"Parce que l'amour de Saint-Joseph exige que nous nous rassemblions maintenant et parce que nous devons regarder seulement dans le sens de l'intérêt de Saint-Joseph avant tout, je suis fier de voir que le rassemblement que je souhaite le plus large possible prend forme. J'ai eu la chance de rencontrer des personnes responsables capables de se remettre en question pour présenter un nouveau visage politique à Saint-Joseph et surtout pour faire gagner Saint-Joseph", déclare Harry Malet.
La liste qu'il conduira portera le rassemblement, le vrai. Elle réunira trois anciens candidats aux élections départementales de 2011 qui étaient venus marquer le coup et commencer le travail qu'ils veulent terminer ensemble, unis, main dans la main, Pascal Hoareau, David Lebon et Rosemay Guezello conseillère municipale d'opposition qui a su tenir bon depuis 2008.
Pour combattre le candidat unique du Progrès socialiste, Harry Malet travaille au rassemblement. "Nous travaillerons jusqu'au bout pour réunir les forces vives et réussir notre projet de construire une ville nouvelle avec des hommes nouveaux."
Déterminé et convaincu du succès car il veut poursuivre ce travail de rassemblement déjà bien engagé, il a bon espoir de remporter la bataille.
"Oui, parce que le rassemblement se passe ici, le rassemblement se tient chez nous, il n'y a pas d'autres alternatives possibles. Pour Saint-Joseph, il n'y a pas de rassemblement ailleurs qu'à Saint-Joseph et l'union de la droite décrétée au sommet de la pyramide inversée un soir de mardi gras ne fait pas le poids face à notre mouvement. Le Rassemblement se passe entre Saint-Josephois, entre des hommes et des femmes de bonne volonté qui ont décidé de mettre de côté leurs étiquettes pour travailler ensemble sur un projet d'intérêt collectif."
"Et nous comptons amplifier encore notre rassemblement et nous serons là où on ne nous attend pas, Avec la grâce de Dieu, nous serons bien présents au rendez-vous de mars 2014 pour délecter ensemble la surprise qui sortira des urnes."
Harry Malet et ses colistiers invitent d'ores et déjà les Saint-Josephoises et les Saint-Josephois à les rejoindre pour marcher ensemble car la population est la seule capable de prendre en main sa destinée et surtout de sortir sa ville du gouffre dans lequel elle est tombée depuis 2001.
Vraiment insiste Harry Malet, il faut sortir Saint-Joseph de ce mauvais pas.
"En 2001, Patrick Lebreton a pris en main une ville pauvre pour en faire en 2013, des "quartiers de propriétaires pauvres er ruraux". Saint-Joseph n'a rien gagné au change. Saint-Joseph a surtout raté son décollage parce que les Saint-Josephois se sont juste trompés de pilote."
Harry Malet veut au plus vite passer à autre chose, écrire une nouvelle page politique à Saint-Joseph et inscrire notre ville dans le développement durable et la modernité.
"Allons-nous être encore spectateurs du développement chez les autres, à Saint-Pierre, à Saint Leu, à Saint Denis ? Pendant les 12 dernières années, Saint-Joseph ville rurale, ville agricole n'a pas su tirer son épingle du jeu. Le maire sortant a endormi sa ville. Il l'a simplement anesthésiée.
Il suffit d'ouvrir les yeux pour voir la misère devant notre porte, il suffit encore d'entendre le ras le bol et le mécontentement général à travers la population. Il n'est plus question de camoufler les saletés sous le tapis. On a vu, on a compris et aujourd'hui nous devons réagir".
"Qu'a fait le député-maire pour les agriculteurs ? Les agriculteurs ont été laissés sur la paille, l'économie de la ville est au point mort chez nous avec les entreprises mettent la clé sous la porte, la jeunesse frappée par le chômage est abandonnée".
"Je veux aujourd'hui proposer une transformation politique durable, une mutation de Saint-Joseph vers l'avenir et offrir aux administrés un service communal de qualité : un maire à temps plein, disponible. Quand il n'est pas à Saint-Denis, à Paris et quand il ne fait pas le tour du monde pour ses missions parlementaires, Le maire sortant aux multiples casquettes et fonctions est un maire aux abonnés absents.
A Saint-Joseph, tous les citoyens ne sont pas logés à la même enseigne, pour peu que nos ancêtres aient voté un parti adverse, on est gommé des listes communales. Quand on vient à la mairie, il faut montrer patte blanche et s'il a été su qu'on a osé penser le contraire de ce qu'a dit le maire, toutes les portes se ferment. Un vrai maire pour tous : voilà ce qu'attendent les administrés."
