L'information révélée hier en Une du Journal de l'Ile par Yves Mont-Rouge, rédacteur en Chef et le journaliste Pana Reeve, montre que le PCR n'entend pas "se laisser faire. C'est vrai qu'il y a des choses qui ne nous plaisent pas", a lâché un conseillers généraux communistes. Le PCR a par exemple beaucoup misé sur les Assises de l'urgence sociale. "Nous avons déjà fait un gros travail", avait dit Nassimah Dindar. Pas assez sans doute et surtout pas du tout médiatisé.
La place de Pierre Vergès, quatrième vice-président, et son travail, ont-ils détérioré les relations au sein du groupe ? Le conseiller général du Port a-t-il trop gèné les socialistes par son action (la fermeture de la Rédetar par exemple). Il est évident que le PS n'a pas apprécié les premiers mois de la nouvelle mandature. Il est tout aussi évident que Nassimah Dindar et Ibrahim Dindar ont voulu reprendre la main. "Il y avait un recadrage à faire".
"La présidente Nassimah Dindar veille à l'équilibre de cette majorité. C'était le cas lors de la désignation des vice-présidents et de l'attribution des délégations. Et c'est aussi le cas dans la communication. C'est elle qui a demandé à ce que les trois composantes soient représentées à chaque conférence de presse. Nassimah Dindar s'évertue à respecter le pacte de confiance signé par le PCR, le PS et les "Modéré". La présidente est sereine sur ce point".
Que peut-il se passer ou que va-t-il se passer ? "Rien". Ça a le mérite d'être clair. "Le PCR, pas plus que les "Modéré ou le PS, n'a aucun intérêt à faire exploser cette majorité. A sept mois des Présidentielles et à huit mois des Législatives, ni le PS, ni le PCR ne peut composer d'une part avec la Droite. Et d'autre part, le PCR n'est plus en mesure de se passer de certains moyens du Conseil général pour les Législatives".
Le PCR apportera sans doute des précisions sur ces sujets dans les jours à venir.
La place de Pierre Vergès, quatrième vice-président, et son travail, ont-ils détérioré les relations au sein du groupe ? Le conseiller général du Port a-t-il trop gèné les socialistes par son action (la fermeture de la Rédetar par exemple). Il est évident que le PS n'a pas apprécié les premiers mois de la nouvelle mandature. Il est tout aussi évident que Nassimah Dindar et Ibrahim Dindar ont voulu reprendre la main. "Il y avait un recadrage à faire".
"La présidente Nassimah Dindar veille à l'équilibre de cette majorité. C'était le cas lors de la désignation des vice-présidents et de l'attribution des délégations. Et c'est aussi le cas dans la communication. C'est elle qui a demandé à ce que les trois composantes soient représentées à chaque conférence de presse. Nassimah Dindar s'évertue à respecter le pacte de confiance signé par le PCR, le PS et les "Modéré". La présidente est sereine sur ce point".
Que peut-il se passer ou que va-t-il se passer ? "Rien". Ça a le mérite d'être clair. "Le PCR, pas plus que les "Modéré ou le PS, n'a aucun intérêt à faire exploser cette majorité. A sept mois des Présidentielles et à huit mois des Législatives, ni le PS, ni le PCR ne peut composer d'une part avec la Droite. Et d'autre part, le PCR n'est plus en mesure de se passer de certains moyens du Conseil général pour les Législatives".
Le PCR apportera sans doute des précisions sur ces sujets dans les jours à venir.