Il fait si froid chez vous que tout se gèle, même jusqu'ici à La Réunion. Le pouvoir d'achat des familles, le portefeuille de l'emploi, le volume des charges des entreprises sont sacrifiés au nom d'une rigueur et d'une austérité injustifiée. Les collectivités en pâtissent également suite à la baisse drastique des dotations globales de financement. Bonjour la casse sociale !
Sans consultation populaire, sans échange avec les élus de la Réunion et des autres territoires concernés, vous avez ordonné unilatéralement le durcissement de l'octroi à la Continuité Territoriale. Force est de constater que la rue Oudinot paraît bien loin de la Réunion et des réalités et spécificités qu'elle regorge.
La justice sociale devrait être votre mot d'ordre. Or, en oblitérant la Continuité Territoriale, vous matraquez une fois de plus cette classe populaire et moyenne déjà mal au point. Vous continuez à fragiliser un segment de Réunionnais qui s'est accroché à ce petit bon de 360 euros pour découvrir le macrocosme qu'est la Métropole. Réduire ce sentiment d'exclusion, ce sentiment d'être retiré dans la société car nous n'avons jamais pris l'avion sont des raisons tangibles et indiscutables qui glorifient l'aide à la mobilité et son caractère indispensable dans notre île.
Le paradoxe résulte clairement entre l’estampille gauchiste que vous revendiquez et le matraquage social que vous exercez depuis l'arrivée du Gouvernement auquel vous êtes inféodé.
Comptez-vous nous faire de grandes annonces ? Allez-vous encore nous mentir en nous berçant avec vos belles promesses ? Je ne suis plus curieuse de vous entendre car je n'ai plus confiance.
J'anticipe en préméditant ce qu'il se passera : vous allez venir, dire, rassurer vos poulains et repartir. Vous venez, comme les années précédentes à la veille de campagne électorale, apporter votre soutien à des candidats pour lesquels le doute est réel sur leur capacité de construire un projet viable pour la Réunion. Les Réunionnais resteront alors dans l'attentisme d'un changement encore promis. La déception sera encore plus grande car finalement les paroles s'envolent avec la Gauche.
Madame la Ministre, je vous souhaite, malgré tout, la bienvenue sur notre île.
Qu'il pleuve, qu'il vente, les Réunionnais sont toujours chaleureux d'accueillir un représentant du Gouvernement. N'oubliez donc pas votre parapluie car il ne s'agira pas de jouer à cache à cache !
Sans consultation populaire, sans échange avec les élus de la Réunion et des autres territoires concernés, vous avez ordonné unilatéralement le durcissement de l'octroi à la Continuité Territoriale. Force est de constater que la rue Oudinot paraît bien loin de la Réunion et des réalités et spécificités qu'elle regorge.
La justice sociale devrait être votre mot d'ordre. Or, en oblitérant la Continuité Territoriale, vous matraquez une fois de plus cette classe populaire et moyenne déjà mal au point. Vous continuez à fragiliser un segment de Réunionnais qui s'est accroché à ce petit bon de 360 euros pour découvrir le macrocosme qu'est la Métropole. Réduire ce sentiment d'exclusion, ce sentiment d'être retiré dans la société car nous n'avons jamais pris l'avion sont des raisons tangibles et indiscutables qui glorifient l'aide à la mobilité et son caractère indispensable dans notre île.
Le paradoxe résulte clairement entre l’estampille gauchiste que vous revendiquez et le matraquage social que vous exercez depuis l'arrivée du Gouvernement auquel vous êtes inféodé.
Comptez-vous nous faire de grandes annonces ? Allez-vous encore nous mentir en nous berçant avec vos belles promesses ? Je ne suis plus curieuse de vous entendre car je n'ai plus confiance.
J'anticipe en préméditant ce qu'il se passera : vous allez venir, dire, rassurer vos poulains et repartir. Vous venez, comme les années précédentes à la veille de campagne électorale, apporter votre soutien à des candidats pour lesquels le doute est réel sur leur capacité de construire un projet viable pour la Réunion. Les Réunionnais resteront alors dans l'attentisme d'un changement encore promis. La déception sera encore plus grande car finalement les paroles s'envolent avec la Gauche.
Madame la Ministre, je vous souhaite, malgré tout, la bienvenue sur notre île.
Qu'il pleuve, qu'il vente, les Réunionnais sont toujours chaleureux d'accueillir un représentant du Gouvernement. N'oubliez donc pas votre parapluie car il ne s'agira pas de jouer à cache à cache !