Hier, samedi 26 mars, jusqu’à 120 000 clients ont été simultanément privés d’électricité en fin de journée, au moment du pic de consommation.
Ce matin, 40 000 foyers demeuraient sans électricité.
A ce stade, une trentaine de réquisitions ont pu être notifiées aux grévistes.
Grâce à la mobilisation des cadres de la Séchilienne- SIDEC et aux réquisitions, une tranche de l’usine du GOL (50 MW) est actuellement remise en production. Cette reprise partielle d’activité de la centrale va limiter les délestages dans le Sud à compter de 13 heures.
Policiers et gendarmes poursuivent leur action sur l'ensemble de l'île pour procéder à la remise individuelle des réquisitions des agents indispensables au fonctionnement de ces deux centrales.
Une partie des grévistes continue de se soustraire sciemment à la notification en organisant leur absence de leur domicile. Le préfet rappelle que le refus d'exécuter les réquisitions constitue un délit passable de 6 mois d’emprisonnement et de 10 000 € d’amende.
La cellule de crise reste activée en préfecture.
Des mesures ont été prises pour :
- Assurer la sécurité des malades hospitalisés à domicile ;
- Limiter la durée des coupures d’eau ;
- Limiter l’impact des délestages sur les filières agricoles et agro-alimentaires.
Afin que ce conflit social qui concerne quelques dizaines de salariés ne perturbe pas les opérations électorales, le préfet a invité les maires à prendre toutes les dispositions utiles en vue d'assurer le bon fonctionnement des bureaux de vote (moyens d'éclairage de secours...).
Les consignes données concernent tout particulièrement le moment le plus sensible des élections, le dépouillement, qui interviendra dans la plupart des communes alors que la nuit sera tombée.
Ce matin, 40 000 foyers demeuraient sans électricité.
A ce stade, une trentaine de réquisitions ont pu être notifiées aux grévistes.
Grâce à la mobilisation des cadres de la Séchilienne- SIDEC et aux réquisitions, une tranche de l’usine du GOL (50 MW) est actuellement remise en production. Cette reprise partielle d’activité de la centrale va limiter les délestages dans le Sud à compter de 13 heures.
Policiers et gendarmes poursuivent leur action sur l'ensemble de l'île pour procéder à la remise individuelle des réquisitions des agents indispensables au fonctionnement de ces deux centrales.
Une partie des grévistes continue de se soustraire sciemment à la notification en organisant leur absence de leur domicile. Le préfet rappelle que le refus d'exécuter les réquisitions constitue un délit passable de 6 mois d’emprisonnement et de 10 000 € d’amende.
La cellule de crise reste activée en préfecture.
Des mesures ont été prises pour :
- Assurer la sécurité des malades hospitalisés à domicile ;
- Limiter la durée des coupures d’eau ;
- Limiter l’impact des délestages sur les filières agricoles et agro-alimentaires.
Afin que ce conflit social qui concerne quelques dizaines de salariés ne perturbe pas les opérations électorales, le préfet a invité les maires à prendre toutes les dispositions utiles en vue d'assurer le bon fonctionnement des bureaux de vote (moyens d'éclairage de secours...).
Les consignes données concernent tout particulièrement le moment le plus sensible des élections, le dépouillement, qui interviendra dans la plupart des communes alors que la nuit sera tombée.