Accords de partenariat économique
L’étude, commandée par la COI, évalue l’impact des APE intérimaires signés en 2008 par Madagascar, Maurice et les Seychelles, membres de la COI, et le Zimbabwe. Les représentants de ces pays ont également examiné les modalités de création et de fonctionnement d’un fonds dédié à la mise en œuvre des APE avec l’Union européenne.
« Les APE, basés sur le principe de réciprocité, s’inscriront au cœur de la relation ACP-UE après la fin de l’Accord de Cotonou en 2020 qui régit la relation politique, économique, commerciale et de coopération entre l’UE et les 77 pays du bloc ACP », a rappelé le Secrétaire général de la COI. C’est pourquoi la COI « s’est engagée à soutenir utilement les pays signataires », notamment en commandant l’étude sur l’impact des APE et en sécurisant une enveloppe de 40 millions € du 11e Fonds européen visant à « renforcer les capacités industrielles, commerciales et législatives » des pays signataires.
Le chef de la diplomatie mauricienne a plaidé pour une mobilisation régionale souhaitant que « les autres pays de l’Afrique orientale et australe rejoignent les pays signataires », d’autant que les APE donnent l’opportunité « d’approfondir et d’accélérer l’intégration régionale ».
De son côté, la chargée d’affaires a.i. de la Délégation de l’Union européenne a insisté sur « le potentiel de ces accords pour doper la croissance et favoriser la prospérité dans toute la région en soutenant l’intégration des économies dans la mondialisation grâce à l’investissement et au commerce ». Carla Osorio a ainsi conclu que « les APE ont un énorme potentiel qu’il ne sera possible de libérer que si les pays de la région et l’UE travaillent ensemble pour faire des opportunités une réalité ».
« Les APE, basés sur le principe de réciprocité, s’inscriront au cœur de la relation ACP-UE après la fin de l’Accord de Cotonou en 2020 qui régit la relation politique, économique, commerciale et de coopération entre l’UE et les 77 pays du bloc ACP », a rappelé le Secrétaire général de la COI. C’est pourquoi la COI « s’est engagée à soutenir utilement les pays signataires », notamment en commandant l’étude sur l’impact des APE et en sécurisant une enveloppe de 40 millions € du 11e Fonds européen visant à « renforcer les capacités industrielles, commerciales et législatives » des pays signataires.
Le chef de la diplomatie mauricienne a plaidé pour une mobilisation régionale souhaitant que « les autres pays de l’Afrique orientale et australe rejoignent les pays signataires », d’autant que les APE donnent l’opportunité « d’approfondir et d’accélérer l’intégration régionale ».
De son côté, la chargée d’affaires a.i. de la Délégation de l’Union européenne a insisté sur « le potentiel de ces accords pour doper la croissance et favoriser la prospérité dans toute la région en soutenant l’intégration des économies dans la mondialisation grâce à l’investissement et au commerce ». Carla Osorio a ainsi conclu que « les APE ont un énorme potentiel qu’il ne sera possible de libérer que si les pays de la région et l’UE travaillent ensemble pour faire des opportunités une réalité ».