A quelques mois des élections municipales, les langues commencent à se délier pour le plus grand bonheur de la démocratie. Ainsi placé sur les rives du fleuve des affaires, le citoyen voit défiler les cadavres.
Tôt ou tard, la vérité parvient à éclater au grand jour sous les coups de boutoir des ennemis politiques d’aujourd’hui. Ah ! L’amitié en politique ne dure que pour le partage du gâteau, mais se délite au moment de la redistribution des cartes.
Qu’apprend-on à six mois des prochaines municipales ? Que le mensonge n’a jamais été aussi présent, que les affaires sombres et douteuses ont continué de plus belle et que la population a été le dindon de la farce durant ces dernières années.
A lire la presse, les hostilités ont commencé entre les protagonistes de droite comme de gauche. Mais ce qui est grave dans ces affaires, c’est que tout est matière à une grand’messe au Tribunal.
Jugez-en vous-même ! D’après Jismy Ramoudou :
- Nassimah Dindar : "Nous étions quatre à décider à ne pas donner les 10 millions à l’Arast" (Association liquidée fin 2011). Citons la bande des 4 : le maire de Saint-Denis (Gilbert Annette), un communiste, un centriste et la présidente du Conseil Général (Nassimah Dindar). "Cette décision signait la fin de la structure".
Qui étaient les responsables de l'Arast à l'époque ? :
- Joël Périgaud, ex-DG de l’Arast, actuel directeur de cabinet de Gilbert Annette ;
- Patrick Jacquemart, ex-directeur de l’ARAST, actuel directeur général du CAP (Club action prévention, association patronnée et financée par la Mairie de Saint-Denis).
D’après Yves Montrouge (JIR du 23/08/2013)
- Joël Périgaud : " Le cabinet du Conseil général aussi donnait des consignes pour des emplois à des fins politiques. J’ai les noms sur mon ordinateur …"
- Nassimah Dindar : "Si vous avez des noms portez plainte Monsieur ! Je vous recommande de porter plainte … "
Jamais autant d’informations n’ont été distribuées au vu et au su des citoyens !
Ainsi apprend-on que Joël Périgaud avant d’être directeur de cabinet du maire Annette fut à la création des autres associations CERDASE, ARFUTS et comme par hasard, on le retrouve au cabinet de Gilbert Annette juste avant la liquidation de l’Arast.
Pourquoi ce Joël Périgaud monte-t-il au créneau et qui y a-t-il d’autres sur son ordinateur ? Réponse de Nassimah Dindar : "J’ai mis le doigt là où cela fait mal". Ah ! Si les documents comptables de l’ex-ARAST pouvaient parler !
Des conclusions s’imposent :
- La justice doit se saisir de ces faits ici et maintenant.
- Certains peuvent être poursuivis pour ne pas avoir informé le procureur de la République pour des méfaits connus.
- La préfecture et la Chambre Régionale des comptes auraient tout intérêt à s’intéresser à cette grave question.
- Gilbert Annette fait partie de la bande des quatre ayant décidé de détruire l’Arast et le millier d’emplois et les familles afférentes. De ce fait, il doit tout comme Madame Dindar rendre compte d’abord aux ex-employés de l’ARAST.
- La population doit, dans un sursaut d’orgueil, faire entendre sa voix.
- La mise en place d’un Comité d’Ethique indépendant et impartial doit voir le jour lorsqu’il s’agit de dépenses publiques.
Tôt ou tard, la vérité parvient à éclater au grand jour sous les coups de boutoir des ennemis politiques d’aujourd’hui. Ah ! L’amitié en politique ne dure que pour le partage du gâteau, mais se délite au moment de la redistribution des cartes.
Qu’apprend-on à six mois des prochaines municipales ? Que le mensonge n’a jamais été aussi présent, que les affaires sombres et douteuses ont continué de plus belle et que la population a été le dindon de la farce durant ces dernières années.
A lire la presse, les hostilités ont commencé entre les protagonistes de droite comme de gauche. Mais ce qui est grave dans ces affaires, c’est que tout est matière à une grand’messe au Tribunal.
Jugez-en vous-même ! D’après Jismy Ramoudou :
- Nassimah Dindar : "Nous étions quatre à décider à ne pas donner les 10 millions à l’Arast" (Association liquidée fin 2011). Citons la bande des 4 : le maire de Saint-Denis (Gilbert Annette), un communiste, un centriste et la présidente du Conseil Général (Nassimah Dindar). "Cette décision signait la fin de la structure".
Qui étaient les responsables de l'Arast à l'époque ? :
- Joël Périgaud, ex-DG de l’Arast, actuel directeur de cabinet de Gilbert Annette ;
- Patrick Jacquemart, ex-directeur de l’ARAST, actuel directeur général du CAP (Club action prévention, association patronnée et financée par la Mairie de Saint-Denis).
D’après Yves Montrouge (JIR du 23/08/2013)
- Joël Périgaud : " Le cabinet du Conseil général aussi donnait des consignes pour des emplois à des fins politiques. J’ai les noms sur mon ordinateur …"
- Nassimah Dindar : "Si vous avez des noms portez plainte Monsieur ! Je vous recommande de porter plainte … "
Jamais autant d’informations n’ont été distribuées au vu et au su des citoyens !
Ainsi apprend-on que Joël Périgaud avant d’être directeur de cabinet du maire Annette fut à la création des autres associations CERDASE, ARFUTS et comme par hasard, on le retrouve au cabinet de Gilbert Annette juste avant la liquidation de l’Arast.
Pourquoi ce Joël Périgaud monte-t-il au créneau et qui y a-t-il d’autres sur son ordinateur ? Réponse de Nassimah Dindar : "J’ai mis le doigt là où cela fait mal". Ah ! Si les documents comptables de l’ex-ARAST pouvaient parler !
Des conclusions s’imposent :
- La justice doit se saisir de ces faits ici et maintenant.
- Certains peuvent être poursuivis pour ne pas avoir informé le procureur de la République pour des méfaits connus.
- La préfecture et la Chambre Régionale des comptes auraient tout intérêt à s’intéresser à cette grave question.
- Gilbert Annette fait partie de la bande des quatre ayant décidé de détruire l’Arast et le millier d’emplois et les familles afférentes. De ce fait, il doit tout comme Madame Dindar rendre compte d’abord aux ex-employés de l’ARAST.
- La population doit, dans un sursaut d’orgueil, faire entendre sa voix.
- La mise en place d’un Comité d’Ethique indépendant et impartial doit voir le jour lorsqu’il s’agit de dépenses publiques.