Avez-vous démissionné de votre poste de conseiller général ?
La presse l'a annoncé, mais en ce qui me concerne, je n'ai pas encore pris de décision.
Avez-vous déjà décidé de quelle fonction élective allez-vous démissionner ?
Non. Il est vrai que tout amenait à penser que j'aurai abandonné mon siège au palais de La Source. C'était vrai, jusqu'à il y a quelques jours. En effet, ces derniers temps, la presse ne cesse de m'associer à certains faits politiques. Depuis, je l'interroge sur l'opportunité ou non de laisser le terrain libre.
C'est-à-dire ?
La politique se vit, se construit sur le terrain ici à La Réunion. Ce que je ne pourrais plus faire si mon action de député requiert ma présence régulière à l'Assemblée nationale. Aussi, j'étudie les différentes opportunités qui s'offrent à moi, et ce dans mes missions d'élu. Je n'écarte aucune hypothèse. Je pourrais aussi démissionner de mon poste de député. Geneviève Sévagamy, ma suppléante, a les compétences pour devenir une députée performante et efficace.
Qu'est-ce qui explique votre état d'esprit aujourd'hui ?
La volonté de conserver ma liberté d'action. Je ne suis enchaîné à rien. Et, je ne considère pas, que ce que je fais aujourd'hui comme un métier. Mon engagement en politique est une recherche perpétuelle d'outils, et une mise en place de schémas, stratégies et structures, et ce pour donner à La Réunion les moyens d'un développement économique et social pérenne.
Le maintien en l'état de l'actuelle majorité départementale, est un moyen efficace ?
La réussite collective implique aussi le respect de contrats et de la parole donnée. Au Conseil général, les "Modéré", les socialistes et les communistes ont signé un accord en 2011 qui coure jusqu'à 2014 et aujourd'hui jusqu'à 2015. Ce n'est pas parce que le contexte politique change, que nous devons ignorer cet engagement tripartite. Je suis quelqu'un qui ne veut pas se contredire. Il y a également le respect de la parole donnée.
Nassimah Dindar est d'accord avec vous sur ce point ?
Bien sûr. Nous avons eu une discussion à ce sujet, il y a quelques jours.
La presse l'a annoncé, mais en ce qui me concerne, je n'ai pas encore pris de décision.
Avez-vous déjà décidé de quelle fonction élective allez-vous démissionner ?
Non. Il est vrai que tout amenait à penser que j'aurai abandonné mon siège au palais de La Source. C'était vrai, jusqu'à il y a quelques jours. En effet, ces derniers temps, la presse ne cesse de m'associer à certains faits politiques. Depuis, je l'interroge sur l'opportunité ou non de laisser le terrain libre.
C'est-à-dire ?
La politique se vit, se construit sur le terrain ici à La Réunion. Ce que je ne pourrais plus faire si mon action de député requiert ma présence régulière à l'Assemblée nationale. Aussi, j'étudie les différentes opportunités qui s'offrent à moi, et ce dans mes missions d'élu. Je n'écarte aucune hypothèse. Je pourrais aussi démissionner de mon poste de député. Geneviève Sévagamy, ma suppléante, a les compétences pour devenir une députée performante et efficace.
Qu'est-ce qui explique votre état d'esprit aujourd'hui ?
La volonté de conserver ma liberté d'action. Je ne suis enchaîné à rien. Et, je ne considère pas, que ce que je fais aujourd'hui comme un métier. Mon engagement en politique est une recherche perpétuelle d'outils, et une mise en place de schémas, stratégies et structures, et ce pour donner à La Réunion les moyens d'un développement économique et social pérenne.
Le maintien en l'état de l'actuelle majorité départementale, est un moyen efficace ?
La réussite collective implique aussi le respect de contrats et de la parole donnée. Au Conseil général, les "Modéré", les socialistes et les communistes ont signé un accord en 2011 qui coure jusqu'à 2014 et aujourd'hui jusqu'à 2015. Ce n'est pas parce que le contexte politique change, que nous devons ignorer cet engagement tripartite. Je suis quelqu'un qui ne veut pas se contredire. Il y a également le respect de la parole donnée.
Nassimah Dindar est d'accord avec vous sur ce point ?
Bien sûr. Nous avons eu une discussion à ce sujet, il y a quelques jours.