Le jeu du foulard, souvent passé sous silence ou banalisé est un jeu dangereux pour les enfants. Vous savez, ce jeu qui consiste à expérimenter des nouvelles sensations rappelant l’ivresse avant l’évanouissement !
Quand un ado rentre chez lui dans un état bizarre, après avoir fumé des joints ou bu et qu’on ne lui dit rien, il peut penser qu’il ne compte pour personne et s’enfoncer dans l’auto-destruction.
Après une agression sexuelle, comment trouver les mots pour le dire, alors que la victime est en proie à la honte, à la culpabilité, à la peur du regard des autres ? Dire c’est revivre, même des années après.
A force de seriner à un enfant, à un ado, à un adulte : « T’es nul, t’es bon à rien ! », on finit par penser qu’on est vraiment nul.
Quand un homme frappe une femme, jusqu’à ce que mort s’en suive, bien souvent le feu couvait sous la cendre. Personne n’a entendu les appels au secours de l’un et de l’autre.
Dès la première brimade, dès la première claque, oser dire : « STOP ou je porte plainte ! »
Si une victime a droit au statut de victime pour se reconstruire, l’agresseur doit faire l’objet de soins lui aussi (mettre des mots sur son acte), pour ne pas retomber dans le cercle vicieux de la violence après la prison.
Quand un ado rentre chez lui dans un état bizarre, après avoir fumé des joints ou bu et qu’on ne lui dit rien, il peut penser qu’il ne compte pour personne et s’enfoncer dans l’auto-destruction.
Après une agression sexuelle, comment trouver les mots pour le dire, alors que la victime est en proie à la honte, à la culpabilité, à la peur du regard des autres ? Dire c’est revivre, même des années après.
A force de seriner à un enfant, à un ado, à un adulte : « T’es nul, t’es bon à rien ! », on finit par penser qu’on est vraiment nul.
Quand un homme frappe une femme, jusqu’à ce que mort s’en suive, bien souvent le feu couvait sous la cendre. Personne n’a entendu les appels au secours de l’un et de l’autre.
Dès la première brimade, dès la première claque, oser dire : « STOP ou je porte plainte ! »
Si une victime a droit au statut de victime pour se reconstruire, l’agresseur doit faire l’objet de soins lui aussi (mettre des mots sur son acte), pour ne pas retomber dans le cercle vicieux de la violence après la prison.