La contribution de la Réunion pour ou contre le « Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’Inclusion sociale » n’a pas soulevé un grand intérêt pour Les Réunionnais…
Ni débats, ni propositions, ni contreverses !
Même ma grève de la faim qui a pourtant duré une trentaine de jours, n’a pas sonné comme un avertisseur pour tous ceux qu’elle voulait toucher.
C’est à se demander si les publics et les acteurs concernés voulaient véritablement faire réagir le gouvernement à leurs fins communes.
A ce jour, à l’exception du PCR, aucune formation n’a fait connaître, son diagnostic, ni ses propositions.
Aucune synthèse partagée par le plus grand nombre ne se dégage et rien, absolument rien, ne se manifeste pour permettre la prise en compte de nos spécificités en matière de pauvreté, d’emploi, de développement, de logement et de vie chère notamment.
L’importance et la nécessité de prendre en compte les particularités et les spécificités de La Réunion sont ignorées au grand dam de ceux là même qui le crient à tout va !
Ma grève de la faim ne s’opposait pas systématiquement aux propositions du gouvernement : elle ne voyait pas, l’espoir d’un Département comme le nôtre, de partager un jour, les bienfaits d’une société harmonieuse à laquelle tous, nous aspirons.
A partir de ma grève de la faim, j’ai voulu sensibilisé le gouvernement, pour une meilleure répartition de la richesse qui génère des activités qui, elles mêmes, seraient créatrices d’emplois, et favorisent en même temps, une réelle égalité des chances, le développement et la cohésion sociale.
Rien n’a été négligé pour m’amener à y mettre fin !
D’un côté, il y a eu une tentative de manipulation grotesque, de l’autre, il a manqué la capacité, pour ne pas dire, la volonté de mobiliser le plus grand nombre…
Mais il y a surtout eu, cette contradiction effroyable, qui consistait à ne pas rassembler toutes les troupes, dans un même lieu et à la même heure, pour atteindre quel résultat ?
Dieu reconnaîtra les siens !
Les promesses m’ont été faites d’un côté comme de l’autre :
A ce jour, à l’exception de celle du Préfet, les autres n’ont pas été tenues :
Est-ce un oubli ?
Pour La Réunion, et par respect pour certains élus locaux, et non les moindres, j’ai accepté de mettre fin à ma grève de la fin.
Question : A quelques jours de La Mission de François Chérèque, quelles conclusions tirer ?
Je déplore, une fois de plus, que La Réunion ne puisse pas tirer profit d’une opportunité qui se présente à elle.
Je regrette que nos élus, pour la plupart, n’aient rien compris, et ne soient pas capables de se concerter et surtout, de parler d’une même voix dans l’intérêt de La Réunion !
Je déplore également, que nous ne puissions pas saisir une telle opportunité dans une progression de constats et de propositions mettant l’accent sur l’extrême pauvreté…
Sans me dérober à la mienne, je tente, par cette tribune, de mettre une dernière fois, l’accent sur la responsabilité individuelle de chacun, mais aussi, sur la responsabilité collective de nos partis politiques respectifs, et sur celle de nos élus locaux en général.
Si ma grève de la faim semblait être une utopie pour beaucoup, peut-on estimer que La Mission de François Chérèque ne constitue pas une opportunité pour La Réunion ?
J’ai essayé d’inviter les uns et les autres au débat, ou à faire des propositions : je ne pouvais pas mieux faire, mais qu’est-ce qui justifie d’autres soient si aveugles et ne réagissent pas ?
Oui, je regrette profondément que cette Mission de François Chérèque à La Réunion ne sonne pas comme un défi pour chacun de nous… ( intellectuels, élus locaux, syndicalistes, Acteurs économiques, Militants associatifs, journalistes et tous les autres)…
Pour ma part, bien qu’affutant mes arguments contre certaines propositions du gouvernement, je n’ai jamais accepté qu’il existe une fatalité quelconque de la pauvreté !
Bien plus, animé par un réel idéal vigoureusement humaniste et par une saine méfiance à l’égard des porteurs de recettes magiques qui sont clamées, depuis plus de 60 ans, sans les appuyer de réalisations concrètes !
Aussi, ma grève de la faim était un moyen de crier mon ras-le-bol de ce qui est devenu comme des bonnes pratiques chez ceux qui nous gouvernent : Ces bonnes pratiques que l’on rassemble à longueur de réunions, forums, séminaires, congrès, états généraux, tables rondes, conférences sociales et j’en oublis, et qui se succèdent sans tenir compte du moindre contexte, et, pire, sans rien de concret !
C’est pourquoi, je formule le vœu que La Mission de François Chérèque constitue une occasion de proposer une feuille de route qui intègre l’ensemble des facteurs générant l’extrême pauvreté et dans notre île.
Bien que La Mission de F. Chérèque soit mal partie à La Réunion, ma contribution va-t-elle, pour une fois, ne pas apparaître à contre courant pour sommer Les Réunionnais de reprendre en main leur destin ?
