"Comment les croire ? eux qui ne se ressemblent pas et que rien ne rassemble, si ce n'est leur égo politique sur-dimensionné. Comment croire en une telle armée mexicaine, qui certes accepte et tente de réunir toutes les composantes et sensibilité du centre et de la droite, mais qui présente encore la politique comme un clivage droite-gauche, alors qu'il nous faut aujourd'hui, pour servir les Réunionnais, aller bien au delà de ce clivage bipolaire.
Comment croire en ces caciques locaux qui hormis M. Fouassin, ne se rejoignent que pour rafler des postes clés, tant dans les mairies, que dans les collectivités. Comment expliquer ces antagonismes et oppositions, justifier ces combats de coq au sein même de la droite et du centre, ces migrations aussi, pour certaines, qui passent de l'UMP vers le centre, puis le centre droit, peut être bientôt vers une "droite sociale" (j'oubliais, elle existe déjà..). Pourquoi ne pas créer une droite de la gauche pendant que vous y êtes ?!!!;..
Quelle constance dans les idées, quelle détermination, quels projets pour la Réunion !!!! Sa composition, "une nouvelle ligne de force" dites-vous ?... Il s'agirait plutôt d'une entente et alliance contre nature, qui comme tant d'autres formations non naturelles, explosera et se désintégrera sur l'autel des ambitions personnelles de chacun et chacune.
Olivier Rivière (Saint-Philippe), Nassimah Dindar, présidente du Conseil général, Stéphane Fouassin (Salazie), Serge Camatchy (Saint-André) ou Michel Lagourgue (Saint-Denis), le savent bien. Cette union factuelle ne peut décemment prospérer et servir durablement les Réunionnais. C'est une union politique de façade, certes nécessaires pour battre les socialistes et listes de gauche, mais de grâce, appelons les choses par leur nom. Cessons de mentir aux électeurs.
Il n'y a que les abrutis qui ne changent pas d'avis me direz-vous. C'est en partie vrai, mais de là à faire prendre, aux électeurs réunionnais, des vessies pour des lanternes, il n'y a pas loin.... mais en parlant de lanternes, c'est vrai que dans le monde politique à la Réunion, ils n'y a pas que des lumières...Et à droite comme à gauche, on aime garder le peuple dans le fénoir.
C'est une époque révolue Mesdames et Messieurs les professionnels de la politique, le peuple veut aujourd'hui reprendre ses droits. Méditez cela !"
Comment croire en ces caciques locaux qui hormis M. Fouassin, ne se rejoignent que pour rafler des postes clés, tant dans les mairies, que dans les collectivités. Comment expliquer ces antagonismes et oppositions, justifier ces combats de coq au sein même de la droite et du centre, ces migrations aussi, pour certaines, qui passent de l'UMP vers le centre, puis le centre droit, peut être bientôt vers une "droite sociale" (j'oubliais, elle existe déjà..). Pourquoi ne pas créer une droite de la gauche pendant que vous y êtes ?!!!;..
Quelle constance dans les idées, quelle détermination, quels projets pour la Réunion !!!! Sa composition, "une nouvelle ligne de force" dites-vous ?... Il s'agirait plutôt d'une entente et alliance contre nature, qui comme tant d'autres formations non naturelles, explosera et se désintégrera sur l'autel des ambitions personnelles de chacun et chacune.
Olivier Rivière (Saint-Philippe), Nassimah Dindar, présidente du Conseil général, Stéphane Fouassin (Salazie), Serge Camatchy (Saint-André) ou Michel Lagourgue (Saint-Denis), le savent bien. Cette union factuelle ne peut décemment prospérer et servir durablement les Réunionnais. C'est une union politique de façade, certes nécessaires pour battre les socialistes et listes de gauche, mais de grâce, appelons les choses par leur nom. Cessons de mentir aux électeurs.
Il n'y a que les abrutis qui ne changent pas d'avis me direz-vous. C'est en partie vrai, mais de là à faire prendre, aux électeurs réunionnais, des vessies pour des lanternes, il n'y a pas loin.... mais en parlant de lanternes, c'est vrai que dans le monde politique à la Réunion, ils n'y a pas que des lumières...Et à droite comme à gauche, on aime garder le peuple dans le fénoir.
C'est une époque révolue Mesdames et Messieurs les professionnels de la politique, le peuple veut aujourd'hui reprendre ses droits. Méditez cela !"