S'agissant du projet d'Etablissement d'Hébergement de Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) de la Plaine des Cafres, le seul tort de Mme BASSIRE a été de dénoncer courageusement les manœuvres abjectes de récupération politique, par le député socialiste, sur le dos de nos gramounes.
Alors que ce projet essuyait en 2011 un refus d'autorisation pour 73 places (sur 83 places au total), au motif que les crédits d'assurance-maladie étaient insuffisants, par le Conseil Général - qui est je le rappelle "chef de file de l'action sociale et médico-sociale en faveur des personnes âgées" et acteur majeur dans ce dossier, Département dont il est le Vice-Président depuis 2008, et bien que la municipalité n'y soit objectivement pour rien, Monsieur VLODY écrit dans son communiqué du 04 février 2014 que ce projet d'EHPAD n'a "jamais abouti en raison du manque de volonté politique des différents maires en place" depuis huit ans, alors même qu'il écrivait lui-même dans sa question à l'Assemblée Nationale que c'était du fait uniquement de l'absence de financements par l'Etat (et n'a jamais mis la faute sur les maires précédents).
MENSONGE ! Dénoncer avec fermeté votre malhonnêteté intellectuelle, Monsieur VLODY, serait donc de l'ignorance et de l'incompétence ? Les tamponnais jugeront en relisant vos déclarations :
Il est vrai que Monsieur VLODY a la fâcheuse habitude de s'auto-congratuler pour des mérites qui ne lui reviennent pas : quelques jours avant la visite du Ministre socialiste de la Ville, il demande comme par hasard l'inscription du Tampon dans la future géographie prioritaire et se félicite ensuite d'avoir obtenu gain de cause ; quelques jours avant la visite de la Ministre socialiste de la Santé & des Affaires Sociales, il demande le déblocage du projet d'EHPAD pour se féliciter ensuite de l'avoir obtenu, … Qui imaginerait qu'il puisse demander quelque chose s'il savait que ce serait refusé ?
A propos du calendrier scolaire, il écrit au Rectorat pour faire décaler la rentrée de janvier 2015, et se prépare à revendiquer de l'avoir obtenu… alors que le Recteur a déjà fait savoir qu'il y était favorable, sous la pression des jeunes descendus dans la rue!
A force de vouloir trop en dire, pour donner l'illusion qu'il agit beaucoup, tout à coup à la veille des municipales, alors que depuis 2012 il est plus souvent sur le terrain… parisien que tamponnais, Jean-Jacques VLODY finit par s'emmêler les pinceaux, signe manifeste de panique, et ne voit même pas que les tamponnais ne sont pas dupes de ses manœuvres politiciennes.
Le ballet incessant des ministres du gouvernement socialiste de HOLLANDE ( alias "Monsieur 19% de français satisfaits" dans les sondages), presque une dizaine depuis juillet 2013, venus aux frais des contribuables tenter de "sauver le soldat VLODY" ne trompe personne à part lui-même, et certainement pas les tamponnais, qui seront seuls juges le 23 mars prochain !