Deux partis politiques symbolisent la Gauche à La Réunion. Le PS et le PCR. La Droite, depuis la disparition de l'UDF, l'UMP est la référence en métropole. Egalement dans notre île, en nombre d'adhérents (plus de 4.000) et de par son organisation et du nombre de ses élus. L'UDI, nouvelle venue, se structure lors de sa convention, le 9 juin prochain. L'Union des démocrates et indépendants a la particularité de regrouper tous les courants du Centre au Centre droit.
La multiplication des tendances centristes au sein de l'UDI, crée un trouble, tant la volonté d'instrumentaliser l'UDI, est flagrante. Cette voie de "garage" permet d'une part, à certains de pas (re)prendre leur carte d'adhésion à l'UMP, et à d'autres de s'éloigner d'Objectif Réunion et de La Réunion en confiance, deux coquilles vides depuis longtemps. L'UDI a l'avantage de redonner un visage au Centre droit. Il est vrai qu'il y avait un vide depuis la fin de l'UDF.
La troisième force à Droite, c'est Didier Robert. Premier (et seul) délégué général d'Objectif Réunion (créé en 2008), puis président de La Réunion en confiance (créee en 2009), Didier Robert, unique caution de ces deux entités, détient aujourd'hui la clé d'un troisième courant à Droite. Celui qui a été pendant trois ans, le chef incontesté de la Droite constate que son autorité ne repose plus que sur sa présidence à la Région Réunion. Peut-il, comme annoncé depuis des mois, encore créer son propre parti politique, ne serait-ce que le seul objectif de garder la majorité au Conseil régional en 2015 ? Sans aucun doute.
En attendant, la Droite a comme axe et socle l'UMP locale, pour donner un visage politique concret à son existence, sa crédibilité et sa légitimité. La section UMP Réunion veut désormais consolider sa place au sein du microcosme local. Sur le terrain, les adhésions se poursuivent. Le président lui-même, Michel Fontaine, et son équipe remplissent les carnets d'adhésion. Le poids du nombre d'adhérents, les représentations politiques et la notoriété du parti, seront déterminants lors des négociations pour la construction de l'union.
C'est aussi pour cette raison que les membres de l'UDI mettent les bouchées doubles à deux semaines de la Convention du parti. Chaque place au sein du bureau et des différentes commissions, vaudra son pesant d'adhérents. Et c'est tant mieux pour la Droite. Car, elle a besoin d'une structuration, à défaut d'une refondation, annoncée mais jamais proposée. Cette démarche aura aussi pour avantage de devenir le terreau dans lequel l'UMP et l'UDI pourront faire germer une vraie union de la Droite...
La multiplication des tendances centristes au sein de l'UDI, crée un trouble, tant la volonté d'instrumentaliser l'UDI, est flagrante. Cette voie de "garage" permet d'une part, à certains de pas (re)prendre leur carte d'adhésion à l'UMP, et à d'autres de s'éloigner d'Objectif Réunion et de La Réunion en confiance, deux coquilles vides depuis longtemps. L'UDI a l'avantage de redonner un visage au Centre droit. Il est vrai qu'il y avait un vide depuis la fin de l'UDF.
La troisième force à Droite, c'est Didier Robert. Premier (et seul) délégué général d'Objectif Réunion (créé en 2008), puis président de La Réunion en confiance (créee en 2009), Didier Robert, unique caution de ces deux entités, détient aujourd'hui la clé d'un troisième courant à Droite. Celui qui a été pendant trois ans, le chef incontesté de la Droite constate que son autorité ne repose plus que sur sa présidence à la Région Réunion. Peut-il, comme annoncé depuis des mois, encore créer son propre parti politique, ne serait-ce que le seul objectif de garder la majorité au Conseil régional en 2015 ? Sans aucun doute.
En attendant, la Droite a comme axe et socle l'UMP locale, pour donner un visage politique concret à son existence, sa crédibilité et sa légitimité. La section UMP Réunion veut désormais consolider sa place au sein du microcosme local. Sur le terrain, les adhésions se poursuivent. Le président lui-même, Michel Fontaine, et son équipe remplissent les carnets d'adhésion. Le poids du nombre d'adhérents, les représentations politiques et la notoriété du parti, seront déterminants lors des négociations pour la construction de l'union.
C'est aussi pour cette raison que les membres de l'UDI mettent les bouchées doubles à deux semaines de la Convention du parti. Chaque place au sein du bureau et des différentes commissions, vaudra son pesant d'adhérents. Et c'est tant mieux pour la Droite. Car, elle a besoin d'une structuration, à défaut d'une refondation, annoncée mais jamais proposée. Cette démarche aura aussi pour avantage de devenir le terreau dans lequel l'UMP et l'UDI pourront faire germer une vraie union de la Droite...