"Pourquoi ? Parce que notre mouvement a, du moins à première vue, affiché une bonne santé insolente, traversant les fatidiques années 90 et la première décennie 2000. Âge d’or ? Pas certain. Dès lors, un acteur de premier plan voyait le Parti comme une "étoile en déclin qui continue d’envoyer des signaux de lumière".
Le PCR a prospéré grâce à un héritage historique dont nous n’avons pas encore pris toute la mesure. Car qu’est-ce que le communisme réunionnais ? Personne n’a encore écrit ou décrit la richesse de ce courant, unique dans l’histoire de La Réunion, qui a porté ensemble les espérances sociales et culturelles, le désir de liberté, de justice et d’égalité, la volonté d’être soi-même et l’ouverture aux autres.
Cet acquis n’est pas dissipé puisque nous sommes toujours là. Mais il est dispersé, éparpillé, parfois même divisé. Et c’est précisément la tâche de la "reconstruction" : refaire tenir ensemble ce qui, avant d’être un appareil politique et une machine électorale, est une histoire de femmes, d’hommes, d’idées et de passions.
Reconstruire, c’est retrouver cette unité. C’est recouvrer la mémoire, en donnant la parole aux fondateurs et aux militants ou en la leur rendant. C’est écouter fraternellement ceux qui n’ont, jusque là, pas parlé. C’est apporter un éclairage renouvelé aux problèmes de notre temps. C’est adhérer. Adhérer à un projet, adhérer à une vision, adhérer à des valeurs fondamentales. C’est voir plus haut, quand sous nos pieds, le volcan social gronde. Adhérez ! Rant dann ron !"
Le PCR a prospéré grâce à un héritage historique dont nous n’avons pas encore pris toute la mesure. Car qu’est-ce que le communisme réunionnais ? Personne n’a encore écrit ou décrit la richesse de ce courant, unique dans l’histoire de La Réunion, qui a porté ensemble les espérances sociales et culturelles, le désir de liberté, de justice et d’égalité, la volonté d’être soi-même et l’ouverture aux autres.
Cet acquis n’est pas dissipé puisque nous sommes toujours là. Mais il est dispersé, éparpillé, parfois même divisé. Et c’est précisément la tâche de la "reconstruction" : refaire tenir ensemble ce qui, avant d’être un appareil politique et une machine électorale, est une histoire de femmes, d’hommes, d’idées et de passions.
Reconstruire, c’est retrouver cette unité. C’est recouvrer la mémoire, en donnant la parole aux fondateurs et aux militants ou en la leur rendant. C’est écouter fraternellement ceux qui n’ont, jusque là, pas parlé. C’est apporter un éclairage renouvelé aux problèmes de notre temps. C’est adhérer. Adhérer à un projet, adhérer à une vision, adhérer à des valeurs fondamentales. C’est voir plus haut, quand sous nos pieds, le volcan social gronde. Adhérez ! Rant dann ron !"