Suite à la publication d’un courrier des lecteurs d’une "contribuable saint-pauloise en colère" paru dans le Quotidien du lundi 12 août 2013, la commune de Saint-Paul souhaite apporter aux lecteurs les précisions ci-après :
La municipalité n’est pas sans ignorer les nuisances olfactives dont souffrent depuis quelques jours les habitants du quartier de Savannah.
Toutefois, ces nuisances ne sont en aucun cas dues à une défaillance d’entretien de l’Etang ou à des problèmes de salubrité publique.
En effet, ces odeurs sont la résultante d’épandages d’engrais organiques sur des champs de canne situés sur le secteur de Savannah. Ces épandages, encadrés par le règlement sanitaire départemental, ne relèvent pas de la responsabilité de la commune de Saint-Paul.
Par ailleurs, la problématique des épandages, bien que ponctuelle, n’est pas nouvelle. Ainsi, la ville est déjà intervenue auprès des services de l’Etat et de la Chambre d’Agriculture pour que des mesures visant à réduire les nuisances soient prises.
De plus, conscients des gênes occasionnées, les services communaux ont sensibilisé les agriculteurs concernés afin de limiter les émanations éventuelles.
Rejetant toute polémique ou amalgame, la commune, en partenariat avec les différents acteurs du secteur agricole, entend poursuivre son action afin d’identifier des solutions pérennes à ce problème.
La municipalité n’est pas sans ignorer les nuisances olfactives dont souffrent depuis quelques jours les habitants du quartier de Savannah.
Toutefois, ces nuisances ne sont en aucun cas dues à une défaillance d’entretien de l’Etang ou à des problèmes de salubrité publique.
En effet, ces odeurs sont la résultante d’épandages d’engrais organiques sur des champs de canne situés sur le secteur de Savannah. Ces épandages, encadrés par le règlement sanitaire départemental, ne relèvent pas de la responsabilité de la commune de Saint-Paul.
Par ailleurs, la problématique des épandages, bien que ponctuelle, n’est pas nouvelle. Ainsi, la ville est déjà intervenue auprès des services de l’Etat et de la Chambre d’Agriculture pour que des mesures visant à réduire les nuisances soient prises.
De plus, conscients des gênes occasionnées, les services communaux ont sensibilisé les agriculteurs concernés afin de limiter les émanations éventuelles.
Rejetant toute polémique ou amalgame, la commune, en partenariat avec les différents acteurs du secteur agricole, entend poursuivre son action afin d’identifier des solutions pérennes à ce problème.