Le besoin "impétueux" d'étaler sa vie privée sur la place publique, dessert plus qu'il ne sert. Ce que l'on retient, c'est une hystérisation de la vie politik, allant de pair avec une hystérisation de la presse.
Tout a commencé par cette virée dans une brasserie populaire nommée "Le Fouquet's". Puis on enchaîna sur la balade au clair de lune à bord d'un modeste Yacht, en passant par la visite en amoureux à Disneyland. Le pompon fut la période Rayban Egyptienne, avec ce petit garçon sur les épaules, apeuré par les flashs des photographes.
Le comportement a occulté l'action, avec les écarts de langage qui ont fait le tour de la planète. Les querelles de chef et les batailles de famille n'ont rien arrangé à la chose.
Dans un pays en crise, la désignation d'un bouc-émissaire est inévitable: la faute à l'islam, à l'immigration, en jouant sur les peurs collectives, les fantasmes de xénophobie.
Ajoutons à cela, un irrépressible besoin de foncer dans le brouillard, bien avant même les conclusions d'une enquête: un fait divers, une loi. On se souvient de la prétendue agression d'un principal de Collège de Seine Saint-Denis, qui mit en cause à tort, la délinquance juvénile.
Que dire de cette mise en scène, véritable show médiatique d'un déploiement de force d'une violence inouïe contre un immeuble et son seul occupant, après des heures de palabres commentées en long, en large et en travers?
Un nouvel homme a été élu. On le sent pondéré, réfléchi. On le dit adepte du consensus. Faut juste qu'il cultive sa voix.
Pourvu que celui par qui le scandale est arrivé, ne revienne faire tâche au devant de la scène politik, si brillant économiste qu'il fut!
Tout a commencé par cette virée dans une brasserie populaire nommée "Le Fouquet's". Puis on enchaîna sur la balade au clair de lune à bord d'un modeste Yacht, en passant par la visite en amoureux à Disneyland. Le pompon fut la période Rayban Egyptienne, avec ce petit garçon sur les épaules, apeuré par les flashs des photographes.
Le comportement a occulté l'action, avec les écarts de langage qui ont fait le tour de la planète. Les querelles de chef et les batailles de famille n'ont rien arrangé à la chose.
Dans un pays en crise, la désignation d'un bouc-émissaire est inévitable: la faute à l'islam, à l'immigration, en jouant sur les peurs collectives, les fantasmes de xénophobie.
Ajoutons à cela, un irrépressible besoin de foncer dans le brouillard, bien avant même les conclusions d'une enquête: un fait divers, une loi. On se souvient de la prétendue agression d'un principal de Collège de Seine Saint-Denis, qui mit en cause à tort, la délinquance juvénile.
Que dire de cette mise en scène, véritable show médiatique d'un déploiement de force d'une violence inouïe contre un immeuble et son seul occupant, après des heures de palabres commentées en long, en large et en travers?
Un nouvel homme a été élu. On le sent pondéré, réfléchi. On le dit adepte du consensus. Faut juste qu'il cultive sa voix.
Pourvu que celui par qui le scandale est arrivé, ne revienne faire tâche au devant de la scène politik, si brillant économiste qu'il fut!
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