"Un grand merci à TOUS !
OUI, la décision du Préfet est courageuse, mais de raison pour l'homme garant des Lois sur notre territoire.
Comme nous l'annonçons depuis quelques jours, comment aurait-il pu faire autrement ?
C'est une sage décision prise à un moment crucial car la population ne pouvait plus accepter que l'injustice puisse se poursuivre aussi longtemps. Sage décision parce que le risque devenait trop important.
Cependant, nous devons rester vigilants à 2 titres.
1/ Le premier comme nous venons de le décrire les restaurateurs doivent réellement entreprendre leur sortie au 30 juin 2018 pour que la plage soit libérée.
2/ un doute s'installe dans le discours du Préfet sur la nécessité d'un plan B de recul des restaurants existants.
NON, il ne faut pas se tromper, le recul des restaurants existants n'est pas possible.
OUI, un projet d'activité éloigné du rivage peut se mettre en place en concertation aujourd'hui avec la population et dans le respect des lois.
( Loi Littoral, Décret Plage, code de l'Urbanisme et l'ordonnance du 19 avril 2017 qui fait obligation de mise en concurrence avec publicité comme l'évoque le préfet dans l’un de ses interview.)
Donc à aucun moment les restaurateurs existants ne peuvent participer à la discussion au risque d'être exclu de la consultation comme le prévoit le code des marchés publics.
Cela doit être dit une bonne fois pour toute pour ne pas laisser de l'espoir aux salariés des dites Paillotes.
A ce jour, le collectif se félicite de ce tournant important dans le dénouement du dossier. Après la courageuse décision du Juge des Référés nous devons saluer celle du Préfet.
La position est claire, l'Etat a repris la main sur le dossier des Paillotes et des AOTs et elle demande aux Paillotes une stricte application de la LOI et un retrait conformément aux obligations dans le cadre de l'attribution des AOTs (article 11).
A aucun moment, les restaurateurs ne peuvent engager de procédure pour le contester.
MERCI !MERCI ! et MERCI !"
Comme nous l'annonçons depuis quelques jours, comment aurait-il pu faire autrement ?
C'est une sage décision prise à un moment crucial car la population ne pouvait plus accepter que l'injustice puisse se poursuivre aussi longtemps. Sage décision parce que le risque devenait trop important.
Cependant, nous devons rester vigilants à 2 titres.
1/ Le premier comme nous venons de le décrire les restaurateurs doivent réellement entreprendre leur sortie au 30 juin 2018 pour que la plage soit libérée.
2/ un doute s'installe dans le discours du Préfet sur la nécessité d'un plan B de recul des restaurants existants.
NON, il ne faut pas se tromper, le recul des restaurants existants n'est pas possible.
OUI, un projet d'activité éloigné du rivage peut se mettre en place en concertation aujourd'hui avec la population et dans le respect des lois.
( Loi Littoral, Décret Plage, code de l'Urbanisme et l'ordonnance du 19 avril 2017 qui fait obligation de mise en concurrence avec publicité comme l'évoque le préfet dans l’un de ses interview.)
Donc à aucun moment les restaurateurs existants ne peuvent participer à la discussion au risque d'être exclu de la consultation comme le prévoit le code des marchés publics.
Cela doit être dit une bonne fois pour toute pour ne pas laisser de l'espoir aux salariés des dites Paillotes.
A ce jour, le collectif se félicite de ce tournant important dans le dénouement du dossier. Après la courageuse décision du Juge des Référés nous devons saluer celle du Préfet.
La position est claire, l'Etat a repris la main sur le dossier des Paillotes et des AOTs et elle demande aux Paillotes une stricte application de la LOI et un retrait conformément aux obligations dans le cadre de l'attribution des AOTs (article 11).
A aucun moment, les restaurateurs ne peuvent engager de procédure pour le contester.
MERCI !MERCI ! et MERCI !"