Or ce jour, à la lecture du contenu des programmes de certains candidats de sensibilité de droite à la Présidentielle de 2017, la question d’un avenir plus rassurant pour la fonction publique mérite d’être posée à la Madame Annick Girardin Ministre de la fonction de la fonction publique qui se trouve actuellement sur notre Île.
Surtout, au regard d’un passé récent d’avant 2012, près de 150 000 postes ont été supprimés dans les trois versants de la fonction publique et qu’aujourd’hui nous voyons et nous mesurons les résultats catastrophiques produits. Et qui ont été désastreux sur la politique de sécurité des citoyens, dans l’éducation nationale ou dans les hôpitaux, pour l’emploi… Et que depuis, le gouvernement actuel était obligé de revoir cette politique d’économie initiée sous l’ère de l’ancien Président M. Sarkozy, en renforçant modestement quelques postes qui restent indéniablement insuffisants, pour une fonction publique de qualité, d’égalité et d’innovante ...
Mais, aujourd’hui rebelote, la politique du passé revient au « grand galop » dans le programme de certains candidats à la présidentielle de 2017, à défaut d’un vrai projet de société où chacun doit pouvoir trouver sa place. Ces candidats à la primaire, nous annoncent la suppression entre 300 000 à 1 000 000 de postes dans la fonction publique, suppression des 35H, une retraite à 65 ans, cerise sur le gâteau, la suppression du statut de fonctionnaire est même envisagée. Là, on peut s’apercevoir nettement une mise en danger des services publics si cette politique est mise en œuvre.
Comme la Ministre du travail organise des consultations "Ma fonction publique se réinvente" où participent les agents des 3 versants de la fonction publique (Etat, hospitalière, collectivités territoriales) à la conception et à la mise en œuvre de projets innovants. Une vraie question se pose, quel est l’avenir de la fonction publique et quelle reconnaissance pour le personnel qui y travaille ? Tout en vous souhaitant la bienvenue à la Réunion Mme la Ministre.
Surtout, au regard d’un passé récent d’avant 2012, près de 150 000 postes ont été supprimés dans les trois versants de la fonction publique et qu’aujourd’hui nous voyons et nous mesurons les résultats catastrophiques produits. Et qui ont été désastreux sur la politique de sécurité des citoyens, dans l’éducation nationale ou dans les hôpitaux, pour l’emploi… Et que depuis, le gouvernement actuel était obligé de revoir cette politique d’économie initiée sous l’ère de l’ancien Président M. Sarkozy, en renforçant modestement quelques postes qui restent indéniablement insuffisants, pour une fonction publique de qualité, d’égalité et d’innovante ...
Mais, aujourd’hui rebelote, la politique du passé revient au « grand galop » dans le programme de certains candidats à la présidentielle de 2017, à défaut d’un vrai projet de société où chacun doit pouvoir trouver sa place. Ces candidats à la primaire, nous annoncent la suppression entre 300 000 à 1 000 000 de postes dans la fonction publique, suppression des 35H, une retraite à 65 ans, cerise sur le gâteau, la suppression du statut de fonctionnaire est même envisagée. Là, on peut s’apercevoir nettement une mise en danger des services publics si cette politique est mise en œuvre.
Comme la Ministre du travail organise des consultations "Ma fonction publique se réinvente" où participent les agents des 3 versants de la fonction publique (Etat, hospitalière, collectivités territoriales) à la conception et à la mise en œuvre de projets innovants. Une vraie question se pose, quel est l’avenir de la fonction publique et quelle reconnaissance pour le personnel qui y travaille ? Tout en vous souhaitant la bienvenue à la Réunion Mme la Ministre.