Roland Robert a vraiment envisagé un moment passer la main. Si l'on en croit le contexte politique de La Possession, deux choix s'offraient à lui. Celui de la raison : promouvoir son DGS devenu aussi célèbre que lui sur le territoire communal et dans la presse. Ou celui du cœur : son fils Philippe était devenu peu à peu l'héritier quasi légitime, au regard de ce qui se passe dans les autres communes ou autres collectivités locales. Le maire a pris la décision la plus difficile (ou inconsciente), repartir pour une campagne électorale dans un "environnement plus hostile".
Car en 42 ans de pouvoir et de règne sans partage sur La Possession, Roland Robert résiste tant bien que mal à l'usure du pouvoir. Avec succès jusqu'à maintenant. Le maire a dû laisser sur le bord du chemin quelques intimes, le couple Rivière et le jovial Jean-Claude Tréport. Il continue à gérer les conflits entre certains élus dont son fils Philippe, et l'omnipotent DGS, Doris Carassou que beaucoup reconnaissent les compétences et l'efficacité.
Il y a eu aussi quelques affaires souvent de terrain ou de permis de construire. Roland Robert s'en est souvent bien sorti. Le PCR et des cadres communistes aussi. Et puis, il y a eu le coup de tonnerre des Cantonales 2011. Une novice a fait trembler le "monument". Vanessa Miranville (EELVR devenue PES : Possession écologie solidaire) a ouvert une sacrée brèche pour la concurrence, pour les Municipales 2014. Perdre est une hypothèse envisagée du côté de la majorité municipale. Et Roland Robert ne voulait pas partir sur une défaite.
Le maire de La Possession a préféré intégrer cette option plutôt que de choisir entre son fils Philippe et son DGS, Doris Carassou. Cela confirme aussi que comme la plupart des élus de la précédente génération, Roland Robert, non plus, n'a pas préparé de relève. Le renouvellement et le rajeunissement de la classe politique à La Possession, se fera après son départ. Ou sa défaite.
Car en 42 ans de pouvoir et de règne sans partage sur La Possession, Roland Robert résiste tant bien que mal à l'usure du pouvoir. Avec succès jusqu'à maintenant. Le maire a dû laisser sur le bord du chemin quelques intimes, le couple Rivière et le jovial Jean-Claude Tréport. Il continue à gérer les conflits entre certains élus dont son fils Philippe, et l'omnipotent DGS, Doris Carassou que beaucoup reconnaissent les compétences et l'efficacité.
Il y a eu aussi quelques affaires souvent de terrain ou de permis de construire. Roland Robert s'en est souvent bien sorti. Le PCR et des cadres communistes aussi. Et puis, il y a eu le coup de tonnerre des Cantonales 2011. Une novice a fait trembler le "monument". Vanessa Miranville (EELVR devenue PES : Possession écologie solidaire) a ouvert une sacrée brèche pour la concurrence, pour les Municipales 2014. Perdre est une hypothèse envisagée du côté de la majorité municipale. Et Roland Robert ne voulait pas partir sur une défaite.
Le maire de La Possession a préféré intégrer cette option plutôt que de choisir entre son fils Philippe et son DGS, Doris Carassou. Cela confirme aussi que comme la plupart des élus de la précédente génération, Roland Robert, non plus, n'a pas préparé de relève. Le renouvellement et le rajeunissement de la classe politique à La Possession, se fera après son départ. Ou sa défaite.