Michel Fontaine a découvert tout au long de sa campagne électorale, combien il est parfois difficile de porter une liste où ses colistiers n'ont pas la cote auprès de certains élus de son camp. Cela avait été le cas au moment de la constitution de la liste. Certains ont fait barrage à la présence de Yolaine Costes. Au cours de sa campagne électorale, il a dû expliquer la deuxième place de Jacqueline Farreyrol.
Michel Fontaine n'a pas dévié d'un iota de sa ligne de conduite. Le président de l'UMP a défendu ses colistiers alors que nombreux sont ceux qui lui expliquent que la stratégie en cours doit permettre à Didier Robert de devenir sénateur, si ses ennuis judiciaires jouent en sa défaveur. Le communiste Pierre Vergès l'a également rappelé sur son blog, récemment.
Michel Fontaine pour l'heure, ne fait pas encore le plein de voix à Droite. Il le sait. Ce n'est pas pour autant qu'il soit en danger. A moins d'un terrible séisme à Droite, le président de la Civis devrait obtenir un siège de sénateur, sans trop d'inquiétude. Toutefois, la Droite doit gagner avec la manière (plus de 303) et non au plus fort reste. C'est donc un nouveau test pour le camp du patron Didier Robert.
Le président de La Réunion en confiance et le président de l'UMP font face à quatre enjeux. Le premier, offrir au moins un sénateur à la majorité présidentielle. Le deuxième, éviter une érosion de leur électorat, surtout à la faveur de Jean-Paul Virapoullé, sénateur sortant. Le troisième, effacer la défaite des Cantonales de mars. Le quatrième, surtout pour Didier Robert, redonner du crédit à son rôle de chef de file de la Droite.
Demain au CinéCambaie, Didier Robert sera sans conteste en haut de l'affiche. Car, il incarne toujours le renouveau à Droite, sans doute avec moins d'éclat qu'en 2010 (c'est aussi ce qu'on appelle l'usure du pouvoir). Mais, cette fois-ci, il ne pourra plus bénéficier de l'effet de surprise. Surtout à Droite...
Michel Fontaine n'a pas dévié d'un iota de sa ligne de conduite. Le président de l'UMP a défendu ses colistiers alors que nombreux sont ceux qui lui expliquent que la stratégie en cours doit permettre à Didier Robert de devenir sénateur, si ses ennuis judiciaires jouent en sa défaveur. Le communiste Pierre Vergès l'a également rappelé sur son blog, récemment.
Michel Fontaine pour l'heure, ne fait pas encore le plein de voix à Droite. Il le sait. Ce n'est pas pour autant qu'il soit en danger. A moins d'un terrible séisme à Droite, le président de la Civis devrait obtenir un siège de sénateur, sans trop d'inquiétude. Toutefois, la Droite doit gagner avec la manière (plus de 303) et non au plus fort reste. C'est donc un nouveau test pour le camp du patron Didier Robert.
Le président de La Réunion en confiance et le président de l'UMP font face à quatre enjeux. Le premier, offrir au moins un sénateur à la majorité présidentielle. Le deuxième, éviter une érosion de leur électorat, surtout à la faveur de Jean-Paul Virapoullé, sénateur sortant. Le troisième, effacer la défaite des Cantonales de mars. Le quatrième, surtout pour Didier Robert, redonner du crédit à son rôle de chef de file de la Droite.
Demain au CinéCambaie, Didier Robert sera sans conteste en haut de l'affiche. Car, il incarne toujours le renouveau à Droite, sans doute avec moins d'éclat qu'en 2010 (c'est aussi ce qu'on appelle l'usure du pouvoir). Mais, cette fois-ci, il ne pourra plus bénéficier de l'effet de surprise. Surtout à Droite...