinières en terrasses, petits travaux ménagers, confection de petits gâteaux pour le goûter de nos marmailles, menus dépannages, artisanat de l’upcycling, décoration d’intérieur, personal shopper, prêt de petits équipements, chef cuisiner à domicile, réparateur de petit électroménager, fabricant de jouets en bois, préparateur de petits-déjeuners ou brunchs (comme activité forte sur Instagram), créateur de luminaires entre autres formes de désirs qui répondent à une attente de créativité) qu’elle soit génératrice de petits compléments de revenus confortables ou qu’elle soit fondée sur l’esprit du troc. Ce n’est qu’ainsi qu’on supplantera la domination écrasante exercée par les multinationales sur le cours de nos vies, ce n’est qu’ainsi qu’on inscrira, nos destinées, hors du joug de quiconque et qu’on fera fructifier l’entraide et l’esprit de bon voisinage, qu’on développera une véritable ruche humaine à vocation sociale et solidaire, dans la joie et la bonne humeur, avec le retour de l’authentique, du goût et de la proximité. C’est en cela que réside la passion des relations humaines véridiques et sincères. Il faut retourner au « fait maison », à l’authenticité des repas d’antan fondés sur les légumes racines (pauvre en calories, nourrissant et nourricier en amour). Nous avons besoin de faire preuve de créativité et d’audace pour nous lancer, comme on lance une mode qui soit cependant durable dans le temps, afin de transmettre des valeurs, qui font recette, à nos générations futures, pour qu’ils aient toujours la passion de l’humain aux côtés de l’exercice d’un métier « alimentaire » qui manque de plus en plus de faire sens. C’est aussi comme cela qu’on parviendra à recréer l’écosystème humain avec les bonnes adresses pour en faire des réseaux vertueux fondés sur des liens humains tissés avec les fils de la vraie fraternité vivante et touchante. C’est pourquoi, en dehors du troc, l’Etat aurait tout intérêt à inciter, à soutenir et à encourager ce genre d’initiatives avec une fiscalité zéro en-dessous de 1 000 € de compléments de revenus mensuels, au lieu de faire cadeau de milliards à de très grosses entreprises dont le ruissellement ne se voit pas.