Qu'est-ce le Front national entend par "alternance" ?
Il n'y a plus d'alternance en France depuis Valéry Giscard d'Estaing et Jacques Delors, et cette Europe malsaine qu'ils ont construite et que tous les partis qui se sont succédés au gouvernement, ont consolidé. Cette Europe est faite pour leurs copains richissimes. La démocratie, c'est aussi l'alternance.
Sortir de la zone Euro, c'est la condition sine qua non pour un redressement économique, politique et social de la France ?
Sans aucun doute. La France doit sortir de la zone Euro. Il faudra ensuite dévaluer. Nous devons retrouver nos valeurs, produire nos richesses et les protéger.
N'y-a-t-il pas un risque à un retour au poujadisme ?
Notre projet n'est pas un repli sur soi. La France ne peut vivre en autarcie. Nous ne voulons nullement nous couper du monde. Le commerce mondial et le marché européen sont une réalité avec laquelle la France doit composer, mais pas à son désavantage.
Quelles sont les autres réformes que vous voulez mener ?
Nous allons modifier la Constitution. Il faut une meilleure représentativité des socio-professionnels au sein de la classe politique. Aujourd'hui, 72 % des élus sont des fonctionnaires. Comment voulez-vous qu'ils ne se protègent pas entre eux ? Nous disons qu'il faut plus d'artisans, de commerçants et de chefs d'entreprises élus au sein de la classe politique.
Quel est votre en matière de justice ?
La Constitution et la justice doivent être plus sévères à l'encontre des élus qui ont commis des actes condamnables, et condamnés pendant l'exercice de leur fonction. Nous voterons une révocation à vie pour ces élus.
Il n'y a plus d'alternance en France depuis Valéry Giscard d'Estaing et Jacques Delors, et cette Europe malsaine qu'ils ont construite et que tous les partis qui se sont succédés au gouvernement, ont consolidé. Cette Europe est faite pour leurs copains richissimes. La démocratie, c'est aussi l'alternance.
Sortir de la zone Euro, c'est la condition sine qua non pour un redressement économique, politique et social de la France ?
Sans aucun doute. La France doit sortir de la zone Euro. Il faudra ensuite dévaluer. Nous devons retrouver nos valeurs, produire nos richesses et les protéger.
N'y-a-t-il pas un risque à un retour au poujadisme ?
Notre projet n'est pas un repli sur soi. La France ne peut vivre en autarcie. Nous ne voulons nullement nous couper du monde. Le commerce mondial et le marché européen sont une réalité avec laquelle la France doit composer, mais pas à son désavantage.
Quelles sont les autres réformes que vous voulez mener ?
Nous allons modifier la Constitution. Il faut une meilleure représentativité des socio-professionnels au sein de la classe politique. Aujourd'hui, 72 % des élus sont des fonctionnaires. Comment voulez-vous qu'ils ne se protègent pas entre eux ? Nous disons qu'il faut plus d'artisans, de commerçants et de chefs d'entreprises élus au sein de la classe politique.
Quel est votre en matière de justice ?
La Constitution et la justice doivent être plus sévères à l'encontre des élus qui ont commis des actes condamnables, et condamnés pendant l'exercice de leur fonction. Nous voterons une révocation à vie pour ces élus.