Selon Harry Malet, le maire sortant ne répond plus aux exigences de Saint-Joseph. L'évolution démographique de Saint-Joseph est source de nouveaux besoins que la ville devra accompagner en rénovant son patrimoine et en créant des équipements de proximité dans les écarts.
"Il faut améliorer l'accueil des usagers dans les services municipaux et la ville devra mettre tout en œuvre pour faciliter les démarches administratives.
A Saint-Joseph, il faut se lever avant le gris de jour pour aller retirer un ticket pour obtenir un rendez vous avec le maire. Il faut changer cette pratique.
A Saint-Joseph, il faut pousser plusieurs portes et s'adresser à dix personnes au moins pour voir le maire quand il est là. Il faut rendre le maire accessible."
"Nous avons en ce jour une pensée spéciale pour les employés communaux qui sont à notre service", poursuit Harry Malet.
"Il faut le dire, la fonction publique territoriale de Saint-Joseph a été réduite à un système centralisé que le maire sortant instrumentalise habilement pour asseoir son règne.
Le maire sortant Patrick Lebreton qui a été un agent communal et qui a là aussi habilement assuré son plan de carrière pour avoir été promu cadre aurait dû se préoccuper un peu plus de la situation des employés communaux sur sa ville et être plus attentif au malêtre au sein du personnel."
Harry Malet s'interroge : "Comment voulez vous construire un projet de vie avec un salaire de 1200 euros après 27 années de carrière ?"
Il est inadmissible qu'en 2013, un agent recruté à la commune il y a plus de 20 ans, ne soit pas titulaire de son poste.
C'est une question de bon sens, un employé communal doit pouvoir prétendre à la titularisation et trouver une stabilité pour construire son projet personnel et familial.
"A Saint-Joseph, la Loi du 12 mars 2012 relative à l’accès à l’emploi titulaire et à l’amélioration des conditions d’emploi des agents contractuels dans la fonction publique, à la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives à la fonction publique a été enterrée au caveau des oubliettes.
A compter de mars 2014, c'est un engagement, nous appliquerons la loi du 12 mars 2012 pour que les employés communaux soient reconnus pour leur travail et valoriser dans leur statut.
Nous veillerons à améliorer les conditions de travail des agents et nous performerons notre service public communal, en motivant les agents et en leur proposant un plan de titularisation pour un bon déroulement de carrière.
"Vraiment, je me demande si Patrick Lebreton se rappelle de ce qu'il a dit dans ses campagnes précédentes. Il n'est pas nécessaire de remonter à bien loin, juste en 2012 lorsque lui et son Président promettaient monts et merveilles et des contrats d'avenir par milliers. Nous aurons l'occasion de lui rafraichir la mémoire pour ses promesses d'avant 2012.
En politique, il ne suffit pas de crier dans le micro, mais il faut peser ses mots car à force de débiter sans mesure, ils reviennent tôt ou tard en pleine face."
"Mais où sont les contrats d'avenir promis ? La jeunesse est en souffrance, Saint-Joseph bat les records du chômage avec plus de 50% de demandeurs d'emploi. On aperçoit un saupoudrage de contrats aidés, une multiplication des contrats courts à but exclusivement électoraliste. Nombreux sont les jeunes laissés sur le carreau et qui payent le prix d'une politique de l'approximatif".
"En matière de contrat d'avenir, on est loin du chiffre annoncé en 2012. On a à faire à un pro de l'effet d'annonce. Mais le problème est qu'aujourd'hui, il distribue les contrats d'avenir au goutte à goutte car il sait que la source s'épuise et les moyens ne sont pas à la hauteur des promesses."
"Le comble de cette histoire, pour masquer son incapacité à faire ce qu'il a promis, il déclare publiquement que "le confort d'un seul vaut mieux la précarité de plusieurs". Il s'agit là de l'expression d'un mépris à l'égard de tous les demandeurs d'emploi de notre commune qui est dans l'attente d'un travail, d'une activité pour s'en sortir."
"Quand on sait le coût de ces emplois aidés laissés à la charge des collectivités, le maire sortant sait qu'il ne pourra jamais tenir ses promesses et il qu'il est entrain de se prendre les pieds dans le tapis avec son gouvernement."
Harry Malet déplore la mise en place de contrats d'avenir sans horizon, de contrats précaires à perspective très limitée qui non seulement couteront chers à la commune mais qui en plus ne seront pas pérennisés.
