"Ceux-ci nuisent gravement aux valeurs humaines et portent atteinte à la dignité de l’homme ou encore à l’éthique.
Avant de vous exposer mon point de vue sur ledit mariage, je tiens à rappeler combien je respecte toute personne et mon intention n’est nullement de faire le procès de qui que ce soit !
Mais j’estime que notre devoir en tant qu’élus et citoyens est de prendre position, aussi dérangeante soit-elle, dans ce combat dont les conséquences fragiliseraient encore plus une société en perte de repères et de valeurs.
On sait tous que l’union d’un homme et d’une femme avec leurs différences est génératrice de richesses au sein de la famille. En effet, pour grandir et s’épanouir, l’enfant puise chez son père et sa mère la part de masculinité et de féminité dont il a besoin pour être un adulte accompli.
On ne doute pas que tout couple homosexuel puisse aimer un enfant autant qu’un couple hétérosexuel mais l’aimer ne veut pas dire qu’on le structure, d’autant qu’il n’y a aucune filiation.
Or, en le privant de ces besoins fondamentaux, l’enfant rencontre des difficultés dans la construction de son identité ; tel est l’avis de bon nombre de spécialistes de l’enfance : pédopsychiatres, psychologues ou encore des philosophes, sociologues, écrivains… car ces sujets intéressent de très près les Français qui se rendent bien compte que ce sont les fondements même de la société qui sont remis en cause.
Pouvons-nous avancer aveuglément et sans réagir en prenant en otage les enfants ?
Pouvons-nous libéraliser les mœurs en occultant toute raison humaine ?
Avons- nous le droit de priver des enfants de ce repère essentiel apporté tout naturellement par la différence que constituent des parents naturels ou adoptifs ?
Ces questions méritent une réflexion plus approfondie et sérieuse d’autant que des études menées récemment aux Etats Unis révèlent le mal être de beaucoup d’enfants élevés par des couples homosexuels. C’est ce qu’a souligné Michel Pinton, ancien secrétaire général de l’UDF, dans sa lettre adressée à Monsieur le président de la République le 24 août 2012.
Il est plus urgent aujourd’hui de protéger les familles à travers une politique et des lois qui visent à sauvegarder ses valeurs, à travailler à une reconstruction plus sécurisante de la société puisque la mission d’un chef de l’Etat, ainsi que des députés et sénateurs que vous êtes, est de veiller au respect et à la dignité de tout être humain.
Je vous remercie pour l’attention que vous m’avez accordée et ose espérer votre soutien et votre participation dans ce grand débat".
Avant de vous exposer mon point de vue sur ledit mariage, je tiens à rappeler combien je respecte toute personne et mon intention n’est nullement de faire le procès de qui que ce soit !
Mais j’estime que notre devoir en tant qu’élus et citoyens est de prendre position, aussi dérangeante soit-elle, dans ce combat dont les conséquences fragiliseraient encore plus une société en perte de repères et de valeurs.
On sait tous que l’union d’un homme et d’une femme avec leurs différences est génératrice de richesses au sein de la famille. En effet, pour grandir et s’épanouir, l’enfant puise chez son père et sa mère la part de masculinité et de féminité dont il a besoin pour être un adulte accompli.
On ne doute pas que tout couple homosexuel puisse aimer un enfant autant qu’un couple hétérosexuel mais l’aimer ne veut pas dire qu’on le structure, d’autant qu’il n’y a aucune filiation.
Or, en le privant de ces besoins fondamentaux, l’enfant rencontre des difficultés dans la construction de son identité ; tel est l’avis de bon nombre de spécialistes de l’enfance : pédopsychiatres, psychologues ou encore des philosophes, sociologues, écrivains… car ces sujets intéressent de très près les Français qui se rendent bien compte que ce sont les fondements même de la société qui sont remis en cause.
Pouvons-nous avancer aveuglément et sans réagir en prenant en otage les enfants ?
Pouvons-nous libéraliser les mœurs en occultant toute raison humaine ?
Avons- nous le droit de priver des enfants de ce repère essentiel apporté tout naturellement par la différence que constituent des parents naturels ou adoptifs ?
Ces questions méritent une réflexion plus approfondie et sérieuse d’autant que des études menées récemment aux Etats Unis révèlent le mal être de beaucoup d’enfants élevés par des couples homosexuels. C’est ce qu’a souligné Michel Pinton, ancien secrétaire général de l’UDF, dans sa lettre adressée à Monsieur le président de la République le 24 août 2012.
Il est plus urgent aujourd’hui de protéger les familles à travers une politique et des lois qui visent à sauvegarder ses valeurs, à travailler à une reconstruction plus sécurisante de la société puisque la mission d’un chef de l’Etat, ainsi que des députés et sénateurs que vous êtes, est de veiller au respect et à la dignité de tout être humain.
Je vous remercie pour l’attention que vous m’avez accordée et ose espérer votre soutien et votre participation dans ce grand débat".