Yolande Pausé avait demandé des excuses publiques à Maurice Gironcel. C'était bien avant la clôture du dépôt des listes du 12 janvier. L'ancien maire était prêt à lui présenté des excuses, mais en privé. Son successeur n'en a pas voulu. Chacun(e) est alors resté(e) sur sa position. Et chacun(e) a conduit sa liste lors du premier tour.
Seulement depuis hier soir, un événement particulier est survenu. Maurice Gironcel (43,05 %) a largement distancé Yolande Pausé (13,03 %). Et, Maurice Gironcel a plus que jamais besoin de Yolande Pausé pour espérer retrouver le fauteuil de Sainte-Suzanne. Que va faire le maire communiste ? Nous lui avons posé la question. Nous laissons apprécier la réponse.
Debout à côté de son bureau, souriante, malicieuse et lucide, l'édile avait du mal à ne pas trépigner de joie. "Nous allons d'abord nous réunir. Les colistières et les colistiers vont échanger, discuter, débattre et décider quelle suite donner à notre combat pour Sainte-Suzanne". Ça c'est pour la version officielle.
Il y a aussi la version humaine. "Je n'ai pas oublié les humiliations, le traitement auquel moi et les conseillers municipaux encore en exercice, ont eu droit. Ce soir (ndlr : hier) l'heure des traîtres a sonné". Les "traîtres" ont aujourd'hui l'avenir du parti communiste à Sainte-Suzanne. Le PCR l'avait anticipé puisque le quotidien du parti avait épargné Yolande Pausé.
Ce ne sera sans doute plus le cas, à partir de mardi soir...
Seulement depuis hier soir, un événement particulier est survenu. Maurice Gironcel (43,05 %) a largement distancé Yolande Pausé (13,03 %). Et, Maurice Gironcel a plus que jamais besoin de Yolande Pausé pour espérer retrouver le fauteuil de Sainte-Suzanne. Que va faire le maire communiste ? Nous lui avons posé la question. Nous laissons apprécier la réponse.
Debout à côté de son bureau, souriante, malicieuse et lucide, l'édile avait du mal à ne pas trépigner de joie. "Nous allons d'abord nous réunir. Les colistières et les colistiers vont échanger, discuter, débattre et décider quelle suite donner à notre combat pour Sainte-Suzanne". Ça c'est pour la version officielle.
Il y a aussi la version humaine. "Je n'ai pas oublié les humiliations, le traitement auquel moi et les conseillers municipaux encore en exercice, ont eu droit. Ce soir (ndlr : hier) l'heure des traîtres a sonné". Les "traîtres" ont aujourd'hui l'avenir du parti communiste à Sainte-Suzanne. Le PCR l'avait anticipé puisque le quotidien du parti avait épargné Yolande Pausé.
Ce ne sera sans doute plus le cas, à partir de mardi soir...