Ces emplois titulaires ou de CDI seraient réservés à nos agents contractuels d'une ancienneté de 4 ans et plus à travers un plan.
Mais voilà, ce vendredi, nos élus siégeant à l’Assemblée Nationale, ont « brillé » par ce coup de tonnerre à cinq mois de la date butoir de la « Loi Sauvadet » qui était prévue au premier trimestre 2016, à une prolongation de cette Loi.
Ainsi, nos députés soit disant de « gauche » présents, viennent de repousser la Loi sur la précarité de deux ans supplémentaires, c'est-à-dire au 12 mars 2018, texte adopté en procédure accélérée en fin de nuit du 8 octobre !
A noter encore ce constat, qui précise que la mauvaise élève de la classe en matière de résorption de l’emploi précaire reste la fonction publique hospitalière. Qui a été aussi rappelée à l’ordre en mars dernier dit-on par Mme Touraine Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes.
Cependant, au moment où tous nos hôpitaux connaissent des difficultés dues à un plan drastique d’économie demandé voire en diminuant certaines lignes de crédit dédiées à l’hôpital public. Peut-on voter une Loi qui demeure après tout une bonne Loi, sans prévoir ou sans demander une rallonge budgétaire supplémentaire pour l’appliquer ?
N’est-ce pas un leurre de repousser cette Loi de deux ans supplémentaires alors que le problème c’est des moyens qui ne sont pas alloués ?
Qu’en pensent nos députés de gauche qui ont repoussé cette Loi ?
Mais voilà, ce vendredi, nos élus siégeant à l’Assemblée Nationale, ont « brillé » par ce coup de tonnerre à cinq mois de la date butoir de la « Loi Sauvadet » qui était prévue au premier trimestre 2016, à une prolongation de cette Loi.
Ainsi, nos députés soit disant de « gauche » présents, viennent de repousser la Loi sur la précarité de deux ans supplémentaires, c'est-à-dire au 12 mars 2018, texte adopté en procédure accélérée en fin de nuit du 8 octobre !
A noter encore ce constat, qui précise que la mauvaise élève de la classe en matière de résorption de l’emploi précaire reste la fonction publique hospitalière. Qui a été aussi rappelée à l’ordre en mars dernier dit-on par Mme Touraine Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes.
Cependant, au moment où tous nos hôpitaux connaissent des difficultés dues à un plan drastique d’économie demandé voire en diminuant certaines lignes de crédit dédiées à l’hôpital public. Peut-on voter une Loi qui demeure après tout une bonne Loi, sans prévoir ou sans demander une rallonge budgétaire supplémentaire pour l’appliquer ?
N’est-ce pas un leurre de repousser cette Loi de deux ans supplémentaires alors que le problème c’est des moyens qui ne sont pas alloués ?
Qu’en pensent nos députés de gauche qui ont repoussé cette Loi ?