"Mais on connait la politique du maire sortant qui depuis 2001 a fait de la précarité un art de vivre, de la pauvreté, son tremplin", s'exclame Harry Malet qui n'a pas dit son dernier mot.
La liste qu'il conduira portera le rassemblement, le vrai. Elle réunira trois anciens candidats aux élections départementales de 2011 qui étaient venus marquer le coup et commencer le travail qu'ils veulent terminer ensemble, unis, main dans la main, Pascal Hoareau, David Lebon et Rosemay Guezello conseillère municipale d'opposition qui a su tenir bon depuis 2008.
Pour combattre le candidat unique du Progrès socialiste, Harry Malet travaille au rassemblement. "Nous travaillerons jusqu'au bout pour réunir les forces vives et réussir notre projet de construire une ville nouvelle avec des hommes nouveaux."
Déterminé et convaincu du succès car il veut poursuivre ce travail de rassemblement déjà bien engagé, il a bon espoir de remporter la bataille.
"Oui, parce que le rassemblement se passe ici, le rassemblement se tient chez nous, il n'y a pas d'autres alternatives possibles. Pour Saint-Joseph, il n'y a pas de rassemblement ailleurs qu'à Saint-Joseph et l'union de la droite décrétée au sommet de la pyramide inversée un soir de mardi gras ne fait pas le poids face à notre mouvement. Le Rassemblement se passe entre Saint-Josephois, entre des hommes et des femmes de bonne volonté qui ont décidé de mettre de côté leurs étiquettes pour travailler ensemble sur un projet d'intérêt collectif."
"Et nous comptons amplifier encore notre rassemblement et nous serons là où on ne nous attend pas, Avec la grâce de Dieu, nous serons bien présents au rendez-vous de mars 2014 pour délecter ensemble la surprise qui sortira des urnes."
Harry Malet et ses colistiers invitent d'ores et déjà les Saint-Josephoises et les Saint-Josephois à les rejoindre pour marcher ensemble car la population est la seule capable de prendre en main sa destinée et surtout de sortir sa ville du gouffre dans lequel elle est tombée depuis 2001.
Vraiment insiste Harry Malet, il faut sortir Saint-Joseph de ce mauvais pas.
"En 2001, Patrick Lebreton a pris en main une ville pauvre pour en faire en 2013, des "quartiers de propriétaires pauvres er ruraux". Saint-Joseph n'a rien gagné au change. Saint-Joseph a surtout raté son décollage parce que les Saint-Josephois se sont juste trompés de pilote."
Harry Malet veut au plus vite passer à autre chose, écrire une nouvelle page politique à Saint-Joseph et inscrire notre ville dans le développement durable et la modernité.
"Allons-nous être encore spectateurs du développement chez les autres, à Saint-Pierre, à Saint Leu, à Saint Denis ? Pendant les 12 dernières années, Saint-Joseph ville rurale, ville agricole n'a pas su tirer son épingle du jeu. Le maire sortant a endormi sa ville. Il l'a simplement anesthésiée.
Il suffit d'ouvrir les yeux pour voir la misère devant notre porte, il suffit encore d'entendre le ras le bol et le mécontentement général à travers la population. Il n'est plus question de camoufler les saletés sous le tapis. On a vu, on a compris et aujourd'hui nous devons réagir".
"Qu'a fait le député-maire pour les agriculteurs ? Les agriculteurs ont été laissés sur la paille, l'économie de la ville est au point mort chez nous avec les entreprises mettent la clé sous la porte, la jeunesse frappée par le chômage est abandonnée".
"Je veux aujourd'hui proposer une transformation politique durable, une mutation de Saint-Joseph vers l'avenir et offrir aux administrés un service communal de qualité : un maire à temps plein, disponible. Quand il n'est pas à Saint-Denis, à Paris et quand il ne fait pas le tour du monde pour ses missions parlementaires, Le maire sortant aux multiples casquettes et fonctions est un maire aux abonnés absents.
A Saint-Joseph, tous les citoyens ne sont pas logés à la même enseigne, pour peu que nos ancêtres aient voté un parti adverse, on est gommé des listes communales. Quand on vient à la mairie, il faut montrer patte blanche et s'il a été su qu'on a osé penser le contraire de ce qu'a dit le maire, toutes les portes se ferment. Un vrai maire pour tous : voilà ce qu'attendent les administrés."
