Michel Dennemont, vous êtes troisième sur la liste conduite par Paul Vergès, vous pensez avoir le soutien des centristes du Modem ?
Tout d'abord le Modem fait partie d'un groupe qui s'appelle "Modéré" au Conseil général, tous les conseillers généraux de ce groupe, ne sont pas du Modem. J'ai eu un entretien avec eux, au palais de La Source, et je leur ai demandé leur soutien. J'ai obtenu un soutien sans faille de la part des onze membres de "Modéré".
Mais ce soutien, c'est à un membre de leur groupe. ce soutien, ce n'est pas à un membre de l'Alliance ou à un parti politique. Je rappelle qu'ils apportent ce soutien à un membre de "Modéré", c'est-à-dire à Michel Dennemont.
Vous êtes troisième, le contexte est particulier, si l'Alliance a deux élus, ça vous laisse une chance de partir au Sénat dans trois ans ?
Oui ça me laisse une chance, car c'est l'accord que l'on a avec l'Alliance. Et je crois en la parole de Paul Vergès. S'il le dit c'est qu'il va le faire. Il est clair que la décision lui appartient. Et, je crois bien être sénateur avant 2014.
Vous êtes un des leaders du Centre, pourquoi n'y-a-t-il pas de liste du Centre ?
Pour l'heure, les centristes que nous représentons, sont d'une part les vrais centristes. Les autres centristes dont vous parlez sont plutôt des gens qui votaient et qui vont encore voter UMP. Ce ne sont pas de vrais centristes. Un centriste ne doit pas être affilié à l'UMP, il doit avoir ses convictions personnelles.
Est-ce qu'il ne serait pas temps que le Centre soit un vrai parti et cesse d'être le faire valoir des autres partis politiques ?
Vouloir absolument faire partie d'un parti politique, cela a des avantages et ça a énormément d'inconvénients. Je fais parti du Modem, et je ne demande pas à François Bayrou : est-ce que je peux me présenter comme sénateur. Et quand on voit ce qui s'est passé à l'UMP, il faut que Paris décide. Je crois qu'il vaut mieux être un électron libre, plutôt qu'être assujetti à un tel parti...
Tout d'abord le Modem fait partie d'un groupe qui s'appelle "Modéré" au Conseil général, tous les conseillers généraux de ce groupe, ne sont pas du Modem. J'ai eu un entretien avec eux, au palais de La Source, et je leur ai demandé leur soutien. J'ai obtenu un soutien sans faille de la part des onze membres de "Modéré".
Mais ce soutien, c'est à un membre de leur groupe. ce soutien, ce n'est pas à un membre de l'Alliance ou à un parti politique. Je rappelle qu'ils apportent ce soutien à un membre de "Modéré", c'est-à-dire à Michel Dennemont.
Vous êtes troisième, le contexte est particulier, si l'Alliance a deux élus, ça vous laisse une chance de partir au Sénat dans trois ans ?
Oui ça me laisse une chance, car c'est l'accord que l'on a avec l'Alliance. Et je crois en la parole de Paul Vergès. S'il le dit c'est qu'il va le faire. Il est clair que la décision lui appartient. Et, je crois bien être sénateur avant 2014.
Vous êtes un des leaders du Centre, pourquoi n'y-a-t-il pas de liste du Centre ?
Pour l'heure, les centristes que nous représentons, sont d'une part les vrais centristes. Les autres centristes dont vous parlez sont plutôt des gens qui votaient et qui vont encore voter UMP. Ce ne sont pas de vrais centristes. Un centriste ne doit pas être affilié à l'UMP, il doit avoir ses convictions personnelles.
Est-ce qu'il ne serait pas temps que le Centre soit un vrai parti et cesse d'être le faire valoir des autres partis politiques ?
Vouloir absolument faire partie d'un parti politique, cela a des avantages et ça a énormément d'inconvénients. Je fais parti du Modem, et je ne demande pas à François Bayrou : est-ce que je peux me présenter comme sénateur. Et quand on voit ce qui s'est passé à l'UMP, il faut que Paris décide. Je crois qu'il vaut mieux être un électron libre, plutôt qu'être assujetti à un tel parti...