La présence des cétacés autour de l’île de La Réunion, notamment les baleines à bosse, génère une activité nautique importante. Le non respect des règles proposées dans la charte 2009 pour une approche et une observation responsables des baleines peut non seulement être la cause d’accidents mais également conduire ces mammifères marins à quitter nos eaux et nous priver ainsi d’un véritable atout touristique.
Les services de contrôle (gendarmerie maritime, brigade nautique côtière, brigade nature de l’océan indien, réserve naturelle marine de La Réunion et la direction de la mer Sud océan indien), déjà très présents, ont renforcé leur dispositif. En effet, depuis le 15 août dernier, leurs agents embarquent régulièrement à bord des navires des sociétés de transports de passagers et relèvent, depuis ces supports nautiques, tous les comportements inadaptés.
Hormis les infractions liées à la navigation, les agents de contrôles s’attachent à relever les perturbations intentionnelles au sens de l’arrêté ministériel du 1er juillet 2011, réprimées par l’article R 415-1 du code de l’environnement. A ce jour, sept procès verbaux de constatation ont déjà été dressés. Ils ont donné lieu à trois auditions. Quatre autres procès verbaux ont été adressés au parquet de Saint-Denis pour suites à donner. Les auteurs encourent le plus souvent une peine d’amende de 750 euros (contravention de 4ème classe).
Les services de contrôle (gendarmerie maritime, brigade nautique côtière, brigade nature de l’océan indien, réserve naturelle marine de La Réunion et la direction de la mer Sud océan indien), déjà très présents, ont renforcé leur dispositif. En effet, depuis le 15 août dernier, leurs agents embarquent régulièrement à bord des navires des sociétés de transports de passagers et relèvent, depuis ces supports nautiques, tous les comportements inadaptés.
Hormis les infractions liées à la navigation, les agents de contrôles s’attachent à relever les perturbations intentionnelles au sens de l’arrêté ministériel du 1er juillet 2011, réprimées par l’article R 415-1 du code de l’environnement. A ce jour, sept procès verbaux de constatation ont déjà été dressés. Ils ont donné lieu à trois auditions. Quatre autres procès verbaux ont été adressés au parquet de Saint-Denis pour suites à donner. Les auteurs encourent le plus souvent une peine d’amende de 750 euros (contravention de 4ème classe).