Selon Harry Malet, le maire sortant ne répond plus aux exigences de Saint-Joseph. L'évolution démographique de Saint-Joseph est source de nouveaux besoins que la ville devra accompagner en rénovant son patrimoine et en créant des équipements de proximité dans les écarts.
"Il faut améliorer l'accueil des usagers dans les services municipaux et la ville devra mettre tout en œuvre pour faciliter les démarches administratives.
A Saint-Joseph, il faut se lever avant le gris de jour pour aller retirer un ticket pour obtenir un rendez vous avec le maire. Il faut changer cette pratique.
A Saint-Joseph, il faut pousser plusieurs portes et s'adresser à dix personnes au moins pour voir le maire quand il est là. Il faut rendre le maire accessible."
"Nous avons en ce jour une pensée spéciale pour les employés communaux qui sont à notre service", poursuit Harry Malet.
"Il faut le dire, la fonction publique territoriale de Saint-Joseph a été réduite à un système centralisé que le maire sortant instrumentalise habilement pour asseoir son règne.
Le maire sortant Patrick Lebreton qui a été un agent communal et qui a là aussi habilement assuré son plan de carrière pour avoir été promu cadre aurait dû se préoccuper un peu plus de la situation des employés communaux sur sa ville et être plus attentif au malêtre au sein du personnel."
Harry Malet s'interroge : "Comment voulez vous construire un projet de vie avec un salaire de 1200 euros après 27 années de carrière ?"
Il est inadmissible qu'en 2013, un agent recruté à la commune il y a plus de 20 ans, ne soit pas titulaire de son poste.
C'est une question de bon sens, un employé communal doit pouvoir prétendre à la titularisation et trouver une stabilité pour construire son projet personnel et familial.
"A Saint-Joseph, la Loi du 12 mars 2012 relative à l’accès à l’emploi titulaire et à l’amélioration des conditions d’emploi des agents contractuels dans la fonction publique, à la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives à la fonction publique a été enterrée au caveau des oubliettes.
A compter de mars 2014, c'est un engagement, nous appliquerons la loi du 12 mars 2012 pour que les employés communaux soient reconnus pour leur travail et valoriser dans leur statut.
Nous veillerons à améliorer les conditions de travail des agents et nous performerons notre service public communal, en motivant les agents et en leur proposant un plan de titularisation pour un bon déroulement de carrière.
"Vraiment, je me demande si Patrick Lebreton se rappelle de ce qu'il a dit dans ses campagnes précédentes. Il n'est pas nécessaire de remonter à bien loin, juste en 2012 lorsque lui et son Président promettaient monts et merveilles et des contrats d'avenir par milliers. Nous aurons l'occasion de lui rafraichir la mémoire pour ses promesses d'avant 2012.
En politique, il ne suffit pas de crier dans le micro, mais il faut peser ses mots car à force de débiter sans mesure, ils reviennent tôt ou tard en pleine face."
"Mais où sont les contrats d'avenir promis ? La jeunesse est en souffrance, Saint-Joseph bat les records du chômage avec plus de 50% de demandeurs d'emploi. On aperçoit un saupoudrage de contrats aidés, une multiplication des contrats courts à but exclusivement électoraliste. Nombreux sont les jeunes laissés sur le carreau et qui payent le prix d'une politique de l'approximatif".
"En matière de contrat d'avenir, on est loin du chiffre annoncé en 2012. On a à faire à un pro de l'effet d'annonce. Mais le problème est qu'aujourd'hui, il distribue les contrats d'avenir au goutte à goutte car il sait que la source s'épuise et les moyens ne sont pas à la hauteur des promesses."
"Le comble de cette histoire, pour masquer son incapacité à faire ce qu'il a promis, il déclare publiquement que "le confort d'un seul vaut mieux la précarité de plusieurs". Il s'agit là de l'expression d'un mépris à l'égard de tous les demandeurs d'emploi de notre commune qui est dans l'attente d'un travail, d'une activité pour s'en sortir."
"Quand on sait le coût de ces emplois aidés laissés à la charge des collectivités, le maire sortant sait qu'il ne pourra jamais tenir ses promesses et il qu'il est entrain de se prendre les pieds dans le tapis avec son gouvernement."
Harry Malet déplore la mise en place de contrats d'avenir sans horizon, de contrats précaires à perspective très limitée qui non seulement couteront chers à la commune mais qui en plus ne seront pas pérennisés.
"Mais on connait la politique du maire sortant qui depuis 2001 a fait de la précarité un art de vivre, de la pauvreté, son tremplin", s'exclame Harry Malet qui n'a pas dit son dernier mot.