Déjà au procès de DSK aux USA, on avait découvert que Twitter pouvait être un formidable outil pour relayer l’info rapido. D’ailleurs, bon nombre d’hommes politik sont devenus addict à ce site de micro-blogging.
Si officiellement, il était interdit de publier le moindre chiffre avant 20 heures; sous le hashtag #RadioLondres, #IciLondres, les twittos parlent aux twittos, les Followers ont rivalisé d’imagination sur Twitter, pour divulguer les estimations sans en avoir l’air, à partir d’infos piqués aux sites Belges et Suisses. Si bien que dans l’après-midi, tout le monde pouvait être au courant du secret de Polichinelle, avec le Quinté dans l’ordre, photos à l’appui.
Relayant des messages codés subliminaux, tous plus loufoques les uns que les autres, ponctués de « je répète, je répète ! », pas besoin de se munir d’un décodeur sophistiqué pour déchiffrer. Quand on sait que les # ou hashtags sont des moyens pour ajouter des infos additionnelles aux tweets, décrivant un événement.
Certains se sont déguisés en météorologues prédisant le temps, en fonction du lieu ou de la couleur politique de chaque candidat. Corrèze 28 ? Neuilly 25 ? Moscou 14 ? Norvège 3 ?
D’autres se sont transformés en Traders, annonçant le cours de la Rolex, du flan, de l’Edam, de la Mimolette…
Les plus inspirés, ont revisité les messages de 1940, à leur façon : « les carottes sont cuites, les lunettes vertes n’ont pas pris l’ascenseur, la tomate est mûre, la sauce béarnaise n’a pas pris … »
A l’heure des réseaux sociaux, de la révolution digitale, difficile de tout contrôler : vie privée, vie publique, vie politik.
La toile aurait-elle pris le pouvoir à l’instar de la célèbre créature de Frankenstein ?
Si officiellement, il était interdit de publier le moindre chiffre avant 20 heures; sous le hashtag #RadioLondres, #IciLondres, les twittos parlent aux twittos, les Followers ont rivalisé d’imagination sur Twitter, pour divulguer les estimations sans en avoir l’air, à partir d’infos piqués aux sites Belges et Suisses. Si bien que dans l’après-midi, tout le monde pouvait être au courant du secret de Polichinelle, avec le Quinté dans l’ordre, photos à l’appui.
Relayant des messages codés subliminaux, tous plus loufoques les uns que les autres, ponctués de « je répète, je répète ! », pas besoin de se munir d’un décodeur sophistiqué pour déchiffrer. Quand on sait que les # ou hashtags sont des moyens pour ajouter des infos additionnelles aux tweets, décrivant un événement.
Certains se sont déguisés en météorologues prédisant le temps, en fonction du lieu ou de la couleur politique de chaque candidat. Corrèze 28 ? Neuilly 25 ? Moscou 14 ? Norvège 3 ?
D’autres se sont transformés en Traders, annonçant le cours de la Rolex, du flan, de l’Edam, de la Mimolette…
Les plus inspirés, ont revisité les messages de 1940, à leur façon : « les carottes sont cuites, les lunettes vertes n’ont pas pris l’ascenseur, la tomate est mûre, la sauce béarnaise n’a pas pris … »
A l’heure des réseaux sociaux, de la révolution digitale, difficile de tout contrôler : vie privée, vie publique, vie politik.
La toile aurait-elle pris le pouvoir à l’instar de la célèbre créature de Frankenstein ?