Réponse le 29 octobre prochain !
Ni débats, ni propositions, ni contreverses !
Même ma grève de la faim qui a pourtant duré une trentaine de jours, n’a pas sonné comme un avertisseur pour tous ceux qu’elle voulait toucher.
C’est à se demander si les publics et les acteurs concernés voulaient véritablement faire réagir le gouvernement à leurs fins communes.
A ce jour, à l’exception du PCR, aucune formation n’a fait connaître, son diagnostic, ni ses propositions.
Aucune synthèse partagée par le plus grand nombre ne se dégage et rien, absolument rien, ne se manifeste pour permettre la prise en compte de nos spécificités en matière de pauvreté, d’emploi, de développement, de logement et de vie chère notamment.
L’importance et la nécessité de prendre en compte les particularités et les spécificités de La Réunion sont ignorées au grand dam de ceux là même qui le crient à tout va !
Ma grève de la faim ne s’opposait pas systématiquement aux propositions du gouvernement : elle ne voyait pas, l’espoir d’un Département comme le nôtre, de partager un jour, les bienfaits d’une société harmonieuse à laquelle tous, nous aspirons.
A partir de ma grève de la faim, j’ai voulu sensibilisé le gouvernement, pour une meilleure répartition de la richesse qui génère des activités qui, elles mêmes, seraient créatrices d’emplois, et favorisent en même temps, une réelle égalité des chances, le développement et la cohésion sociale.
Rien n’a été négligé pour m’amener à y mettre fin !
D’un côté, il y a eu une tentative de manipulation grotesque, de l’autre, il a manqué la capacité, pour ne pas dire, la volonté de mobiliser le plus grand nombre…
Mais il y a surtout eu, cette contradiction effroyable, qui consistait à ne pas rassembler toutes les troupes, dans un même lieu et à la même heure, pour atteindre quel résultat ?
Dieu reconnaîtra les siens !
Les promesses m’ont été faites d’un côté comme de l’autre :
A ce jour, à l’exception de celle du Préfet, les autres n’ont pas été tenues :
Est-ce un oubli ?
Pour La Réunion, et par respect pour certains élus locaux, et non les moindres, j’ai accepté de mettre fin à ma grève de la fin.
Question : A quelques jours de La Mission de François Chérèque, quelles conclusions tirer ?
Je déplore, une fois de plus, que La Réunion ne puisse pas tirer profit d’une opportunité qui se présente à elle.
Je regrette que nos élus, pour la plupart, n’aient rien compris, et ne soient pas capables de se concerter et surtout, de parler d’une même voix dans l’intérêt de La Réunion !
Je déplore également, que nous ne puissions pas saisir une telle opportunité dans une progression de constats et de propositions mettant l’accent sur l’extrême pauvreté…
Sans me dérober à la mienne, je tente, par cette tribune, de mettre une dernière fois, l’accent sur la responsabilité individuelle de chacun, mais aussi, sur la responsabilité collective de nos partis politiques respectifs, et sur celle de nos élus locaux en général.
Si ma grève de la faim semblait être une utopie pour beaucoup, peut-on estimer que La Mission de François Chérèque ne constitue pas une opportunité pour La Réunion ?
J’ai essayé d’inviter les uns et les autres au débat, ou à faire des propositions : je ne pouvais pas mieux faire, mais qu’est-ce qui justifie d’autres soient si aveugles et ne réagissent pas ?
Oui, je regrette profondément que cette Mission de François Chérèque à La Réunion ne sonne pas comme un défi pour chacun de nous… ( intellectuels, élus locaux, syndicalistes, Acteurs économiques, Militants associatifs, journalistes et tous les autres)…
Pour ma part, bien qu’affutant mes arguments contre certaines propositions du gouvernement, je n’ai jamais accepté qu’il existe une fatalité quelconque de la pauvreté !
Bien plus, animé par un réel idéal vigoureusement humaniste et par une saine méfiance à l’égard des porteurs de recettes magiques qui sont clamées, depuis plus de 60 ans, sans les appuyer de réalisations concrètes !
Aussi, ma grève de la faim était un moyen de crier mon ras-le-bol de ce qui est devenu comme des bonnes pratiques chez ceux qui nous gouvernent : Ces bonnes pratiques que l’on rassemble à longueur de réunions, forums, séminaires, congrès, états généraux, tables rondes, conférences sociales et j’en oublis, et qui se succèdent sans tenir compte du moindre contexte, et, pire, sans rien de concret !
C’est pourquoi, je formule le vœu que La Mission de François Chérèque constitue une occasion de proposer une feuille de route qui intègre l’ensemble des facteurs générant l’extrême pauvreté et dans notre île.
Bien que La Mission de F. Chérèque soit mal partie à La Réunion, ma contribution va-t-elle, pour une fois, ne pas apparaître à contre courant pour sommer Les Réunionnais de reprendre en main leur destin ?
Réponse le 29 octobre prochain !