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Joséphine Cadet : "Qui a peur de Nassimah Dindar ?"


Invité(e)
Samedi 28 Avril 2012

"Dans l’entre-deux tours, Nassimah Dindar, la présidente du Conseil général, écrit une lettre ouverte aux deux finalistes pour leur demander de préciser clairement aux Réunionnais leurs engagements pour notre département. Que n’a-elle pas fait !"


"A peine la lettre parue dans la presse, les réactions s’enchaînent, à noms plus ou moins couverts, pour critiquer la démarche. Qu’est-ce que cela démontre ? Au moins deux choses :
- que la lettre soit utile ou pas, c’est-à-dire qu’elle suscite une réponse ou pas, peu importe à la limite. Comme me disait ma mère, "c’est l’intention qui compte ".

Nassimah Dindar a été en tous les cas la seule personnalité politique réunionnaise à tenter de faire figurer La Réunion dans le débat présidentiel. Et rappelons que lors de leur venue sur notre île, les deux candidats n’ont pas tari d’éloges sur l’Outre-mer en général et La Réunion en particulier. Des éloges vite oubliés, à peine avaient-ils quitté Gillot.

- la multitude de réactions à cette initiative prouve, si besoin en était, que la candidature de la présidente du Conseil général  à la députation sur St Denis fait peur. Aussi convient-il, dans les calculs politiciens de bas niveau, de tout faire pour la dénigrer, pour critiquer ses initiatives.

Ça avait déjà commencé avec les « produits solidaires », mesure qui a été dénaturée par certains. Mais les détracteurs ont dû rapidement se taire vu le succès rencontré. Ca continue avec cette lettre ouverte. Et ça se poursuivra évidemment jusqu’au 18 juin. Vaines tentatives, mais leurs auteurs font semblant de ne pas le (sa)voir.

Les attaques des uns et des autres tombent mal : elles mettent davantage en valeur Nassimah Dindar qu’elles ne l’écornent".
 

Courrier


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