Le seul élu à avoir une fonction élective unique, c'est Nicolas Sarkozy. Il est président de la République. Ses indemnités mensuelles s'élèvaient à plus de 22.720 € brut/mois en 2011. C'est vrai, c'est le seul responsable politique qui fixe lui-même sa rémunération. Et celle-ci n'est pas écrêtée à 8.100 € brut/mois. Comme c'est le cas pour les indemnités politiques de l'ensemble des élus de la République.
"Une femme, un homme, un mandat, d'un point de vue purement politique, c'est impossible. Car, chaque fonction élective s'appuie d'abord sur un socle électoral. Et, le meilleur socle électoral reste la municipalité. Sans la mairie, il est difficile de faire élire ou réélire ses conseillers généraux ou régionaux, un sénateur ou un député. Et, le poste que conserve la plupart du temps l'élu concerné par le cumul de mandats, c'est bien celui de maire.
"Un femme, un homme, un mandat, ce n'est qu'un slogan. Ce n'est qu'une vue de l'esprit pour limiter les mandats et les indemnités par élu. Comment un politique qui a plus de deux fonctions électives, peut-il physiquement, matériellement et en terme de temps, remplir correctement ses missions ? Là aussi, c'est impossible. Certains élus ne sont que des mercenaires à la quête des indemnités. Et des avantages en nature (missions, représentations et voyages)…
"Une femme, un homme, un mandat, est une impossible équation. C'est de la démagogie de faire croire le contraire. Quel parti politique peut se vanter d'appliquer ce slogan. Ce n'est que du pipeau joué par certains pour donner une bonne image à un parti politique. C'est tout. Et d'ailleurs pourquoi ce parti ne l'applique pas à ses propres élus ?"
"Une femme, un homme, un mandat, d'un point de vue purement politique, c'est impossible. Car, chaque fonction élective s'appuie d'abord sur un socle électoral. Et, le meilleur socle électoral reste la municipalité. Sans la mairie, il est difficile de faire élire ou réélire ses conseillers généraux ou régionaux, un sénateur ou un député. Et, le poste que conserve la plupart du temps l'élu concerné par le cumul de mandats, c'est bien celui de maire.
"Un femme, un homme, un mandat, ce n'est qu'un slogan. Ce n'est qu'une vue de l'esprit pour limiter les mandats et les indemnités par élu. Comment un politique qui a plus de deux fonctions électives, peut-il physiquement, matériellement et en terme de temps, remplir correctement ses missions ? Là aussi, c'est impossible. Certains élus ne sont que des mercenaires à la quête des indemnités. Et des avantages en nature (missions, représentations et voyages)…
"Une femme, un homme, un mandat, est une impossible équation. C'est de la démagogie de faire croire le contraire. Quel parti politique peut se vanter d'appliquer ce slogan. Ce n'est que du pipeau joué par certains pour donner une bonne image à un parti politique. C'est tout. Et d'ailleurs pourquoi ce parti ne l'applique pas à ses propres élus ?"