Daniel Alamélou et l'opposition municipale n'ont sans doute pas apprécié les deux chiffres donnés par Maurice Gironcel, lors de l'émission 100 % politique sur Télékréol. "J'ai reçu 350 personnes depuis mon retour aux affaires". Et "lors de l'élection municipale partielle, mon concurrent a bénéficié de 400 contrats aidés" étalé sur dix-huit mois. Hier, Yolande Pausé, Daniel Alamélou, Antonio Grondin et quelques autres opposants ont "dégainé" leurs chiffres. A la mitrailleuse.
Nous vous en proposons quelques uns. D'abord sur les contrats aidés. "Maurice Gironcel a utilisé les 55 contrats du Pole emploi, les 26 accompagnateurs de bus de la Cinor, les 23 renouvelés et les 15 supplémentaires… Ce sont plus d'une centaine de contrats qui ont été distribués dès son arrivée. Et après, il va se plaindre qu'il lui manque des contrats pour faire la rentrée. La mairie aurait réussi la rentrée scolaire sans ces 119 contrats en plus".
"En retardant le retour des enfants en classe, Maurice Gironcel a tenté un coup de bluff. Et, il a surtout pris en otage les élèves et leurs parents". A peine échauffée, l'opposition municipale a enchaîné sur la mauvaise politique du personnel de Maurice Gironcel. "Quid de son treizième mois, l'une de ses promesses électorales ? Où en est son plan de titularisation ? La seule promotion a été pour un syndicaliste, c'est bien pour lui, mais ce serait bien qu'il se rappelle pourquoi il a été élu par les travailleurs".
"Cela signifie également que la chasse aux sorcières continue. A cela s'ajoute les méthodes que l'on croyait révolu. Les postulants qui signent un contrat doit aussi aujourd'hui adhérer au PCR et payer leur adhésion. Il est vrai que cela se fait également dans d'autres collectivités". L'opposition a aussi interrogé le maire via la presse : "Où sont les agents délégués à la sécurité autour des écoles ? Les parents d'élèves et plusieurs professeurs d'école nous ont posé la question".
"Ils ne peuvent pas tous êtres malades ou en congé en même temps". Daniel Alamélou se demande si ces absences répétées, ne relèvent pas d'emplois fictifs. Autre grief : "un emprunt d'un million d'euros dont l'affectation n'a pas été définie dans le budget". Pèle-mèle, l'opposition s'est dit surprise que Maurice Gironcel, président de la Commission d'appel d'offres ait choisi sa fille pour le suppléer.
Il y a aussi la création d'un poste de cadre à la Cinor, taillé pour un proche du maire. Et pour terminer un mot sur les Législatives où "Maurice Gironcel a pris une raclée…" Fermer le ban.
Nous vous en proposons quelques uns. D'abord sur les contrats aidés. "Maurice Gironcel a utilisé les 55 contrats du Pole emploi, les 26 accompagnateurs de bus de la Cinor, les 23 renouvelés et les 15 supplémentaires… Ce sont plus d'une centaine de contrats qui ont été distribués dès son arrivée. Et après, il va se plaindre qu'il lui manque des contrats pour faire la rentrée. La mairie aurait réussi la rentrée scolaire sans ces 119 contrats en plus".
"En retardant le retour des enfants en classe, Maurice Gironcel a tenté un coup de bluff. Et, il a surtout pris en otage les élèves et leurs parents". A peine échauffée, l'opposition municipale a enchaîné sur la mauvaise politique du personnel de Maurice Gironcel. "Quid de son treizième mois, l'une de ses promesses électorales ? Où en est son plan de titularisation ? La seule promotion a été pour un syndicaliste, c'est bien pour lui, mais ce serait bien qu'il se rappelle pourquoi il a été élu par les travailleurs".
"Cela signifie également que la chasse aux sorcières continue. A cela s'ajoute les méthodes que l'on croyait révolu. Les postulants qui signent un contrat doit aussi aujourd'hui adhérer au PCR et payer leur adhésion. Il est vrai que cela se fait également dans d'autres collectivités". L'opposition a aussi interrogé le maire via la presse : "Où sont les agents délégués à la sécurité autour des écoles ? Les parents d'élèves et plusieurs professeurs d'école nous ont posé la question".
"Ils ne peuvent pas tous êtres malades ou en congé en même temps". Daniel Alamélou se demande si ces absences répétées, ne relèvent pas d'emplois fictifs. Autre grief : "un emprunt d'un million d'euros dont l'affectation n'a pas été définie dans le budget". Pèle-mèle, l'opposition s'est dit surprise que Maurice Gironcel, président de la Commission d'appel d'offres ait choisi sa fille pour le suppléer.
Il y a aussi la création d'un poste de cadre à la Cinor, taillé pour un proche du maire. Et pour terminer un mot sur les Législatives où "Maurice Gironcel a pris une raclée…" Fermer le ban.