Quel regard portez-vous sur l'évolution de La Possession en 40 ans ?
La ville de La Possession a évolué en 40 ans, de façon anarchique. On a des constructions qui ont poussé comme des champignons, un peu partout, sans cohérence entre les quartiers. Et même à l'intérieur des quartiers, il n'y a pas d'aménagements de proximité. On n'a pas de petits commerces, de services de proximité, et d'aires de jeu. On manque de trottoirs. L'éclairage public n'est pas uniforme. La Possession est vraiment une ville-dortoir qui ne propose pas un cadre de vie agréable pour ses habitants.
Que votre mouvement propose ?
La Possession écologie solidaire a commencé à apporter une autre vision de la politique, une autre façon de la concevoir. Cela fait trois ans que nous allons à la rencontre de la population. Nous sommes à l'écoute des Possessionnais. Nous prenons leur avis. C'est ainsi que nous ferons de La Possession, la première ville durable de La Réunion.
Comment Vanessa Miranville va mener cette campagne par rapport à 2011 ?
Nous sommes un groupe de citoyens sans étiquette politique, avec le soutien de plus de 2.200 sympathisants. Ce sera une campagne citoyenne. Ça va être une campagne où on sera encore plus - si c'est possible - à l'écoute de la population. Les projets que nous avons commencé à construire, c'est déjà le reflet de tous les porte-à-porte et de toutes les réunions que nous avons eu avec les Possessionnais. Chaque citoyen doit savoir et sentir à quel point son avis compte dans le devenir de sa commune.
Comment ont évolué Vanessa Miranville et La Possession écologie solidaire depuis 2011 ?
Nous sommes vraiment convaincus qu'il faut un nouveau modèle. Lors des différents scrutins l'abstention ne cesse d'augmenter. Le citoyen a l'impression d'être déposséder de son pouvoir civique, d'être relégué au simple rôle "de couler un bulletin dans l'urne tous les six ans. Les électeurs doivent sentir qu'ils ont réellement le pouvoir de décision. Ils ont besoin de se réapproprier ce pouvoir.
Sur la vidéo, Vanessa Miranville explique sa conception d'un leader politique.
La ville de La Possession a évolué en 40 ans, de façon anarchique. On a des constructions qui ont poussé comme des champignons, un peu partout, sans cohérence entre les quartiers. Et même à l'intérieur des quartiers, il n'y a pas d'aménagements de proximité. On n'a pas de petits commerces, de services de proximité, et d'aires de jeu. On manque de trottoirs. L'éclairage public n'est pas uniforme. La Possession est vraiment une ville-dortoir qui ne propose pas un cadre de vie agréable pour ses habitants.
Que votre mouvement propose ?
La Possession écologie solidaire a commencé à apporter une autre vision de la politique, une autre façon de la concevoir. Cela fait trois ans que nous allons à la rencontre de la population. Nous sommes à l'écoute des Possessionnais. Nous prenons leur avis. C'est ainsi que nous ferons de La Possession, la première ville durable de La Réunion.
Comment Vanessa Miranville va mener cette campagne par rapport à 2011 ?
Nous sommes un groupe de citoyens sans étiquette politique, avec le soutien de plus de 2.200 sympathisants. Ce sera une campagne citoyenne. Ça va être une campagne où on sera encore plus - si c'est possible - à l'écoute de la population. Les projets que nous avons commencé à construire, c'est déjà le reflet de tous les porte-à-porte et de toutes les réunions que nous avons eu avec les Possessionnais. Chaque citoyen doit savoir et sentir à quel point son avis compte dans le devenir de sa commune.
Comment ont évolué Vanessa Miranville et La Possession écologie solidaire depuis 2011 ?
Nous sommes vraiment convaincus qu'il faut un nouveau modèle. Lors des différents scrutins l'abstention ne cesse d'augmenter. Le citoyen a l'impression d'être déposséder de son pouvoir civique, d'être relégué au simple rôle "de couler un bulletin dans l'urne tous les six ans. Les électeurs doivent sentir qu'ils ont réellement le pouvoir de décision. Ils ont besoin de se réapproprier ce pouvoir.
Sur la vidéo, Vanessa Miranville explique sa conception d'un leader politique.
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