LE FOLKLORE EST UN TRAVAIL D’HISTORIENS
Nicolas CHARLETY, Président de la Confédération Nationale des Groupes Folkloriques Français
À quoi sert la confédération dans la mesure où chaque région à son propre folklore ?
Faire partie de la confédération nationale des groupes folkloriques est la reconnaissance du travail de fonds, de recherches qui a été mené. C’est une sorte de label qualité qui aujourd’hui récompense 200 groupes en France pour 6 000 adhérents environ. La confédération veille par ailleurs au sérieux des groupes. Par exemple, nous rappelons les règles qu’il faut respecter pour créer une représentation digne de porter le nom de spectacle.
Le folklore intéresse encore les jeunes ?
Oui, car nous ne sommes pas passéistes. Par exemple, en Isère, les membres du conseil d’administration ont une moyenne d’âge de 26 ans. Et certains, à côté, pratique le hip-hop.
Assemblée générale à Autun
(extrait du journal de Saône et Loire)
Le President de la CNGFF
Faire partie de la confédération nationale des groupes folkloriques est la reconnaissance du travail de fonds, de recherches qui a été mené. C’est une sorte de label qualité qui aujourd’hui récompense 200 groupes en France pour 6 000 adhérents environ. La confédération veille par ailleurs au sérieux des groupes. Par exemple, nous rappelons les règles qu’il faut respecter pour créer une représentation digne de porter le nom de spectacle.
Le folklore intéresse encore les jeunes ?
Oui, car nous ne sommes pas passéistes. Par exemple, en Isère, les membres du conseil d’administration ont une moyenne d’âge de 26 ans. Et certains, à côté, pratique le hip-hop.
Assemblée générale à Autun
(extrait du journal de Saône et Loire)
Le President de la CNGFF