De la politique, Jean-François Ramassamy en a surtout connu les aspects les plus noirs : climat de haine, agressions diverses, les galets lancés à travers les fenêtres de la maison pendant la campagne, savoir se planquer pour ne pas être blesser, pression, menaces contre les affaires de la famille… Parce que son père, Yvon Ramassamy, avait une vision plus "socialiste" de ce qu'est la gestion de la cité. L'intéressé en a souvent payé le prix fort. Avec courage et dignité.
Jean-François Ramassamy porte aussi ses valeurs. Elles sont visibles ne serait-ce dans les regards complices que le fils et le père s'échangeaient pendant l'intervention de l'héritier. Le responsable de la section de LPA (La politique autrement) de Saint-André, a évoqué ces liens familiaux. Ses valeurs humaines développées à travers ses actions associatives, bénévoles et caritatives. Le Saint-Andréen de souche a aussi déploré "la situation difficile dans laquelle se trouve aujourd'hui sa ville : propreté, sécurité, éducation, développement économique".
Ce père "d'une enfant un peu chipèque" a également avancé les projets pour remédier aux problèmes "de cette commune aujourd'hui à l'abandon". Sa priorité sera les jeunes. Il est vrai qu'il connaît le problème parce qu'il a toujours maintenu le contact. Soit sur un terrain de foot, soit dans le groupe de réflexion d'une trentaine de personnes qu'il a mis en place. Plusieurs étaient présents samedi lors du l'installation de la section LPA Saint-André.
Cette énième entrée en politique de Jean-François Ramassamy (également Modem) n'est ni une surprise, ni une envie éphémère, ce n'est qu'une continuité d'un parcours qu'il a débuté dans les traces de son père. L'éternel adolescent devenu papa, trace désormais sa route sur un territoire dont il connaît la plupart des quartiers, des rues et des maisons. Et des individus dont un grand nombre l'a vu grandir. C'est sans doute ce point précis, que sont sa force et sa faiblesse. Car, il devra aussi montrer qu'il a la dimension d'un homme émancipé. D'un homme politique. D'un maire de Saint-André en devenir...
Jean-François Ramassamy porte aussi ses valeurs. Elles sont visibles ne serait-ce dans les regards complices que le fils et le père s'échangeaient pendant l'intervention de l'héritier. Le responsable de la section de LPA (La politique autrement) de Saint-André, a évoqué ces liens familiaux. Ses valeurs humaines développées à travers ses actions associatives, bénévoles et caritatives. Le Saint-Andréen de souche a aussi déploré "la situation difficile dans laquelle se trouve aujourd'hui sa ville : propreté, sécurité, éducation, développement économique".
Ce père "d'une enfant un peu chipèque" a également avancé les projets pour remédier aux problèmes "de cette commune aujourd'hui à l'abandon". Sa priorité sera les jeunes. Il est vrai qu'il connaît le problème parce qu'il a toujours maintenu le contact. Soit sur un terrain de foot, soit dans le groupe de réflexion d'une trentaine de personnes qu'il a mis en place. Plusieurs étaient présents samedi lors du l'installation de la section LPA Saint-André.
Cette énième entrée en politique de Jean-François Ramassamy (également Modem) n'est ni une surprise, ni une envie éphémère, ce n'est qu'une continuité d'un parcours qu'il a débuté dans les traces de son père. L'éternel adolescent devenu papa, trace désormais sa route sur un territoire dont il connaît la plupart des quartiers, des rues et des maisons. Et des individus dont un grand nombre l'a vu grandir. C'est sans doute ce point précis, que sont sa force et sa faiblesse. Car, il devra aussi montrer qu'il a la dimension d'un homme émancipé. D'un homme politique. D'un maire de Saint-André en devenir...